Spécificités de l'examen histopathologique par organe - Pratique Vétérinaire Equine n° 153 du 01/01/2007
Pratique Vétérinaire Equine n° 153 du 01/01/2007

Auteur(s) : Karin Lemberger*, Alexandra Nicolier**

Fonctions :
*DMV, Dipl. ACVP
Laboratoire Vet Diagnostics
60, avenue Rockefeller
69008 Lyon
**DMV, Dipl. ECVP
Laboratoire Vet Diagnostics
60, avenue Rockefeller
69008 Lyon

Le matériel nécessaire et la méthode de prélèvement histopathologique utilisée diffèrent en fonction de la localisation de l'échantillon et des hypothèses diagnostiques. Des précautions spécifiques sont nécessaires pour chaque type de biopsie ou d'exérèse.

Une fois que le praticien maîtrise les principes généraux de prélèvement et les indications de l'examen histopathologique, il lui reste encore à s'adapter à l'organe qu'il souhaite explorer. En effet tous les organes ne peuvent être prélevés avec le même matériel ou la même facilité.

Prélèvements par types d'organe

Prélèvements cutanés

Les biopsies et pièces d'exérèse cutanées sont les prélèvements d'histologie les plus fréquemment traités dans les laboratoires d'anatomopathologie vétérinaire. Les principales indications en sont l'identification d'un agent causal lors d'affection inflammatoire d'origine infectieuse, immunitaire ou toxique. Elles permettent aussi la différenciation des différents types de tumeurs, et aident à établir un diagnostic, à donner un pronostic et, éventuellement, à orienter le traitement d'un processus néoplasique (voir le “Principales affections cutanées diagnostiquées sur biopsie ou exérèse chez le cheval”). Une lésion nodulaire, ulcérée ou une plaie qui ne cicatrise pas ou mal peuvent cacher un processus tumoral.

Comme mentionné précédemment, la sélection du site de prélèvement est importante. Une lésion primaire bien développée, telle qu'une macule, une pustule, un nodule, un néoplasme ou une vésicule, est en général la plus utile pour le diagnostic. Néanmoins, ces lésions peuvent ne plus être présentes sur l'animal. Des lésions secondaires telles que des croûtes, des ulcères, des comédons ou des cicatrices doivent alors être prélevées et évaluées. Ces lésions peuvent permettre d'aboutir à un diagnostic ou d'y contribuer de façon substantielle quand de multiples sites sont prélevés [10].

Les méthodes de prélèvement ont été décrites dans l'article précédent. L'exérèse totale est recommandée pour des vésicules ou pustules qui pourraient être lésées par l'utilisation de trocart à biopsie. Des exérèses profondes s'avèrent parfois nécessaires pour le diagnostic de certaines lésions sous-cutanées. Il est impératif de ne pas préparer chirurgicalement la peau lors de lésions superficielles, afin de ne pas retirer d'éléments diagnostiques importants tels que les croûtes (dermatophilose, parasitose externe, pemphigus foliacé).

La préparation chirurgicale est néanmoins acceptable pour l'exérèse des lésions situées profondément dans le derme ou le tissu sous-cutané.

D'autres éléments facilitent l'établissement d'un diagnostic adéquat. Ainsi, lors de lésions alopéciques, il est utile de tracer un trait dans la direction du pelage afin d'aider à l'orientation du prélèvement, donc à son analyse. Pour des lésions ulcérées, nécrosées ou hémorragiques, la zone à prélever se situe fréquemment à l'interface avec la peau saine adjacente [10].

Prélèvements musculaires

Les affections musculaires représentent une véritable préoccupation pour les chevaux et leurs cavaliers. De nombreuses recherches ont été faites afin d'identifier les atteintes musculaires et leur étiologie. Des formes, à la fois acquises et héréditaires, ont été décrites et la biopsie musculaire est l'élément diagnostique le plus fiable afin de les classifier et de comprendre leur pathogénie [16, 25]. Ce type de biopsie est une des plus spécifiques chez le cheval et une discussion avec des pathologistes expérimentés est recommandée avant de procéder à des prélèvements (voir les “Sites de biopsie musculaire en fonction des affections suspectées cliniquement” et “Localisation des prélèvements musculaires à réaliser lors de suspicion clinique de myopathie”). La technique consiste, après avoir soigneusement tondu, désinfecté et anesthésié la zone, en une incision cutanée et de l'aponévrose, puis en une dissection fine des fibres musculaires au scalpel, dans le sens des fibres. Le prélèvement doit ensuite être maintenu sous tension avant sa fixation en l'immobilisant, par exemple, à l'aide d'aiguilles sur un morceau de bois. Dans le cas contraire, la contraction musculaire entraîne des artefacts rendant l'examen histopathologique difficile à interpréter.

