De fortes mesures législatives accompagnées d’un engagement des secteurs privés ont un réel impact sur le trafic d’espèces menacées. C’est la conclusion de l’étude visant à suivre les ventes en ligne d’espèces sauvages, menée par l’IFAW pendant 5 ans.
Le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) a mené pendant 5 ans un projet de surveillance des annonces en ligne, grâce à la collaboration d’un certain nombre de sites de e-commerce français. Depuis 2016, pas moins de 1875 petites annonces concernant 9 spécimens ou produits dérivés ont été identifiés. Elles concernaient par ordre d’importance l’ivoire (45 % d’entre elles), les félins (24 %), les gris du Gabon (12 %), les tortues d’Hermann (9%), les tortues grecques (4%), les tigres (3 %), les Aras Macao (2 %) et plus anecdotiquement les cornes de rhinocéros (5 annonces) et les Ara ...
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de La Semaine Vétérinaire
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