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Le vétérinaire évaluateur ne doit affirmer que des faits dont il a, par lui-même, vérifié la véracité.
Evaluations comportementales, diagnoses, responsabilités du vétérinaire, notion de risque, etc., sont autant de notions souvent délicates à manier. Une complexité renforcée par les multiples incohérences des textes législatifs qui ont été bâtis en capilotade depuis plus de dix ans sur les chiens dits “dangereux”. « Dans tous les cas, le dernier mot revient au juge », a prévenu Christian Diaz, le 17 mai dernier, lors d’un enseignement postuniversitaire sur l’évaluation comportementale organisé à l’école d’Alfort. Notre confrère, président de l’Association francophone des vétérinaires praticiens de l’expertise (AFVE), et Christine Debove, du conseil régional de l’Ordre d’Ile-de-France, ont effectué un tour ...