Les mesures classiques de biosécurité et d’hygiène le long de la chaîne alimentaire, ainsi que les process de transformation et de traitement des produits avicoles, permettent de maîtriser correctement le risque de contamination humaine. Ce risque est néanmoins limité à partir des produits avicoles, et aucune cas de botulisme n’a été rapporté en élevage ou en abattoir.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments (Anses) vient de publier un rapport d’expertise sur l’évaluation des mesures de maîtrise en filière avicole lors de la détection de cas de botulisme, suite à une saisine de la Direction générale de l’alimentation. L’objectif était de mettre à jour les connaissances et évaluation des risques pour appuyer les mesures de gestion de risque.Comme l’expliquent les auteurs du rapport, les cas de botulisme humain sont peut fréquents (incidence 7,5 foyers/an et 14,5 cas/an en moyenne entre 2008 et 2018), et surtout « les produits avicoles ont rarement été identifiés comme source de botulisme humain ». ...
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