Prélèvements osseux

La biopsie osseuse est utilisée avec une fréquence croissante pour l'analyse morphométrique. Elle est également indiquée lors de prolifération osseuse anormale [5]. Le diagnostic histopathologique des affections osseuses chez les animaux domestiques implique l'utilisation d'une aiguille de Jamshidi, d'un trocart ou d'une perceuse électrique spécifique peu invasive ( et ). Pour une biopsie osseuse générale avec prélèvement concomitant de moelle osseuse, le sternum ou le tuber coxae sont les sites de prédilection [5]. Ces prélèvements sont réalisés sur animal debout, sous sédation, après l'administration d'analgésiques et d'antibiotiques préopératoires. Le site de biopsie peut être repéré par échographie, puis est préparé pour la chirurgie et infiltré localement avec de la lidocaïne avant d'effectuer une incision cutanée et une dissection musculaire. L'outil utilisé ensuite permet l'obtention de carottes osseuses de taille adéquate. Les avantages et inconvénients des différentes techniques et sites de prélèvement sont détaillés dans l'article de Steiger et coll. [21]. Pour l'analyse morphométrique sur un os non décalcifié, la fixation dans l'éthanol à 100 %estfréquemment employée.

Une biopsie peut permettre de différencier une affection tumorale, pseudo-tumorale ou inflammatoire. Les tumeurs osseuses sont relativement rares chez les équidés. Il est important que le pathologiste soit informé de l'aspect radiographique de la lésion osseuse afin de déterminer si la biopsie est représentative du processus clinique. En effet, en raison d'une taille inadaptée du matériel ou d'un mauvais choix du site de prélèvement, les biopsies osseuses peuvent ne concerner que le périoste réactionnel et ne pas être représentatives de l'ensemble de la masse. L'aspect radiographique de la lésion aide également le pathologiste à corréler ses résultats à la clinique. À partir d'une lésion agressive détectée sur une radiographie, le pathologiste ne peut pas conclure à un processus bénin, sauf s'il existe une explication sous-jacente (inflammation secondaire lors d'un néoplasme bénin, fracture pathologique). Le fibrome ossifiant de la mandibule et de la mâchoire est une des masses osseuses les plus fréquemment examinées chez les chevaux. Bien que considéré comme bénin et initialement intra-médullaire, il détruit l'os cortical et trabéculaire adjacent par extension, ce qui rend le pronostic sombre.

Prélèvements du tractus digestif

Le diagnostic de certaines affections entériques du cheval peut être facilité par l'analyse histopathologique qui complète les données cliniques, cytologiques et thérapeutiques éventuelles [24]. C'est la cas de la biopsie rectale. Ce prélèvement se fait à l'aide d'une pince à biopsie utérine (emporte-pièce). Cet acte est facile à effectuer, indolore, et ne nécessite ni sédation, ni analgésie sauf si l'animal est nerveux. La biopsie se réalise à environ 15 cm en avant de l'anus, en veillant à éviter l'artère rectale située au plafond du rectum (à 12 heures). La technique consiste à saisir un pli de muqueuse à 2 ou à 10 heures à l'aide de la main libre, à l'insérer entre les dents de la pince à emporte-pièce et à serrer la poignée fermement. Après avoir vérifié la qualité du prélèvement, il convient de le fixer rapidement [23]. Ce type de prélèvement est un outil de diagnostic utile dans l'étude des affections intestinales, notamment des entérites granulomateuses ou éosinophiliques, des proctites éosinophiliques, pseudo-membraneuses ou érosives/ulcératives et des lymphomes malins [14].

Les prélèvements du tractus digestif peuvent aussi se faire à la faveur de l'endoscopie qui requiert un équipement et un savoir-faire plus complexes. Malgré leur petite taille, les échantillons endoscopiques permettent de mettre en évidence d'éventuelles causes sous-jacentes à des phénomènes de colique, d'épanchement abdominal ou de diarrhée. De plus, il est possible d'identifier ou de confirmer la nature de processus tumoraux gastro-intestinaux tels que le carcinome épidermoïde de l'estomac ().

Enfin, les pièces d'exérèse de portions d'intestin peuvent être envoyées pour analyse histologique, notamment les masses dans le tractus digestif. C'est le cas, par exemple, lors d'identification de polypes intestinaux () ou de tumeurs mésenchymateuses [9, 17].

Prélèvements hépatiques

Les prélèvements hépatiques restent les biopsies échoguidées les plus fréquentes. Ils sont indiqués lors d'une augmentation ou d'une diminution des valeurs biochimiques d'exploration de la fonction hépatique ou d'une anomalie visualisée à l'examen échographique [20]. Ces biopsies sont de petite taille, mais permettent parfois de caractériser l'atteinte hépatique et d'orienter le diagnostic vers un processus dégénératif, inflammatoire ou néoplasique, et éventuellement d'avancer un pronostic [6]. Une multiplication des prélèvements peut augmenter les chances d'établir un diagnostic. Ce type de biopsie est contre-indiqué en cas de trouble de la coagulation.

Prélèvements du tractus respiratoire

Les biopsies du tractus respiratoire sont plus rares que celles du tractus digestif. Les biopsies pulmonaires sont rares car les complications qu'elles engendrent sont lourdes par rapport au bénéfice apporté pour établir un diagnostic. Néanmoins, de nouvelles techniques, telles que les biopsies dirigées sous endoscopie, ont permis de réduire nettement ces complications [15]. Les biopsies pulmonaires sont recommandées en cas d'affections pulmonaires chroniques persistantes ne répondant pas au traitement, ou pour des masses intrathoraciques de nature indéterminée comme lors de tumeur pulmonaire à cellules granuleuses ou de mésothéliome de la plèvre [8, 12]. Les biopsies endoscopiques de la muqueuse nasale, bronchique et des poches gutturales sont utilisées en routine et ont une bien meilleure valeur diagnostique. Elles permettent notamment l'identification d'éléments pathogènes, parmi lesquels les affections fongiques () [22]. Ces biopsies viennent souvent en complément de lavages broncho-alvéolaires et aspirations trachéales.

Prélèvements du tractus urinaire

Les biopsies rénales sont très rares chez le cheval. Elles peuvent être réalisées à l'aide d'un trocart par voie transcutanée sous contrôle endoscopique ou échoguidé [1, 2]. Des affections telles que des maladies infectieuses de type pyélonéphrite bactérienne, des atteintes toxiques ou des glomérulonéphrites à complexes immuns peuvent ainsi être diagnostiquées [27]. Les prélèvements de tissu vésical sont réalisés par endoscopie ou à la faveur d'un sondage intravésical ou d'une laparotomie, et permettent d'identifier des lésions prolifératives bénignes ou malignes, et de caractériser des atteintes inflammatoires.

Prélèvements de l'endomètre

Les affections utérines sont des causes importantes d'infertilité et, dans certains cas, de mortalité. Chez la jument, les biopsies de l'endomètre sont utilisées comme outil de management de l'élevage car elles aident le praticien à interpréter les données historiques et cliniques, à donner un pronostic, à formuler des stratégies thérapeutiques et à évaluer l'efficacité d'un traitement. Les indications d'une biopsie de l'endomètre sont les suivantes : jument stérile, multipare, historique de mortalité embryonnaire précoce ou d'avortement, anœstrus comportemental, pas de gestation pendant la période de monte, nécessité de chirurgie utérine, pyomètre ou mucomètre.

Bien que la plupart des praticiens préfèrent la période des chaleurs, les biopsies peuvent être réalisées à n'importe quel moment du cycle œstral ou chez n'importe quelle jument non gestante pour laquelle une pathologie utérine est suspectée. C'est une technique simple, utilisant une pince à emporte-pièce identique à celle décrite pour les biopsies rectales. Elle est réalisée sans anesthésie ou analgésie, et généralement sans sédation. Pour être interprété de façon adéquate, l'échantillon doit mesurer au minimum 1 cm de diamètre. Si des anomalies utérines n'ont pas été détectées à la palpation, un seul échantillon est suffisant. Généralement, la solution de Bouin est préférée pour la fixation de ces prélèvements car elle permet un durcissement de l'échantillon plus important qu'avec du formol, avec moins de distorsions tissulaires et d'artefacts à la section.

