Du bon usage de l’affichage en entreprise - Le Point Vétérinaire.fr

Du bon usage de l’affichage en entreprise

Françoise Sigot | 25.09.2014 à 14:57:21 |
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La loi l’impose mais, parfois, les salariés n’en disposent pas… Source essentielle d’information, l’affichage doit pourtant être une pratique parfaitement organisée. Revue de détail des éléments à porter à la connaissance de ses collaborateurs par voie d’affichage.

Inutile de penser s’y dérober ! L’affichage d’un certain nombre de documents au sein des locaux de la structure vétérinaire est une obligation directement issue du Code du travail. Son objectif : permettre à chaque salarié de consulter n’importe quand différentes informations relatives à la vie de l’entreprise. Le postulat ne divise guère. Cependant, à l’heure d’afficher, nombre d’employeurs ne savent pas où et quoi porter à la connaissance de leurs équipes. Là encore, le Code du travail impose certaines règles, qui diffèrent selon la taille de la société. « L’affichage vise ni plus ni moins à simplifier l’accès à l’information. Les éléments ainsi diffusés servent à faciliter les démarches entreprises par les salariés dans un cadre professionnel ou à les informer des pratiques illégales », résume Timo Rainio, avocat au barreau de Lyon

Les textes obligatoires à afficher
Pour autant, si la nature et le nombre de documents varient selon les effectifs, ce principe s’impose dès le premier salarié. Ainsi, quelle que soit la taille de la structure vétérinaire, il convient d’afficher la convention collective applicable, les coordonnées de l’inspecteur et du médecin du travail comme celles de la caisse de congés payés, le document unique d’évaluation des risques professionnels, qui précise le lieu et le mode de consultation, les horaires collectifs de travail et l’intitulé de la convention collective. Il en va de même pour les numéros des services de secours, d’urgences, des pompiers, du Samu, etc. Les ordres de départ en congés, les dates de repos hebdomadaires, lorsque celui-ci est donné un autre jour que le dimanche. Pour les vétérinaires, il faut ajouter les tarifs des actes et les mesures de radioprotection.

Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 40 et 41 de La Semaine Vétérinaire n° 1598

Françoise Sigot
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