Face à une recrudescence du nombre de cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo (CCHF) chez l’homme, les autorités françaises ont cherché à évaluer la situation en France et ont proposé de mettre en place de nouvelles mesures de contrôle chez le bétail Corse.
« De nouvelles activités de surveillance sur la tique H. marginatum et sur le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (CCHF) chez le bétail seront programmées en 2019 en Corse » selon la note de la Direction générale de l'alimentation (DGAL/SDSPA/2019-88) publiée le 1er février dernier.
Une maladie humaine sévère
En effet, face à une forte probabilité que la maladie s’étende à l’Europe de l’Ouest (déjà trois cas en Espagne en 2016 et 2018) et à la présence de l’une des principales espèces de tiques vectrices du virus, Hyalomma marginatum en Corse et sur le littoral méditerranéen français, il convient « de rester ...
Ce contenu est réservé aux membres du site Le Point Vétérinaire.fr
Vous avez déjà un compte ?
Vous n'avez pas de compte
Clothilde Barde
Je suis à l'origine de ces recherches en Corse avec tous les partenaires concernés (Cirad, Inra, Anses) et donc étonné par cet article très intéressant mais un peu hâtif et quelque peu anxiogène.
Pourriez vous me contacter rapidement svp?
Bien cordialement,
Dr Sébastien Grech-Angelini
Alerter la rédaction sur une réaction