Des chercheurs de l’université d’Illinois (États-Unis) ont comparé le comportement de butinage d’abeilles placées dans des conditions semi-naturelles (vol libre) face à la présence de xénobiotiques1 dans leur nourriture. Des recherches antérieures ayant, par exemple, révélé un phénomène de “pollen emmuré” dans des cellules de la ruche lorsque celui-ci contenait un taux élevé de fongicides. Ici, 5 xénobiotiques synthétiques, ainsi que 9 naturels sont testés, à raison de 2 herbicides (atrazine et glyphosate), 3 fongicides (boscalid, chlorothalonil et prochloraze), 1 ...
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de La Semaine Vétérinaire
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