La data serait le nouvel or noir. Avec elle, l’adage “mieux vaut prévenir que guérir” serait à son paroxysme. Car elle promet d’identifier les problèmes avant même qu’ils n’arrivent, d’anticiper les situations de crise, et de stopper les dépenses inutiles. En élevage, les promesses du big data agricole se manifestent par une prolifération d’outils numériques “vantant” aux éleveurs leurs services. Pourtant, les histogrammes, camemberts et autres représentations graphiques des performances d’élevage ne représentent pas grand-chose sans quelqu’un pour aider l’éleveur ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres