Le goût des auteurs latino-américains pour transgresser les limites entre réalité et imaginaire donne à leurs récits une tonalité sensorielle qui leur est propre. Figure de proue du nouveau cinéma argentin, Lucrecia Martel adapte ici le roman1 d’Antonio di Benedetto et réalise une fresque minimaliste et magistrale qui, pour la citer, « va vers le passé avec la même irrévérence que nous allons vers le futur ». Dans un coin reculé du Paraguay à la fin du xviiie siècle, Diego ...
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