Afin de proposer aux éleveurs engraisseurs des alternatives aux antibiotiques, l’unité BIOEPAR de l'Institut National de la recherche agronomique et de l'environnement (Inrae), qui travaille à l’interface entre la médecine vétérinaire et la modélisation épidémiologique, a développé des outils d’aide à la décision pour optimiser les facteurs liés à la gestion logistique de ces animaux.
La plupart des cas de maladies respiratoires des jeunes bovins survient dans les semaines qui suivent le transfert des animaux depuis les éleveurs "naisseurs" vers des centres d’engraissement indique un récent communiqué de l'Inrae. Or, comme ces affections du début de la période d’engraissement ont des conséquences sanitaires et économiques importantes en élevage, l’unité BIOEPAR de l'Inrae a étudié les facteurs liés à la gestion logistique de ces animaux pour proposer aux éleveurs engraisseurs des alternatives aux antibiotiques.Des infections déjà chez le naisseurA cet égard, l'équipe de chercheur a d’abord identifié trois facteurs favorisant les maladies respiratoires bovines à partir d’un jeu de données fourni ...
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de La Semaine Vétérinaire
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Clothilde Barde