LA VIDÉOSURVEILLANCE FAIT SON ENTRÉE DANS LES CLINIQUES - La Semaine Vétérinaire n° 1232 du 30/06/2006
La Semaine Vétérinaire n° 1232 du 30/06/2006

À la une

Auteur(s) : Fabrice Jaffré

Les nouvelles technologies commencent à trouver leur place dans les structures vétérinaires. Les applications de la vidéo ne sont plus seulement confinées à la sécurité, mais prennent en compte de nouveaux besoins comme la transparence vis-à-vis de la clientèle (salles de radiologie, de chirurgie, etc.) ou encore la surveillance du chenil à distance.

La vidéosurveillance consiste à placer des caméras dans un lieu public ou privé. Le développement des réseaux informatiques dans les cliniques vétérinaires et le déploiement de l’Internet à haut débit permettent la mise en place d’un tel dispositif, facile à installer et qui n’exige pas forcément d’investissements importants.

Derrière la vidéosurveillance se cache souvent une connotation sécuritaire, pour prévenir les vols et les agressions. Mais les services qu’elle rend sont toutefois beaucoup plus larges, car elle permet — toujours à distance — d’observer, de veiller, de guetter, d’examiner, d’inspecter ou de contrôler des sites, des installations, des actions, des biens ou des personnes. Dans ce contexte, chaque pièce de la clinique peut être équipée. Une caméra dans la salle d’attente permet ainsi de contrôler le taux de remplissage, mais aussi de détecter les éventuels signes d’impatience des clients ou de prévenir les problèmes de cohabitation entre les animaux. Sa présence contribue également à dissuader les indélicatesses comme le vol d’aliments si ces derniers sont en libre-service.

L’image peut être visualisée sur tout ordinateur relié au réseau, par câble ou Wi-Fi. Par exemple, le praticien peut avoir un œil sur ce qui se passe à l’accueil depuis l’ordinateur de la salle de consultation, ou depuis la salle de repos, voire depuis son domicile si ce dernier est contigu à la clinique. Quant à l’auxiliaire, elle peut se référer à l’écran placé sur le comptoir d’accueil.

La salle d’attente n’est pas considérée comme un établissement recevant du public

Le chenil est une autre pièce qui peut être dotée d’une caméra. Cela permet au confrère de contrôler le réveil des animaux hospitalisés, de guetter l’apparition d’un comportement anormal, de suivre la fréquence respiratoire ou le niveau de la perfusion, voire les paramètres indiqués sur l’écran de l’appareil de monitoring, par exemple la fréquence cardiaque. Si la caméra est équipée d’un micro, il peut aussi surveiller les vocalises éventuelles.

Par ailleurs, la présence d’une caméra dans la salle de radiologie permet au propriétaire de “suivre” son animal tout au long de l’examen. Le même principe s’applique pour une opération de convenance lorsque la salle de chirurgie est équipée.

Une caméra peut également être installée à l’extérieur de l’établissement pour contrôler l’arrivée des urgences, notamment pendant les gardes de nuit. Cependant, dans ce cas, la législation sur le filmage des lieux publics s’applique si le champ de la caméra en balaye un, par exemple la rue (voir encadré ci-contre). Le corollaire est une demande d’autorisation à la préfecture et un affichage destiné aux propriétaires qui leur indique la présence de la caméra avant leur entrée dans le champ (ils ont, en outre, un droit d’accès aux images).

En revanche, la salle d’attente n’est pas, à l’heure actuelle, considérée comme un établissement recevant du public (ERP), mais comme un lieu de réception de clients. Certains confrères se voient cependant abusivement imposer des obligations liées aux ERP (accès pour les personnes handicapées, déclaration de vidéosurveillance, etc.). « Nous sommes en travaux pour officialiser cette situation et être définitivement classés, comme les cabinets des médecins, hors cette appellation d’ERP, précise Gérard Faure, trésorier du Conseil supérieur de l’Ordre. Si les règles des ERP nous sont abusivement imposées aujourd’hui, les cabinets et les cliniques vétérinaires seront nommément cités dans ou hors des ERP demain, après une clarification définitive. »

Au-delà des relations avec le public, si une structure vétérinaire est équipée d’un système de vidéosurveillance, l’employeur doit en informer les employés (articles L. 121-8 et L. 432-1 du Code du travail).

