Deux arrêtés confortent les récentes annonces du ministre de l’Agriculture sur l’arrêt de la castration des porcelets à vif. Ils permettent aux éleveurs de pouvoir réaliser, si besoin, des anesthésies locales.
Le ministère de l’Agriculture aurait-il choisi la voie de l’anesthésie locale pour l’arrêt de la castration à vif des porcelets ? C’est ce que laisse penser deux récents arrêtés, datés du 24 février et publiés au journal officiel le 27.
Le premier est relatif aux normes minimales pour la protection des porcs d’élevage. Il y est ainsi indiqué que « la castration chirurgicale à vif des porcs domestiques mâles est interdite » et que « seule la castration chirurgicale avec anesthésie et analgésie par d'autres moyens que le déchirement des tissus est autorisée ».
Le deuxième arrêté est spécifiquement dédié à la gestion de la ...
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de La Semaine Vétérinaire
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Tanit Halfon