Lorsqu’un particulier découvre un animal sauvage blessé, son premier réflexe est souvent de l’amener chez son vétérinaire. Dans ce contexte, ce dernier a tout intérêt à le recevoir. D’une part, le code de déontologie indique que face à «
un animal malade ou blessé, qui est en péril, d’une espèce pour laquelle il possède la compétence, la technicité et l’équipement adapté, ainsi qu’une assurance de responsabilité civile professionnelle ...
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de La Semaine Vétérinaire
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