L’Anses a publié un rapport sur les alternatives possibles aux pesticides néonicotinoïdes. Dans 78 % des cas analysés, des alternatives non chimiques sont possibles, les plus efficaces étant la lutte biologique à l’aide de micro-organismes, la lutte physique et les médiateurs chimiques.
Le 19 mars 2016, en plein débat sur le projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, le ministère de l’Agriculture a saisi l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) pour évaluer les bénéfices et les risques des alternatives aux néonicotinoïdes, et analyser les conséquences économiques de leur interdiction. Le rapport complet1, publié en mai 2018, comprend trois parties. Dans la première, l’agence a identifié, pour chaque usage autorisé des néonicotinoïdes, les alternatives possibles ...
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de La Semaine Vétérinaire
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