Après un embroglio médiatico-politique, les Français sont autorisés à se déplacer en vue d’adopter un animal en refuge. Non sans soulever des désaccords entre associations de protection animale, certaines estimant inadapté le protocole de choix de l’animal en amont, via Internet, exigé par le gouvernement.
Bien que peu de refuges soient actuellement en sur-capacité, un appel début avril de la Société protectrice des animaux (SPA), qui connait a contrario pour certaines structures une saturation, a été largement relayé dans les medias. L’association demande alors par voie de pétition un concept d’adoption solidaire, 95% digitalisé, pour que les animaux ne soient pas les victimes collatérales de la crise actuelle. Chronologie des faits.
Activité médiatique vibrionnante
Le 1er avril, une instruction de la DGAL permet aux bénévoles de poursuivre leur travail de nourrissage des chats libres, dans un périmètre restreint (1 km pendant 1 heure) autour de leur foyer. Le 7 ...
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Anne-Claire Gagnon