Dans un article publié en mai dernier sur PubMed, Nikita Bachelard, coordinatrice des affaires publiques à la Fondation Droit Animal, Éthique et Sciences (LFDA), une organisation française de protection des animaux, tente d'analyser les avancées obtenues en termes d'amélioration des conditions de transport des animaux vivants par le règlement (CE) n° 1/2005 portant sur le transport. Cet article reflète l’opinion d’une organisation non gouvernementales (ONG) mais il s'appui sur des preuves scientifiques et sur des rapports officiels et non officiels sur le transport d’animaux en Europe.
Malgré les améliorations apportées par le règlement (CE) n° 1/2005, qui vise à protéger les animaux pendant le transport, les enquêtes menées par des ONG et par les instances de contrôle de l’Union Européenne (UE) ont révélé des lacunes dans l'application de la loi mais aussi dans son contenu, indique Nikita Bachelard (LFDA) dans un papier paru en mars dernier. Un réglement strict En effet, le règlement (CE) n° 1/2005 s’applique au « transport d’animaux vertébrés vivants effectué à l’intérieur de la Communauté » afin de prévenir les « blessures ou souffrances indues » infligées aux animaux pendant le transport, de limiter autant que possible le transport d’animaux pendant un long voyage et de ...
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de La Semaine Vétérinaire
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