La surveillance à distance reste conditionnée au consentement éclairé du propriétaire

Si une connexion à l’Internet à haut débit existe, l’image peut être reçue sur tout ordinateur connecté à l’Internet et qui dispose des droits nécessaires. Il est ainsi envisageable que le propriétaire d’un animal hospitalisé visualise en direct les images du chenil. Il se connecte depuis son domicile et tape directement l’adresse IP (Internet Protocol) de la caméra et le mot de passe associé (spécifique au client) qui lui ont été fournis par le vétérinaire. Les clients de la clinique de Michaël Silber bénéficieront bientôt de ce service (voir l’entretien en page 33). Selon le système utilisé, si l’option est activée, le propriétaire pourra même contrôler les mouvements de la caméra et le zoom.

Peut-on alors imaginer une vidéosurveillance du chenil par le vétérinaire depuis son lieu de résidence ? Oui, sous réserve, bien entendu, que la distance entre le domicile et la clinique permette une intervention avec un délai approprié à l’affection de l’animal. Cette surveillance à distance reste cependant conditionnée à l’obtention préalable du consentement éclairé du propriétaire. « Pour prétendre à l’appellation « clinique vétérinaire », le domicile professionnel doit disposer d’un ensemble immobilier composé de locaux distincts affectés à la réception, à l’examen clinique, à la radiologie, aux interventions chirurgicales et à l’hospitalisation des animaux des espèces habituellement prises en charge par l’établissement […]. »(1) Contrairement à l’article 16 de l’ancien Code de déontologie, ce texte ne mentionne plus la « surveillance des animaux hospitalisés par un personnel qualifié », surveillance qui était implicitement assimilée par les tribunaux à une présence physique sur place. Cependant, les termes « gardes assurées jour et nuit », « vingt-quatre heures sur vingt-quatre », etc., sous-entendent implicitement une présence physique que la vidéosurveillance, couplée au consentement éclairé, ne peut remplacer.

Une utilisation sur différents supports (Palm, Pocket PC, etc.) est possible

La vidéosurveillance par l’Internet rend possible la visualisation sur des supports variés. La société Net Inovations propose par exemple un logiciel qui permet aux utilisateurs de Palm, de Pocket PC ou de smartphones d’accéder aux images envoyées par la caméra, soit par connexion GPRS, soit par Wi-Fi. Ainsi, à l’heure du repas, le vétérinaire peut contrôler le taux de remplissage de sa salle d’attente.

Concernant les performances techniques, le nombre d’images par seconde dépend du débit montant de la connexion ADSL, de la taille de l’image et de la compression utilisée (voir encadré « Calcul de la bande passante »). Le débit montant, c’est-à-dire le débit de la clinique vers le fournisseur d’accès à l’Internet, varie de 256 Kbps à 1 024 Kbps selon la zone (dégroupée ou non). La plupart des constructeurs de caméras recommandent un minimum de 128 Kbps. L’image peut être affichée en plein écran, ou bien occuper une petite fenêtre, pour une utilisation simultanée avec le logiciel de gestion de la clinique. De plus, les logiciels fournis avec les caméras permettent en général un système de mosaïque récupérant les images des différentes caméras de la clinique (de quatre à seize).

Faut-il opter pour du matériel numérique ou du matériel analogique ?

La surveillance avec plusieurs caméras peut nécessiter un processeur à haute performance. Le plus souvent, un simple navigateur suffit pour visualiser les images, ce qui évite d’installer un logiciel spécifique. L’accès est sécurisé par un mot de passe.

