L’épizootie d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) de l’hiver 2016-2017 a été l’occasion pour des chercheurs de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) d’évaluer la présence du virus dans des échantillons d’air collectés à l’intérieur, à l’extérieur et sous le vent de bâtiments d’élevage de volailles infectées par un virus de sous-type H5N8. En effet, des recherches antérieures font suspecter une transmission aéroportée du virus. Pour exemple, des études de terrain ont détecté et isolé le virus dans la fraction alvéolaire ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres