Radiographie de l'appareil respiratoire profond des équidés adultes : bonnes pratiques - Pratique Vétérinaire Equine n° 157 du 01/01/2008
Pratique Vétérinaire Equine n° 157 du 01/01/2008

Auteur(s) : Nathalie Spindler*, Anne Couroucé-Malblanc**

Fonctions :
*Clinique vétérinaire équine
Méheudin, 61150 Écouché
**ENV de Nantes
Atlanpôle La Chantrerie
BP 40706 - 44307 Nantes Cedex 03

Chez le cheval adulte, trois clichés radiographiques sont nécessaires afin d'explorer l'appareil respiratoire profond. Leur qualité dépend de la technique radiographique et du format de l'animal.

Les affections de l'appareil respiratoire profond des équidés adultes regroupent celles des voies aériennes profondes, des poumons, de la plèvre et des formations médiastinales en relation avec la fonction respiratoire. Elles représentent une des causes médicales majeures d'intolérance à l'effort, tant chez le cheval que chez l'âne ou le poney.

Parmi les techniques d'imagerie permettant l'exploration de l'appareil respiratoire profond en complément d'un examen clinique rigoureux, la radiographie apparaît comme une méthode de choix. Elle permet une visualisation globale du champ pulmonaire et apporte de nombreuses informations structurelles (et quelques indications fonctionnelles) intéressantes. Un appareil radiographique assez puissant est nécessaire, mais des clichés interprétables du poumon caudal peuvent être obtenus avec un minimum d'équipement.

Cet article propose l'étude de l'examen radiographique de l'appareil respiratoire profond chez les équidés adultes. Le terme d'“équidé adulte” n'a pas de signification physiologique. Il a été choisi pour une certaine homogénéité vis-à-vis de la technique radiographique et de la pathologie. L'étude s'intéresse à la radiographie pulmonaire de tous les équidés domestiques, réalisée chez un animal debout (seules des projections latérales sont possibles), nécessitant des constantes élevées et plusieurs clichés pour une évaluation globale du champ pulmonaire.

Rappels anatomiques

L'anatomie macroscopique du thorax des équidés adultes est un prérequis essentiel (voir les “Projections du poumon, du récessus costo-diaphragmatique de la plèvre et du diaphragme dans la cage thoracique d'un cheval adulte” et “Anatomie de la face médiastinale du poumon droit”) [1, 13]. En effet, les particularités anatomiques déterminent le choix du matériel à utiliser et de la méthode à mettre en œuvre, afin d'obtenir des images radiographiques de qualité permettant une exploration optimale du thorax. De plus, leur connaissance est indispensable, tant pour l'interprétation des clichés obtenus, que pour la reconnaissance des structures normales et l'étude sémiologique.

Matériel et méthode

Adaptation de la technique radiographique

La technique radiographique de l'appareil respiratoire profond des équidés adultes est intimement liée à certaines particularités anatomiques de ces animaux (voir le “Adaptation de la technique radiographique aux particularités anatomiques des équidés adultes”).

Réalisation des clichés

La radiographie de l'ensemble du champ pulmonaire du cheval adulte nécessite la prise de deux à quatre clichés à l'aide de films mesurant 35 x 43 cm en incidences latéro-latérales qui se superposent [5, 7, 11, 14]. La réalisation de trois clichés semble un bon compromis, car cela permet d'adapter les constantes radiographiques à chaque zone [11]. La surface pulmonaire couverte est ainsi presque complète, hormis la partie cranio-ventrale située entre le bord cranial du cœur et l'humérus (voir la “Localisation des différentes radiographies sur un profil droit”).

La radiographie de cette zone, recouverte par la superposition de la musculature d'au moins un membre thoracique, nécessite des constantes très élevées pour un apport diagnostique limité. Cette vue n'est réalisée qu'en cas de suspicion clinique.

Le cheval peut être tranquillisé. Cependant, le bon alignement du corps par rapport à la cassette est alors plus difficile. Un aide, portant des vêtements de radioprotection, tient le cheval à la tête. Les membres antérieurs du cheval sont légèrement avancés pour diminuer la masse musculaire sur le thorax cranial.

Une première radiographie centrée sur le poumon caudal est réalisée (, , et ). Une croix en ruban adhésif, qui symbolise le centrage du cliché, sert de repère pour les autres prises. Elle est placée en regard de la dixième côte, environ au tiers supérieur de la hauteur du thorax. La cassette est placée horizontalement dans le porte-cassette. En fonction de la qualité d'image désirée (nombreux rayonnements diffusés pour une épaisseur supérieure à 10 cm et pour des kV supérieurs à 70) et de la puissance du générateur, une grille est interposée entre la cassette et le cheval, ou la cassette est placée dans un Potter-Bucky () [5, 9]. Idéalement, le foyer et la cassette sont alignés horizontalement et verticalement. La distance foyer-film (DFF) est d'environ 2 m (voir le “Choix de la distance foyer-film”) [7] ; elle peut être réduite jusqu'à environ 1 m pour des chevaux gras ou musclés et selon la puissance du générateur. Ainsi, 1,50 m semble un bon compromis entre les constantes nécessaires et les phénomènes de distorsion géométrique.

Les constantes utilisées sont un kilovoltage le plus élevé possible (+/- 100 kV selon la puissance de l'appareil), et des mAs les plus importants sans entraîner de flou cinétique majeur (16 à 20 mAs). Le temps de pose le plus court possible est souhaité (≤ 0,1 s) avec adaptation des milliampères. Le cliché est pris si possible en fin d'inspiration (voir le “Choix du moment de la prise du cliché”), en évitant que le cheval ne bouge. La radiographie est développée. Si le premier cliché est mal centré, le repère est replacé avant de réaliser un nouvel essai.

Si le premier cliché est réussi, le centrage de la radiographie du poumon ventral est effectué en plaçant un nouveau repère une dizaine de centimètres plus cranialement (vers la sixième côte) et plus ventralement. Les constantes (kV +/– mAs) sont légèrement plus élevées pour le poumon cranial et la base de l'aorte par rapport au poumon caudal. La cassette est placée horizontalement et le nouvel alignement foyer-film est réalisé. L'image est prise dans les mêmes conditions que précédemment.

Enfin, une dernière radiographie centrée sur la base de l'aorte est mise en œuvre. Le centrage est symbolisé par un troisième repère situé plus cranialement et plus ventralement, juste en arrière et au-dessus de la pointe du coude. En théorie, les trois repères forment une courbure convexe ventralement. La cassette est placée verticalement.

Le temps nécessaire à la réalisation des radiographies est de 15 à 45 minutes selon le cheval.

Le choix des constantes varie avec la technique radiographique [7]. Il dépend du couple écran-film (elles diminuent quand la rapidité du couple augmente), de l'utilisation ou non d'une grille (elles augmentent avec l'utilisation d'une grille), de la distance foyer-film (elles augmentent avec la DFF selon la loi du carré des distances). En revanche, en raison de la taille du thorax des équidés adultes, le choix des constantes est peu dépendant de la morphologie du cheval. Quelques variations sont notées en fonction du poids de l'animal (plus que du périmètre thoracique), de la forme du thorax, du rapport muscle/graisse, et notamment de la quantité de graisse médiastinale et sous-cutanée (modification du contraste de l'image). La position du cheval, la fréquence et l'amplitude de ses mouvements influent sur le temps de pose (voir l'encadré “Matériel et compétences pour réaliser des clichés de l'appareil respiratoire profond”).

Anatomie radiographique

Il s'agit de décrire des clichés réalisés chez des équidés sains afin d'identifier les images des différentes structures observées ( et ).

Structures délimitant le champ pulmonaire

Caudo-ventralement, le diaphragmeest très oblique et cache une grande partie de l'aire pulmonaire sur la vue latérale, d'où l'intérêt de prendre la radiographie en pleine inspiration. La partie supérieure du diaphragme est séparée en hémicoupole gauche, qui recouvre la plus grande partie de l'estomac (bulle d'air), et en hémicoupole droite. Latéralement, l'image des côtes est devinée. Dorsalement, le bord ventral des corps vertébraux est visible sur la vue diaphragmatique.

À l'état normal, le système formé par la plèvre pariétale, l'espace pleural et la plèvre viscérale est suffisamment fin pour qu'il ne soit pas possible de le distinguer des tissus environnants sur une image radiographique. L'incisure cardiaque dégage la moitié ventrale du cœur de tout tissu pulmonaire. Cette zone est donc dépourvue de vaisseaux pulmonaires. Cette image ne doit pas être confondue avec celle d'une consolidation pulmonaire (aspect similaire mais dans une autre localisation pulmonaire).

Structures cardiovasculaires

Les vaisseaux pulmonaires, contrastés par l'air alvéolaire, sont visibles sous la forme de structures tubulaires, de densité liquidienne, qui se divisent en allant du centre vers la périphérie du champ pulmonaire. Vus en coupe, ils apparaissent comme des nodules denses, circulaires ou ovoïdes, de contour net. Les vaisseaux centraux sont larges, donc faciles à visualiser individuellement, tandis que les vaisseaux périphériques, en raison de leur petite taille, dessinent un réseau plus difficile à déchiffrer. Ils contribuent néanmoins à l'établissement de la densité pulmonaire dite “de fond”.

Cœur

Parmi les structures cardiovasculaires majeures, le cœur masque les territoires pulmonaires superposés cranialement. Le bord caudal du ventricule gauche se superpose plus ou moins au diaphragme selon la phase respiratoire. L'atrium gauche correspond à la limite la plus caudale du cœur. Quand le cœur est de taille normale, les images des sixième et septième paires de côtes se superposent à la projection de l'atrium gauche.

Aorte

L'aorte émerge du ventricule gauche au niveau de la quatrième paire de côtes, puis se poursuit dorso-caudalement sous le corps des vertèbres. Elle est de radiodensité intermédiaire, large (5 à 7 cm de diamètre) et facile à reconnaître car elle est entourée de poumon aérique. Au niveau de son incurvation, elle se situe juste au-dessus de la carène, puis son trajet se poursuit dorso-caudalement sous les corps vertébraux. Il devient difficile de la distinguer caudalement à T9-T10. L'image de l'aorte se confond alors avec la densité pulmonaire qui augmente dans le poumon caudal et se superpose avec la musculature vertébrale [2].

Artères pulmonaires

Les artères pulmonaires principales se divisent en artères lobaires caudales droite et gauche, en artère lobaire moyenne et en artère lobaire craniale, dont le trajet se poursuit en direction caudo-dorsale. Les artères lobaires émettent des artères segmentaires dorsales et ventrales dont le diamètre se réduit progressivement vers la périphérie du champ pulmonaire où leur identification devient difficile.

Veines pulmonaires

Les veines pulmonaires sont bien visibles lors de leur entrée dans l'atrium gauche (au niveau de la sixième ou de la septième côte) sous forme de cylindres superposés de radiodensité moyenne et d'un diamètre réuni de 6 à 8 cm sur le cliché radiographique. Le système veineux pulmonaire n'est pas aussi bien visualisé que le système artériel. Il est possible de distinguer les veines pulmonaires caudales, dont le trajet est parallèle à celui des artères, qui drainent plusieurs veines intersegmentaires horizontales. En périphérie, les réseaux artériel et veineux sont parallèles ; cependant, en raison du phénomène de distorsion géométrique, il est impossible de connaître la nature d'un vaisseau. La triade artère-bronche-veine est rarement retrouvée car ces structures se superposent transversalement.

Veine cave caudale

La veine cave caudale semble prendre sa source dans la moitié ventrale du diaphragme, puis elle se dirige vers le cœur horizontalement. Elle mesure de 4 à 6 cm de diamètre.

De même densité radiographique que l'atrium gauche, son image se perd alors par superposition (effet silhouette). Son image est plus nette sur la vue latérale droite car elle est située du côté droit du thorax. Sous la veine cave caudale, le triangle radiotransparent correspond à la projection d'une partie d'un lobe accessoire du poumon droit.

Voies aériennes

L'image des voies aériennes pulmonaires est caractérisée par deux lignes fines, parallèles, d'opacité liquidienne et séparées par une bande radiotransparente représentant la lumière bronchique. En coupe transversale, elles apparaissent comme de fines structures en anneau avec un centre plus sombre.

Trachée

La trachée est matérialisée par deux lignes parallèles horizontales radioopaques séparées d'environ 4 cm. Elle est située dorsalement à la base du cœur. Seule la muqueuse trachéale est visible puisqu'elle est soulignée par l'air contenu dans la trachée. La face externe de la paroi de la trachée est, au contraire, normalement invisible car elle est entourée de structures de même densité. Sa forme est légèrement modifiée entre une radiographie en fin d'inspiration, où elle apparaît légèrement collabée, et un cliché obtenu en fin d'expiration où elle est évasée. La bifurcation de la trachée, appelée carène, est située entre le départ de l'aorte cranialement, le départ des artères pulmonaires ventralement et les images des cinquième et sixième côtes caudalement.

