Si elle est bonne, une seule idée cinématographique peut justifier tout un film. Alors que, dans la majorité des productions américaines, l’épouvante est scandée par une débauche de sons graves ou stridents, celle-ci, à l’opposé, parvient à créer la sienne “sans un bruit”, en nous faisant hautement redouter l’apparition du moindre son. Le film s’ouvre sur une supérette à l’abandon, où un couple et ses trois enfants, sacs aux dos, font leurs provisions. Le silence est si complet que l’on ...
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