C’est en plein été qu’a éclaté le “distrib’gate”. Alors que le chassé-croisé des juilletistes et des aoûtiens faisait grincer plus d’une plume, l’Autorité de la concurrence dévoilait, le 26 juillet, un scandale mêlant “gros sous” et centrales vétérinaires. Le gendarme de la concurrence a en effet épinglé pour pratiques illicites les principaux acteurs de la distribution en gros de médicaments vétérinaires. En fait, il y a deux affaires dans l’affaire. D’abord, il y a ces “pactes de non-agression” qui ont ...
Ce contenu est réservé aux abonnés de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ? Identifiez-vous
Pas encore abonné ? Profitez vite de nos offres
La Semaine Vétérinaire, le journal de tous, la référence de chacun. L'actualité complète de la profession vétérinaire.