Dans un article réalisé pour le média néo-zélandais Newsroom, la journaliste indépendante Bonnie Summer a révélé la pression ressentie par les vétérinaires, en raison des comportements de certains clients que le confinement a rendu pour le moins hostiles.
En Nouvelle-Zélande, la médecine vétérinaire est considérée comme un service essentiel, mais à l’instar de la France, les praticiens ne peuvent pas réaliser des consultations ou des interventions non indispensables. Malgré cela, de nombreuses cliniques sont inondées de demandes non urgentes de clients « hystériques ». Une vétérinaire de Hawkes Bay, qui a témoigné de façon anonyme, a déclaré qu’elle devait gérer des propriétaires abusifs. La clinique vétérinaire reçoit des centaines de courriels et d'appels chaque jour pour des problèmes non urgents, de personnes frustrées de ne pas pouvoir faire tailler les griffes de leur chien ou qui appellent au ...
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Bénédicte Iturria