Du bon usage du mash dans l'alimentation du cheval - Pratique Vétérinaire Equine n° 151 du 01/07/2006
Pratique Vétérinaire Equine n° 151 du 01/07/2006

Auteur(s) : Géraldine Blanchard

Fonctions : DMV, PhD, agrégée de nutrition animale,
Dipl. ECVCN.
ENVA-Nutrition 7, avenue du Général-de-Gaulle
94704 Maisons-Alfort Cedex
Email : gblanchard@vet-alfort.fr

Le mash est largement utilisé dans l'alimentation du cheval. Pourtant, l'information scientifique sur l'intérêt de sa distribution, sa digestibilité, ses effets sur le transit… est tout simplement inexistante ! Néanmoins, des données indirectes permettent de poser des hypothèses concernant l'utilité de tel ou tel composant.

Il existe certainement autant de recettes de mash que d'écuries. On peut toutefois le définir de la manière suivante : il s'agit d'un aliment humide qui provient de la cuisson à l'eau prolongée d'un mélange de composition variable de grains (avoine, orge, maïs, voire riz) et d'issues de céréales (son de blé), de graines de lin, auquel peuvent être ajoutés divers compléments (sel, mélasse, sucre, carbonate de calcium, etc.) ( à ).

Quelles sont les propriétés d'un mash ?

Le mash a la réputation d'être laxatif

Le transit digestif est stimulé mécaniquement dans l'intestin grêle lorsque le cheval consomme des parois végétales. Lorsque les fibres atteignent le gros intestin, elles sont plus ou moins fermentées, selon leur caractère biochimique et leur accessibilité.

Les graines de lin sont riches en mucilages, c'est-à-dire en fibres solubles fermentescibles dans le gros intestin qui, par les molécules dégagées durant leur fermentation, créent un appel d'eau et humidifient les fèces. Le son de blé, plus fermentescible que le foin, peut, lui aussi, être considéré comme laxatif, mais dans de moindres proportions.

L'apport massif de fibres très fermentescibles peut créer un météorisme et engendrer des diarrhées.

Des quantités faibles de graines de lin (de 20 à 50 g, soit 100 à 200 ml sec) et variables de son de blé (200 à 400 g, soit 1 à 2 l sec) entrent dans la composition d'un mash-repas.

Le mash est énergétique

Le mash est plus ou moins énergétique, selon la quantité distribuée, mais également selon sa composition.

La densité énergétique des céréales est la suivante par ordre décroissant : maïs > orge > avoine (voir le “Teneur en énergie des ingrédients les plus couramment utilisés dans la composition d'un mash”). De plus, le poids spécifique (g/l) de ces grains est corrélé à la densité énergétique. Ainsi, ramenée en litres de grains entiers, la densité énergétique d'un litre de grains de maïs (0,89 UFc) est le double de celle d'un litre de grains d'avoine entière (0,44 UFc) !

• Ne pas confondre kilos et litres d'ingrédients, ni composition du mash avant (90 % de matière sèche) et après cuisson (50 % de matière sèche).

• On parle de la composition du mash sec, avant ajout d'eau, et du volume de mash distribué après cuisson, c'est-à-dire humide.

Le mash est très digestible

La cuisson () des graines de lin (minimum trois heures) est indispensable pour inhiber l'acide cyanhydrique toxique qu'elles contiennent.

En revanche, la cuisson des grains de céréale rend l'amidon plus accessible à la digestion enzymatique. L'influence de la simple cuisson à l'eau des céréales est peu documentée chez le cheval ; elle l'est en revanche dans d'autres espèces, en particulier le chat, qui est pourtant un carnivore [Morris et coll., 1977 ; Kienzle 1993], chez lequel la digestibilité iléale d'amidons indigestes crus, comme celui de la pomme de terre crue, est rendue excellente (plus de 90 %) par la cuisson.

• La cuisson () rend inoffensive la graine de lin et très digestibles les grains de céréales. Comme elle n'a pas d'effet sur la digestibilité des sucres (déjà maximale dans l'intestin grêle) et du son de blé (dans le gros intestin), on peut les ajouter en fin de cuisson.

À l'exception de l'avoine, dont l'amidon est d'emblée digestible (80 à 90 %) et pour lequel l'aplatissage améliore peu la digestibilité, le floconnage des grains améliore nettement la digestibilité, bien plus que le concassage (voir la “Digestibilité iléale (en %) de différentes sources d'amidon chez le cheval”).

