On me demande souvent comment on devient vétérinaire “apidologiste”, joli néologisme qui définit intuitivement bien l’intérêt du pathologiste pour les apidés. C’est grâce à Monique L’Hostis, dans les années 1990, que j’ai rencontré mes premières abeilles, au rucher école de l’École nationale vétérinaire de Nantes (aujourd’hui Oniris), durant mes études. J’ai ensuite acquis une première colonie déclarée aux services vétérinaires qui cherchaient, à ce moment-là, un vétérinaire pour s’occuper du programme sanitaire d’élevage (PSE) de la Vendée. L’Administration m’a envoyé ...
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de La Semaine Vétérinaire
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