Le réseau de surveillance du virus de l’influenza porcin a révélé une légère diminution des élevages positifs en 2016, par rapport aux deux années précédentes. Les souches identifiées ne constituent pas une menace pour la filière, ni un danger pour la santé humaine.
La platerforme ESA (épidémiosurveillance santé animale) a publié sur son site les résultats de l’année 2016 du réseau de surveillance des virus influenza porcins (Résavip) circulants en métropole.
Créé en 2011, Résavip couvre tout le territoire national, à l’exception du Languedoc-Roussillon.
L'analyse des indicateurs de fonctionnement du réseau, mis en place en 2015, ont montré une bonne qualité globale du réseau.
En 2016, les 309 visites ont concerné 267 élevages situés dans douze anciennes régions et 28 départements, la Bretagne, la Normandie et les Pays de la Loire totalisant le plus de visites (respectivement 65,1% ; 11,1% et 7,4%). Le nombre de visites a diminué de ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres
Tanit Halfon