A l’occasion d’une harmonisation au sein de l’Union Européenne de l’étiquetage de l’origine des denrées alimentaires, une consultation publique ciblée spécifiquement sur les viandes a été ouverte depuis le 9 décembre 2019 et jusqu’au 2 mars 2020 auprès des consommateurs.
Les règles européennes actuelles établies pour l’indication obligatoire de l’origine sont-elles efficaces, efficientes, cohérentes et pertinentes et apportent elles une valeur ajoutée européenne ? Telle est l’ensemble de questions auxquelles les consommateurs peuvent répondre jusqu’au 2 mars prochain sur le site internet de l’Union Européenne dans le cadre d’une consultation citoyenne.
Des consommateurs de plus en plus exigeants
Ainsi, dans un contexte où les parts d’importations ne cessent de croître sur notre marché intérieur, l’étiquetage de l’origine est devenu une question centrale au sein du débat public. Le consommateur veut plus d’informations concernant l’origine et la composition des produits, et ce, dans un cadre harmonisé et transparent. Or, comme l’indique la Commission européenne (CE) dans le résumé de la consultation publique,
actuellement les règles générales relatives à l’étiquetage des denrées alimentaires doivent garantir « la mise à disposition d’informations claires sur le contenu et la composition des produits alimentaires mais aussi sur le pays d’origine ou le lieu de provenance pour les viandes fraîches, réfrigérées et congelées des animaux de l’espèce porcine, ovine, caprine et de la volaille ».
Une réglementation suffisante ?
Par cette évaluation externe, la CE cherche donc à obtenir des informations et des réactions des parties prenantes et d’un public plus large (États membres de l’Union européenne, consommateurs et organisations de consommateurs, agriculteurs et organisations d’agriculteurs…) au sujet de la réglementation actuelle sur l’étiquetage des denrées alimentaires. Les résultats de cette évaluation devraient ensuite être utilisés dans un rapport final de la CE sur l’étiquetage obligatoire de l’origine, attendu pour avril 2020.
Des consommateurs de plus en plus exigeants
Ainsi, dans un contexte où les parts d’importations ne cessent de croître sur notre marché intérieur, l’étiquetage de l’origine est devenu une question centrale au sein du débat public. Le consommateur veut plus d’informations concernant l’origine et la composition des produits, et ce, dans un cadre harmonisé et transparent. Or, comme l’indique la Commission européenne (CE) dans le résumé de la consultation publique,
actuellement les règles générales relatives à l’étiquetage des denrées alimentaires doivent garantir « la mise à disposition d’informations claires sur le contenu et la composition des produits alimentaires mais aussi sur le pays d’origine ou le lieu de provenance pour les viandes fraîches, réfrigérées et congelées des animaux de l’espèce porcine, ovine, caprine et de la volaille ».
Une réglementation suffisante ?
Par cette évaluation externe, la CE cherche donc à obtenir des informations et des réactions des parties prenantes et d’un public plus large (États membres de l’Union européenne, consommateurs et organisations de consommateurs, agriculteurs et organisations d’agriculteurs…) au sujet de la réglementation actuelle sur l’étiquetage des denrées alimentaires. Les résultats de cette évaluation devraient ensuite être utilisés dans un rapport final de la CE sur l’étiquetage obligatoire de l’origine, attendu pour avril 2020.
