Après le scandale du Mediator®, l’objectif du gouvernement était simple : éviter que l’histoire ne se répète. Dans les mots, le moyen choisi était aussi clair : il fallait plus de transparence. En 2011, ce Sunshine Act à la française appelait au grand déballage ou presque. Peu de temps après, le secteur vétérinaire s’est vu appliquer, par ricochet, les mêmes règles, et ce peu importe ses spécificités. Désormais, les entreprises liées au médicament vétérinaire n’ont pas d’autre choix que d’exposer ...
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