
© Min.Agri.Fr
Olivier Debaere (DGAL) tire un bilan positif du plan ÉcoAntibio 1, en partie lié à l’implication des vétérinaires, et se veut rassurant par rapport aux objectifs du plan ÉcoAntibio 2.
Une réussite collective des partenaires privés et publics, et en particulier du binôme vétérinaire-éleveur », se réjouit Olivier Debaere, au terme des cinq années du premier plan ÉcoAntibio. Le chef du bureau des intrants et de la santé publique en élevage au sein de la Direction générale de l’alimentation (DGAL) énumère pour nous les progrès actuels et les actions à venir, avec la deuxième phase du plan.
Le succès de la mobilisation
Le succès du plan ÉcoAntibio est directement lié à la mobilisation des vétérinaires et des éleveurs, qui était antérieure au plan ÉcoAntibio. Elle a permis son bon déroulé et je ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres
Michaella Igoho-Moradel