
© Pierre-François Isard
Avec la mise au point d’un test distribué aux vétérinaires, le groupe de recherche Glaucogen contribue à améliorer la prise en charge du glaucome canin.
« L’histoire ressemble à celle des marqueurs génétiques du cancer du sein détectés chez Angelina Jolie. Nous avons identifié des SNP, ou polymorphismes génétiques, c’est-à-dire des modifications du génome qui permettent de dire qu’un individu a une prédisposition génétique pour développer un glaucome », explique Pierre François Isard, spécialiste en ophtalmologie vétérinaire, membre du groupe de recherche Glaucogen, fondé il y a quatre ans pour explorer la physiopathologie du glaucome, l’une des premières causes de cécité chez le chien. « Le glaucome est une maladie assez compliquée. L’alerte clinique est fruste chez les animaux. Le praticien intervient souvent quand le pronostic visuel est ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres
Frédéric Thual