Affinity, une fondation au service du lien homme-animal

Spécialisée dans la fabrication d’aliments pour chiens et chats, implantée dans près de 60 pays d’Europe, l’entreprise Affinity Pet Care lance sa fondation en France. Déjà présente en Espagne depuis 30 ans, elle promeut une amélioration du bien-être de l’animal de compagnie par une meilleure considération de sa place dans la société. Elle s’intéresse tout particulièrement au lien homme-animal. Pour ce faire, elle dispose de son propre centre de recherche et soutient aussi des programmes liés à ce lien. La création de la fondation en France a ainsi pour vocation de soutenir des projets sociaux et médicaux liés à la médiation animale, utilisant l’animal pour ses bienfaits, de la prévention à la cothérapie ou thérapie assistée, mais aussi dans les prisons. La fondation apporterait ainsi une aide financière à ces projets, mais pas uniquement. Son objectif est à la fois de récupérer des données récoltées lors de la mise en place des projets afin de les analyser et d’en extraire des conclusions, mais aussi de les communiquer et de les faire connaître au grand public.

Un vétérinaire associé au projet

Cette fondation a également mené une étude en 2017 sur un échantillon représentatif de la population française (environ 1 000 propriétaires et 1 000 non-propriétaires), afin de connaître les « attitudes et opinions sur les animaux de compagnie ». Parmi les quelques données de cette enquête : 78 % considèrent leur animal avec autant de respect qu’un membre de la famille, les 18-29 ans sont les plus enthousiastes à l’idée d’avoir un animal, un quart des répondants considèrent leur animal plus important qu’un ami. Tout l’enjeu de la fondation est alors de montrer les avantages à posséder un animal, tout en responsabilisant le public.

Dans ce cadre, notre confrère Thierry Bedossa, vétérinaire comportementaliste, est présent auprès de la fondation pour l’aider à identifier les projets pertinents, tout en veillant, comme il le rappelle, au bien-être de ces animaux d’un point de vue comportemental, car ces programmes peuvent être éprouvants pour eux.
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