Une étude britannique met en évidence la prédisposition des chats persans aux maladies dermatologiques, ophtalmologiques et dentaires.
Une étude britannique, menée par le Royal Veterinary College en collaboration avec l’Université d’Edimbourg, s’intéresse à la santé des chats persans. Elle porte sur 3325 chats suivis par des structures vétérinaires généralistes depuis 2013 grâce au programme VetCompass®. Sans surprise, ces animaux au long pelage et souvent hypertypés sont vulnérables à de nombreuses affections. Au moins une anomalie est ainsi enregistrée dans leur dossier médical pour près de 65% d’entre eux. 12,7% ont des problèmes liés à leur pelage, 11,3% ont des affections dentaires, 7,2% ont une croissance excessive des griffes et 5,8% présentent un épiphora. Si les maladies sont regroupées ...
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Valentine Chamard