La pandémie de Covid-19 a mis au grand jour les conséquences des activités humaines destructrices de la Nature. Un fléau contre lequel les vétérinaires et leurs clients peuvent agir via des micro-dons aux associations de protection de la Nature.
« La pandémie de Covid-19 a fragilisé nombre d’associations de protection de la nature, notamment parce que ces acteurs sont habituellement financés par les parcs zoologiques qui ont dû fermer et se retrouvent eux-mêmes en difficulté financière. Les 6000 cabinets et cliniques vétérinaires de France, et leurs centaines de milliers de clients quotidiens, sont une autre source de générosité que nos associations espèrent voir jaillir », souligne les dirigeants du groupe Univet, qui ont mis en place en 2018 un fonds de dotation pour la nature.
Versement libre de 50 centimes lors du paiement par carte
Son fonctionnement repose sur le « micro-don biodiversité », ...
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Valentine Chamard
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