
© Frédéric Decante
Entre des besoins mal définis par la profession et la qualité de vie revendiquée par les futurs vétérinaires, les quatre écoles nationales vétérinaires misent sur le qualitatif.
Tout en privilégiant les cas cliniques, la pratique et l’immersion en entreprise, les écoles tendent, autant que possible, à moderniser leur outil pour s’adapter aux nouveaux usages des étudiants et de la profession. « Quand je suis arrivé, au début de ma carrière, on touchait le fond, se souvient Yves Millemann, enseignant-chercheur en pathologie des animaux de production, responsable du département des productions animales et de santé publique à l’École nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA). Nous avons reçu un soutien fort de l’école, qui a alloué des crédits pour accueillir jusqu’à 400 animaux par an, développer le suivi d’élevage, améliorer les ...
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de La Semaine Vétérinaire
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Frédéric Thual
Soyons réalistes la rurale pure et dure n'est plus d'actualité.Les vêlages de nuit comme de jour fériés n’attirent plus les jeunes diplômés. De plus les conjoints sont rarement ravis d'avoir des conjoints vétérinaires inaccessibles à toute heure de jour comme de la nuit.
Pour peu que l'activité soit lucrative la fiscalité est dissuasive.
Aujourd'hui le bien être prends le pas sur l'activité nécrophage de la "clientèle".
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