• Les composants d'un mash prêt à l'emploi sont généralement des flocons de céréales, plus digestibles que les grains entiers.

Le mash est riche en fibres

Le mash est d'autant plus riche en fibres qu'il contient du son de blé et que, parmi les grains, l'avoine prédomine, puisqu'il s'agit du grain le plus riche en fibres (12 % de cellulose brute et 33 % de NDF contre 4 % et 18 % pour l'orge, et moins encore pour les grains nus comme le maïs).

Mais les fibres du son de blé, majoritairement des hémicelluloses, ne sont toutefois pas équivalentes à celles contenues dans du foin, par exemple. Le son de blé est plus rapidement et plus facilement fermenté que le foin, d'où son caractère dit laxatif. De la paille ou du foin hachés pour augmenter le taux de fibres insolubles (cellulose), moins rapidement fermentées, peuvent être ajoutés.

• Le mash peut être adapté par ajout de foin haché (couper le foin en brins de 4 à 5 cm) ou de son de blé pour augmenter l'apport en fibres chez un animal qui a des difficultés à consommer un fourrage sec.

Le mash est un aliment déséquilibré

Par exemple, un mash constitué de céréales et d'issues, de graines de lin, et éventuellement de sel et de sucre contient plus de phosphore que de calcium, et peu de vitamines – peu de vitamines A et E, pas de vitamine D, quelques vitamines B, – pour certaines détruites à la cuisson.

Un mash classique ne peut donc pas être le seul aliment du cheval sur une longue période. Cependant, il peut être facilement équilibré par la distribution conjointe d'un aliment minéral et vitaminé adapté, mélangé au mash au moment de sa distribution dans l'auge du cheval, c'est-à-dire individuellement. De la levure de bière et du carbonate de calcium (CaCO3, contenant 38 % de Ca) peuvent au moins être ajoutés pour rétablir un équilibre Ca/P acceptable.

• suffit d'ajouter 12 g de CaCO3 par kilogramme de grains et 4 g de CaCO3 par 100 g de son de blé pour rétablir un ration Ca/P = 1,5 dans le mash.

Selon la composition du mash recommandée, ajouter sur l'ordonnance la prescription de la quantité de CaCO3 nécessaire, et faire préparer des sachets en pharmacie. Un sachet est ensuite ajouté à chaque distribution de mash.

De la levure de bière peut également être ajoutée avant la distribution pour apporter des vitamines du groupe B.

Conservation

Un mash est un aliment humide riche en substrats dans lequel les moisissures et bactéries se développent rapidement. Il doit donc être consommé dans les vingt-quatre heures qui suivent sa cuisson et immédiatement après sa préparation lorsque des ingrédients sont ajoutés après la cuisson.

Dans quels cas utiliser un mash ?

Un mash est généralement distribué en remplacement d'un repas de concentrés. Il peut constituer la seule alimentation concentrée s'il est équilibré ou remplacer un des repas concentrés de la journée. Il est distribué :

• le soir au retour d'une compétition, en remplacement du repas concentré habituel ;

• le lendemain d'une compétition (jour de repos). Le mash distribué au retour d'une compétition, le soir même comme le lendemain, ne doit pas être trop volumineux, ni trop énergétique (inutile d'ajouter du maïs), mais plutôt riche en fibres (son de blé) et volontiers additionné de CaCO3 et de sel, voire d'électrolytes si le cheval a beaucoup transpiré ;

• le jour de repos hebdomadaire. Attention, le mash doit être pris en compte dans la ration concentrée du cheval. Ainsi, les jours de repos, la ration concentrée doit être diminuée, voire supprimée. Si un mash est distribué, il doit être peu volumineux (5 à 6 l de mash très humide, soit 2 kg de matière sèche) et peu énergétique.

Pour éviter des repas volumineux, la préparation peut être répartie en deux repas, espacés de six heures par exemple, à condition que le mash préparé soit conservé dans un récipient couvert stocké au frais ;

• lors de la reprise de l'alimentation concentrée, pendant ou après une convalescence au fourrage ( et ). Le mash étant un aliment très digestible, humide, que l'on peut adapter à volonté – encore faut-il le faire ! –, il peut être utilisé pour reprendre une alimentation concentrée après une période de fourrage exclusif.