L’enregistrement des vidéos s’effectue sur un simple disque dur. Il peut être en réseau, ce qui permet de consulter ou de rechercher une séquence précise depuis n’importe quel ordinateur du réseau, ou bien de graver les vidéos sur un DVD.

Lors de l’achat d’une caméra, le premier choix concerne la technologie utilisée : analogique ou numérique. La première implique la mise en place d’un câblage spécifique et un investissement relativement lourd. Les fonctionnalités sont réduites à la visualisation, sur le lieu de travail, des images d’une caméra par écran. De plus, l’enregistrement des données, sur cassettes vidéo, est à la fois peu fiable, contraignant (changement journalier des cassettes) et peu pérenne.

La vidéosurveillance avec le système numérique, appelée également vidéosurveillance IP, peut exploiter le réseau Ethernet déjà présent dans la clinique. Même si les ordinateurs ne sont pas en réseau, sa mise en place est peu coûteuse. Et ce dispositif permet d’assurer un débit de transmission de plus en plus important. La norme actuelle, le réseau Gigabit, autorise ainsi la transmission théorique de 1 000 Mbps, soit environ 125 Mo par seconde.

Plusieurs solutions existent pour transmettre des images vidéo. La webcam, reliée au PC par un câble USB (jusqu’à 25 m en théorie si les rallonges sont mises bout à bout et que des amplificateurs sont utilisés) ou Firewire, est certes bon marché (à partir de 10 €), mais elle n’est pas véritablement adaptée à la vidéosurveillance. La caméra analogique connectée au PC nécessite une carte d’acquisition vidéo sur l’ordinateur. Elle offre des images de meilleure qualité comparée à la webcam, mais nécessite également d’être connecté à un PC.

Les caméras réseau, également appelées caméras IP ou caméras Internet, ont fait leur apparition il y a dix ans. Elles sont indépendantes de tout PC, contiennent un processeur, possèdent leur propre adresse IP sur le réseau et intègrent généralement un serveur web, un serveur ftp et un client e-mail. Elles autorisent jusqu’à trente images par seconde. Leur prix varie de moins de 100 € à plus de 2 600 €. Pour fixer son choix, il faut tenir compte de l’infrastructure réseau en place, de la qualité d’image exigée, de son utilisation, de sa localisation, du logiciel fourni et de sa facilité d’installation.

En l’absence de réseau Ethernet dans la clinique, si l’implémentation de nouvelles prises réseau se révèle coûteuse ou si les caméras doivent être fréquemment déplacées, il convient de s’orienter vers le sans fil (Wi-Fi). Il faut, dans ce cas, vérifier l’existence du cryptage de données à la norme WPA, niveau de sécurité de base pour les réseaux sans fil, afin d’éviter tout piratage du flux vidéo (le cryptage WEP est insuffisant).

La qualité de l’image dépend du type de capteur, de sa résolution et de la compression offerte (voir encadré « Les paramètres liés à la qualité d’image »).

Si la caméra doit filmer dans l’obscurité (de nuit dans le chenil, par exemple), il faut vérifier la luminosité minimale possible. Elle s’échelonne de 10 à 0,5 lux mais, pour une bonne vision de nuit, un capteur infrarouge, intégré ou à connecter à la caméra, est nécessaire. Cela permet de descendre la luminosité minimale à 0,005 lux. Si la caméra enregistre en couleur, elle doit être équipée d’un filtre infrarouge. Ce dernier est retiré automatiquement en cas de faible luminosité (fonction jour/nuit).

