Envie d’ailleurs ou besoin d’étoffer son curriculum vitæ d’expériences professionnelles variées, l’expatriation séduit de plus en plus les vétérinaires diplômés en France. Au-delà de nos frontières, des étudiants attirés par l’excellence ont, quant à eux, choisi d’être formés dans l’une des écoles vétérinaires françaises (ENV). Dans les deux cas, de plus en plus de vétérinaires considèrent que leur avenir professionnel se trouve à l’étranger. Témoignages.
Les chiffres le démontrent, de plus en plus de Français choisissent de s’installer à l’étranger et la profession vétérinaire n’échappe pas à cette tendance. Fraîchement diplômés ou expérimentés, des vétérinaires formés en France choisissent de s’expatrier. Europe, Afrique, Asie ou encore Amérique du Nord, les frontières ne sont plus un frein au mouvement. Un travail de thèse publié en 2013 soulignait que sur 18 000 vétérinaires en exercice diplômés des écoles nationales vétérinaires (ENV), 4 % travaillaient à l’étranger, contre 2 % dans les années 1980. Des chiffres sans surprise si l’on en croit les données de l’annuaire Roy. D’autres vétérinaires, attirés notamment par la qualité de la formation dispensée dans les ENV, ont, pour leur part, choisi d’être diplômés en France. L’adaptabilité, l’esprit pratique et de synthèse, l’aisance relationnelle et le pragmatisme des vétérinaires sont des qualités particulièrement prisées. Découvrez les témoignages de ces praticiens qui exercent aux quatre coins du globe.
Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 42-47 de La Semaine Vétérinaire n° 1731.