Arbre bronchique

Dans la zone de la carène, deux à quatre coupes circulaires radiotransparentes correspondant à celles des bronches lobaires craniales gauche et droite et des bronches lobaires moyennes gauche et droite peuvent être visualisées. La bronche principale gauche (puis la bronche lobaire caudale gauche) est plus dorsale que la bronche droite correspondante en raison de son association étroite avec l'atrium gauche. Enfin, il est possible d'observer la bronche du lobe accessoire et ses divisions.

En périphérie, de nombreux petits vaisseaux pulmonaires et de fines structures bronchiques avec des parois parallèles sont distingués. L'épaisseur des parois bronchiques étant importante, ces structures restent visibles jusqu'à la quatrième ou la cinquième division bronchique chez le cheval sain. Cela ne doit pas être interprété comme un signe anormal, à la différence des images obtenues chez l'homme ou le chien. Une moins bonne visualisation de ces détails peut être due à une légère augmentation de la densité pulmonaire.

Parenchyme pulmonaire

Le parenchyme pulmonaire est observé par soustraction de toutes les autres structures individualisables. Le parenchyme pulmonaire est radiotransparent, car il est constitué surtout d'air contenu dans les alvéoles et les bronches.

Chez le cheval sain, la densité radiographique du parenchyme pulmonaire est particulièrement importante, surtout si elle est comparée à celle du chien ou du chat [10].

Plusieurs facteurs interviennent pour expliquer cette densité pulmonaire :

- la largeur du thorax (qui peut atteindre 1 m) et l'épaisseur de la paroi thoracique (peau, muscles, graisse, côtes, etc.) ;

- la superposition des deux poumons ;

- le réseau vasculaire fin mais dense (vaisseaux pulmonaires qui forment un réseau complexe de bifurcations, parsemé en arrière-plan de petits nodules représentant des coupes transversales de vaisseaux dont le diamètre est inférieur à 0,75 cm), et les réseaux lymphatique et bronchique participant à la “trame de fond” ;

- le parenchyme interstitiel dont les structures de soutien sont, histologiquement, proches de celles de l'homme et intermédiaires entre celles de la vache et du chien. Il apparaît sous la forme d'une fine lame réticulée, qui n'est jamais retrouvée sur les radiographies pulmonaires des carnivores domestiques [10].

Variations physiologiques

Format de l'animal

Chez les chevaux gras, l'épaisseur de graisse entre la paroi thoracique et les muscles intercostaux est importante, de même que la quantité de graisse présente dans le médiastin. La présence abondante de tissu adipeux concourt à augmenter l'opacité radiographique pulmonaire globale, ainsi que la quantité de rayonnements diffusés qui affectent le contraste et la résolution. Les clichés thoraciques sont plus blancs (sous-exposés) et la perte de détails est importante.

Les plus belles images sont réalisées chez les chevaux maigres (, , et ).

Âge

Chez les équidés âgés, une augmentation de l'opacité pulmonaire d'origine interstitielle est notée. Cela se traduit par la perte de détails structurels, comme l'impossibilité de visualiser des structures vasculaires fines. Ce changement est consécutif à une fibrose pulmonaire chronique (augmentation du volume de tissu interstitiel). De plus, avec l'âge, les anneaux de la trachée et la paroi des bronches principales peuvent apparaître plus marqués en raison de la minéralisation du cartilage.

Phase respiratoire

Les radiographies prises en fin d'expiration donnent l'impression d'une opacité pulmonaire plus élevée car le rapport air/tissus est diminué. Ainsi, les tissus mous deviennent majoritaires, ce qui donne l'illusion d'une opacification de type interstitiel. Le même phénomène se produit si une grande quantité de fluide ou une masse importante est présente dans la cavité abdominale (). Dans ce cas de figure, l'inspiration complète est impossible et la position du diaphragme modifiée.

