
© Tanit Halfon
Une étude s’est intéressée à l’impact de l’animal de compagnie sur la composition de la flore intestinale chez de très jeunes enfants.
L’exposition à un animal de compagnie pendant la grossesse, et/ou immédiatement après celle-ci, modifie la flore intestinale du nouveau-né, selon une étude canadienne. La flore s’avère alors globalement plus riche en espèces bactériennes. Cette association est généralement indépendante des variables environnementales (modes de naissance-voie basse, césarienne-, origine ethnique de la mère, exposition aux antibiotiques, mode d’alimentation du bébé, etc).
Les chercheurs ont noté une hausse significative de Ruminococcus et Oscillospira chez les enfants exposés, indépendamment des conditions environnementales. Le lien entre ces bactéries et la santé des enfants n’est pas clairement démontré, bien qu’une étude ait observé une association entre l’obésité et ...
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de La Semaine Vétérinaire
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Tanit Halfon