La série de thrillers historiques d’Anne Villemin-Sicherman, dont le dernier tome, L’Abbé Grégoire s’en mêle, est paru l’été dernier, met joliment à l’honneur la profession vétérinaire en confiant ses intrigues à un praticien diplômé de la toute première promotion de l’école vétérinaire de Lyon (fondée en 1762). Un choix bienvenu qui montre que le pragmatisme scientifique et l’expertise diagnostique (sur les vivants et les morts) de l’“artiste vétérinaire” (selon la dénomination de l’époque) lui permettent de se muer en un ...
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