Évaluation de la qualité des clichés

Avant toute description et toute interprétation des clichés, il convient de s'assurer de leur bonne qualité. Le risque majeur est de confondre une densification artéfactuelle de l'image avec une opacification diffuse pathologique. L'évaluation de la qualité des radiographies s'effectue selon six critères (voir le “Six critères d'évaluation de la qualité du cliché radiographique”). La radiographie de l'appareil respiratoire profond des équidés adultes nécessite des installations adéquates, notamment un appareil radiographique suffisamment puissant. La réalisation de trois clichés de profil permet de couvrir l'ensemble du champ pulmonaire et apporte de nombreuses informations structurelles. Le parenchyme apparaît physiologiquement dense, avec l'observation d'une fine trame réticulée. Il convient, afin de prévenir des erreurs par omission ou liées à des artefacts, de s'assurer de la qualité du cliché avant toute analyse. Dans tous les cas, l'apprentissage de l'anatomie radiographique est un prérequis essentiel à la description et à l'interprétation des images.

  • Remerciements à Stéphane Madec et à la Clinique vétérinaire équine de Méheudin.

Éléments à retenir

> L'anatomie du thorax conditionne la technique radiographique, ainsi que la description et l'interprétation des clichés.

> Des clichés du poumon caudal peuvent être obtenus avec des appareils de faible puissance.

> Des profils droit et gauche permettent de localiser une lésion par le phénomène de distorsion géométrique.

> Vérifier la qualité d'un cliché est un préalable à toute description.

Matériel et compétences pour réaliser des clichés de l'appareil respiratoire profond

> Salle aux normes de la radioprotection

> Personne compétente en radioprotection

> Des vêtements de radioprotection

> Un dispositif porte-cassette ()

> Un appareil de radiographie suffisamment puissant (, , ). Avec un appareil peu puissant, des radiographies du poumon caudal peuvent cependant être envisagées ( et )

> Une grille

> Des cassettes de 30 x 40 cm constituées d'écrans renforçateurs terres rares (T16) renfermant des films rapides.

Références

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  • 2 - Butler JA, Colles C et coll. The thorax. In : Clinical radiology of the horse. 2nd ed. Blackwell Science, Philadelphia. 1999 : 483-528.
  • 3 - Cirier PA. La radiographie pulmonaire chez le cheval. Prat. Vét. Équine. 2002 ; 34(135) : 25-33.
  • 4 - Cirier PA. Contribution à l'étude de la radiographie de l'appareil respiratoire profond chez le cheval. Thèse Méd. Vét. Toulouse. 2000 : 74.
  • 5 - Farrow CS. Radiography of the equine thorax : Anatomy and technic. Vet. Radiol. 1981 ; 22(2) : 62-68.
  • 6 - Farrow CS, Thrall DE. The lung. In : Textbook of veterinary diagnostic radiology. 3e ed. WB Saunders, Philadelphia. 1998 : 403-416.
  • 7 - Feeney DA, Gordon BJ et coll. A 200 centimeter focal spot-film distance (FFD) technique for equine thoracic radiography. Vet. Radiol. 1982 ; 23(1) : 13-19.
  • 8 - Guetty R. The anatomy of domestic animals. Vol. II. WB Saunders, Philadelphia. 1975 : 281-282.
  • 9 - King GK, Martens RJ et coll. Equine thoracic radiography. Part I : air-gap rare-earth radiography of the normal equine thorax. Compend. Contin. Educ. Pract. Vet. 1981 ; 3(7) : 278-281.
  • 10 - Lakritz J, Wisner ER et coll. Morphologic and morphometric characterization of lung collagen content in clinically normal adult thoroughbreds in race training. Am. J. Vet. Res. 1995 ; 56(1) : 11-18.
  • 11 - Le Nihouannen JC. La radiographie du poumon du cheval. Prat. Vét. Équine. 1989 : 21(4) : 12-13.
  • 12 - Ruel Y. La radiographie thoracique chez les carnivores domestiques (CD-Rom). Éd. du Point Vétérinaire. 2001.
  • 13 - Sande RD. The pleural space. In : Textbook of veterinary diagnostic radiology. 3e ed. WB Saunders, Philadelphia. 1998 : 397-402.
  • 14 - Sanderson GN, O'Callaghan MW. Radiographic anatomy of the equine thorax as basis for radiological interpretation. N. Z. Vet. J. 1983 ; 31 ; 127-130.
  • 15 - Stambouli F. Méthode d'examen d'un cliché thoracique. Point Vét. 1995 ; 27(167) : 75-78.
  • 16 - Venner M, Deegen E. La radiographie thoracique chez le cheval. Prat. Vét. Équine. 2004 ; 36 : 46-49.
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