Pour donner un pronostic fondé sur les caractéristiques de l'endomètre, le pathologiste grade la distribution et la sévérité de la réaction inflammatoire, l'infiltration cellulaire du stroma, le contenu des glandes et la fréquence et la sévérité de la fibrose périglandulaire. Il existe des grilles de cotation très codifiées pour la réversibilité des lésions et le pronostic (voir le “Grille de codification simplifiée des lésions de l'endomètre et corrélation au taux de poulinage escompté”). Grâce à ces grilles, l'endomètre est classé en catégorie I, IIa, IIb ou III, ce qui donne un taux de poulinage escompté. L'inflammation notée est en général associée à des infections utérines, à une stimulation antigénique et à des anomalies de conformation du tractus reproducteur [4]. La sévérité de l'endométrite est directement corrélée à la capacité de l'utérus de mener la gestation à terme [28].

Une nouvelle biopsie après traitement peut être réalisée pour évaluer l'efficacité de ce dernier, et la catégorie de la jument est modifiée si une amélioration est notée. Ces biopsies utérines doivent être interprétées avec soin. Les juments classées en catégorie III ne sont pas nécessairement stériles et la valeur potentielle du poulain est à prendre en compte pour d'éventuelles tentatives de reproduction.

Prélèvements d'organes lymphoïdes

Les prélèvements d'organes lymphoïdes sont préconisés lors de polyadénomégalie qui ne s'explique pas par une atteinte infectieuse évidente, ne répond pas à un traitement anti-infectieux, ou en absence d'une lésion macroscopique dans le territoire drainé par le ou les nœuds lymphatiques hypertrophiés.

Ce type de scénario se présente, en particulier, dans le lymphome généralisé qui est la forme la plus rencontrée chez les chevaux. Les autres formes de lymphome (digestif, cutané et thymique) sont plus rares [11]. Les nœuds lymphatiques d'un même groupe (superficiels, médiastinaux ou digestifs) sont souvent affectés de manière similaire, ce qui rend le prélèvement d'un seul nœud lymphatique suffisant pour établir le diagnostic. Le foie et la rate sont fréquemment infiltrés et un échantillonnage de ces organes peut être intéressant. L'intérêt du diagnostic histopathologique d'un lymphome réside dans une catégorisation précise de celui-ci par sa morphologie cellulaire et son immunophénotype, ce qui permet d'affiner le pronostic et éventuellement adapter le traitement [13].

Il n'existe pas de technique spécifique au prélèvement d'organes lymphoïdes. Le prélèvement optimal d'un nœud lymphatique superficiel ou profond se fait le plus souvent par exérèse complète à la suite d'une incision cutanée ou d'une laparotomie, ce qui permet de visualiser entièrement l'architecture ganglionnaire. Ne prélever qu'une petite partie d'un nœud lymphatique (biopsie incisionnelle) peut entraîner une erreur de diagnostic.

Ce type d'échantillon peut en effet correspondre à une zone d'hyperplasie dont les caractéristiques cellulaires peuvent être difficiles à différencier d'un lymphome naissant ou avéré. Le prélèvement de rate se fait, comme pour tout organe interne, à la faveur d'une laparotomie, d'une échographie ou sous laparoscopie. Les règles d'asepsie et de contrôle de l'hémostase sont similaires à celles décrites précédemment.

Outre le diagnostic en routine d'identification de processus tumoraux, infectieux ou dégénératifs, l'analyse histopathologique et le travail du pathologiste permettent de poursuivre le développement des connaissances fondamentales en pathologie vétérinaire, et notamment équine.

Les nouvelles techniques de fixation, de coloration et d'analyses complémentaires sur les tissus, amélioreront, dans un proche avenir, la précision du diagnostic.

  • Remerciements au Pr Olivier Lepage, aux Drs Marie-France Perron et Didier Pin pour leurs précieux conseils et leurs contributions photographiques.

Éléments à retenir

> Une bonne connaissance des techniques de prélèvements et de la nature d'un prélèvement optimal (taille, orientation, fixation) en fonction des différents organes est indispensable.

> En cas de doute, une discussion préalable entre le pathologiste et le praticien, avant la réalisation du prélèvement, permet d'augmenter les chances d'obtenir un diagnostic correct.

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