Contrôle à distance, zoom optique, détection de mouvements : choisir le bon produit

Le praticien peut vouloir contrôler la caméra à distance. Les caméras PTZ (pan, tilt et zoom) permettent la réalisation d’un panoramique, l’inclinaison et le zoom. Les angles de mouvement peuvent également être configurés pour effectuer des déplacements automatiques selon un timing prédéfini. C’est le cas avec l’Axis 213 PTZ, qui permet d’enregistrer jusqu’à vingt positions fixes et une séquence de positions (ronde automatique) prédéfinies par l’utilisateur pour accéder rapidement à des zones spécifiques. Les caméras dôme, comme l’Axis 232D, autorisent un panoramique à 360° et sont dotées d’une fonction patrouille (rotation en continu), appelée aussi “tour de garde”.

Un zoom numérique est souvent présent, mais il ne fait que grossir les pixels à l’écran. Beaucoup plus intéressant, certaines caméras proposent un zoom optique. L’Axis 213 PTZ intègre un zoom optique x 26 doublé d’un zoom numérique x 12.

Si la récupération du son est envisagée, il faut vérifier la présence d’un micro intégré ou la possibilité d’en connecter un externe.

D’autres fonctions des caméras IP peuvent orienter le choix du praticien. L’option “détection de mouvements” permet, par exemple, de ne déclencher l’enregistrement de la vidéo (ou d’augmenter le nombre d’images par seconde) que lorsqu’un mouvement est effectué. Il est également possible de limiter la détection à une zone particulière, ce qui permet de n’enregistrer que les mouvements d’une cage donnée. La Trendnet IP301W autorise jusqu’à trois fenêtres de détection. Cela permet d’économiser de l’espace sur le disque dur et élimine le temps perdu à visionner des images inutiles. Il est également possible d’activer cette fonction selon le sens de passage des personnes (pour la porte de la salle d’attente, par exemple) ou selon les heures d’ouverture.

Une interaction de la caméra avec d’autres périphériques, que ce soit vers la caméra ou vers le périphérique, est possible. Les entrées permettent de recevoir un signal puis de déclencher une action. Par exemple, la réception d’un son depuis un microphone externe, ou bien d’un signal en provenance d’un capteur infrarouge ou d’un commutateur de porte déclenchent l’enregistrement de la vidéo.

Les sorties permettent d’envoyer un signal. Par exemple, la perception d’un mouvement sur la caméra envoie un signal d’alarme sur un haut-parleur, un courriel avec la photo en pièce jointe ou encore un SMS d’avertissement.

Des modèles spécifiques de caméras existent pour les utilisations en extérieur. Un dôme de protection optionnel est alors recommandé, protégeant des intempéries et du vandalisme.

Le paramétrage peut se faire en amont, par le constructeur

La mise en place d’un système numérique de vidéosurveillance se résume en général à l’affectation d’une adresse IP à chaque caméra. La plupart ont cependant déjà une adresse IP par défaut. Il est ainsi souvent possible d’accéder à la caméra en tapant cette adresse, indiquée dans le manuel, directement dans le champ “adresse” du navigateur, quel que soit le système d’exploitation.

Le logiciel de gestion vidéo qui est fourni avec la caméra permet de visualiser les images de plusieurs caméras sur un même écran et de paramétrer la programmation de l’enregistrement ou les entrées-sorties. S’il n’est pas compatible avec les Macintosh, il faut vérifier que le paramétrage est possible par le navigateur Web. Dans le cas contraire, le plus simple est souvent d’effectuer les réglages depuis un PC. Certains constructeurs proposent également le paramétrage du dispositif en amont, selon la configuration du réseau, et livrent des caméras directement opérationnelles.

Si la connexion peut se faire depuis l’Internet, il est conseillé de demander l’intervention d’un spécialiste, qui sera à même de garantir la sécurité des données du réseau.

Enfin, il convient de ne pas oublier la durée de la garantie. Elle varie d’un à trois ans selon les modèles.

  • (1) Article 3 de l’arrêté paru au JO du 26/12/2003. Un tableau comparatif de différents modèles de caméras est disponible sur Planete-vet.com (rubrique « dossiers », puis « informatique »).

