Mardi 29 mai, fin d’après midi à Paris. Le ciel est couvert. Des averses sont attendues. Ce jour-là à l’Assemblée nationale, non loin de l’agitation urbaine, se joue une pièce qu’on serait tenté d’appeler Le Monde à l’envers. Dans cette tragi-comédie, le vétérinaire doit (encore) démontrer qu’il n’est pas un mauvais élève. Eh oui, dans la vraie vie, quand le praticien se mobilise pour préserver les antibiotiques, sur la scène principale de la chambre basse, quelques députés tentent de faire ...
Ce contenu est réservé aux abonnés de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ? Identifiez-vous
Pas encore abonné ? Profitez vite de nos offres
La Semaine Vétérinaire, le journal de tous, la référence de chacun. L'actualité complète de la profession vétérinaire.