Ce que dit la législation

• Les caméras ne doivent pas filmer un lieu public sans autorisation préfectorale.

• Dans un lieu privé, les caméras ne doivent pas filmer un lieu qui n’est pas à l’intérieur de la propriété, même derrière la vitre d’une fenêtre privée.

• L’utilisation des caméras à l’intérieur d’une propriété relève du droit à l’image. En cas de vidéosurveillance d’un lieu de travail, qu’il soit public ou privé, un employeur est obligé d’informer les employés de l’utilisation d’un tel système (articles L. 121-8 et L. 432-1 du Code du travail).

• Les enregistrements de vidéosurveillance (et non la simple visualisation sur un écran) sont considérés comme des informations nominatives (soumises à la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978) et relatives à l’informatique, aux fichiers et aux libertés s’ils sont utilisés pour la constitution de fichiers nominatifs. Ils doivent donc faire l’objet d’une déclaration à la Commission nationale informatique et liberté (Cnil).

F. J.

Calcul de la bande passante

La bande passante (BP), exprimée Mbps, est calculée d’après le poids de l’image en Ko (P) et le nombre d’images par seconde (IPS) : BP = P x IPS/100. Une image de qualité correcte en petit format occupe environ 10 Ko.

Une image de grand format en qualité maximale peut atteindre 100 Ko. Par exemple, une image de 20 Ko avec un débit de quinze images par seconde nécessite une bande passante de 3 Mbps.

F. J.

Les paramètres liés à la qualité d’image

• Le capteur : c’est le composant qui détermine la qualité de l’image. Deux technologies sont utilisées : les capteurs CMOS (Complementary Metal Oxide Seminconductor) et les capteurs CCD (Charged Coupled Device). Ces derniers offrent une meilleure qualité d’image, mais les premiers sont moins chers et consomment moins d’énergie. La sensibilité à la lumière est meilleure avec les CCD, ce qui se traduit par une image finale plus performante en cas de sous-exposition.

• Le format de compression : la compression Motion JPEG, ou MJPEG, est la plus répandue. Avec elle, la caméra envoie chaque image compressée au format JPEG. Elle garantit une bonne qualité, même en cas de mouvement important. La compression MPEG permet de n’envoyer sur le réseau que la différence avec l’image précédente, ce qui diminue sensiblement le volume de données à expédier. Cette compression existe en plusieurs normes : MPEG-1, MPEG-2 et MPEG-4. Cette option est indiquée lorsque la bande passante disponible sur le réseau est limitée. Cependant, de nombreuses caméras réseau génèrent à la fois des flux MJPEG et MPEG, ce qui permet d’obtenir le meilleur selon le débit disponible et la fréquence d’images souhaitée.

• La résolution : la résolution du capteur de la caméra correspond au nombre de points (pixels) qui composent une image. Plus elle est élevée (par exemple 640 x 480 pixels, format VGA), meilleure est la résolution. Mais l’image transmise sur le réseau est plus lourde. Les formats 320 x 240 pixels (QVGA) et 160 x 120 pixels (QQVGA) sont souvent utilisés pour une visualisation sur l’Internet.

• La luminosité : la sensibilité minimale indique le nombre minimal de lux nécessaire pour une capture d’image. Il varie de 10 à 0,5 lux (cela peut descendre à 0,005 lux avec un capteur infrarouge). Certaines caméras, comme l’Axis 213PTZ ou la TV-P301W, intègrent la compensation de contre-jour, le contrôle d’exposition, la balance des blancs.

F. J.

QUELQUES RÉFÉRENCES

• Article 10 de la loi n° 95-73 d’orientation et de programmation relative à la sécurité du 21 janvier 1995 (dite loi Pasqua).

• Décret n° 96-926 du 17 janvier 1996 relatif à la vidéosurveillance, pris en application de l’article de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995.

• Loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés.

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