La reprise d'une alimentation concentrée par le mash se fait sur plusieurs jours. Il est souhaitable de le compléter par un complément minéral et vitaminé qui équilibre la ration, ou d'ajouter au moins du calcium et des vitamines B par du CaCO3 et de la levure de bière. On commencera par 1 à 2 l de mash, deux fois par jour, pendant quelques jours, puis on ajoute de l'aliment concentré et diminue la quantité de mash, jusqu'à rétablir la ration souhaitée.

De nombreuses autres situations justifient une alimentation à base de mash :

• les jours de transport ou de grosses chaleurs, rendant difficile la consommation d'aliments secs, le mash, riche en eau et rafraîchissant, est mieux ingéré. Les mash prêts à l'emploi présentent l'intérêt d'être facilement transportable. Il n'y a plus qu'à trouver de l'eau chaude ! L'ajout de sel et de mélasse à un mash permet de compenser les pertes par sudation, respectivement en NaCl et en K+ ;

• l'hiver, lorsque les rations sont sèches, le temps froid et l'abreuvent spontané moindre, le mash apporte de l'eau et le transit digestif, qui peut être ralenti par défaut d'embrèvement, s'en trouve relancé. Les chevaux habitués apprécient le mash tiède ;

• lors de défaut d'embrèvement (à l'origine de coliques récidivantes), un mash, voire un barbotage (voir l'encadré “Mash ou barbotage”) peuvent permettre d'augmenter l'ingestion d'eau ;

• lors de difficultés masticatoires, la cuisson rend les grains plus faciles à mâcher, ce qui n'empêche pas de traiter les troubles dentaires ! Le trempage peut parfois suffire et un barbotage est tout aussi indiqué ;

• lors de transit ralenti, la composition du mash doit être adaptée en apportant des graines de lin et du son de blé. Néanmoins, le mash ne remplace pas un fourrage de bonne qualité ;

• en cas d'appétit médiocre, de reprise d'état, un mash est généralement apprécié, d'autant que l'on peut y ajouter des ingrédients sucrés – mélasse, miel ou sucre – et du sel. Il peut être rendu plus énergétique par l'incorporation de maïs. Il est néanmoins classique que des chevaux qui n'en ont jamais reçu le boude un peu durant les premières distributions, qui doivent être peu volumineuses. On peut commencer par 1 l par repas et augmenter progressivement les doses. Il convient néanmoins de chercher l'origine des troubles de l'appétit (maladies dentaires, rations trop volumineuses, alimentation déséquilibrée, pas de fourrage disponible, fatigue, affection sous-jacente, etc.) ;

• chez des chevaux intolérants à la poussière des aliments secs, le mash ou le barbotage sont indiqués, car l'eau permet de coller les poussières.

Quels ingrédients en fonction des situations ?

Compte tenu des propriétés de chacun des composants, il est possible de proposer des compositions variées. La cuisson est variable selon les ingrédients (voir le “Impératifs de cuisson en fonction des ingrédients” et l'encadré “Exemples de repas à base de mash pour un cheval de selle de 500 à 600 kg).

Les quantités correspondent à un repas de mash pour un cheval de selle, mais tous les ingrédients ne sont pas systématiquement incorporés.

Les quantités indiquées sont celles avant cuisson. Prévoir un mash en kilos. Le volume de la préparation double après ajout de l'eau et cuisson.

Cuisson indispensable

Graines de lin : laxatif, acides gras de la série oméga 3 : 20 à 50 g par mash (jusqu'à 1/4 litre)

Cuisson facultative (selon présentation des grains) :

- avoine : énergie, amidon, protéines de qualité : 500 g à 1 kg (= jusqu'à 2 l sec) ;

- maïs, orge : énergie, amidon : 500 g à 1 kg (= jusqu'à 1 à 1,5 l secs) ;

- foin (ou paille) haché en brins de 4 à 5 cm : fibre type cellulosique : 0 à 500 g (peser !) ;

Ajouter après la cuisson, juste avant la distribution :

- son de blé. Apport fibre : 0 à 200 g (jusqu'à 2 litres) ;

- sel : récupération NaCl après effort ; appétence : 20 à 30 g (peser !) ;

- mélasse, sucre ou miel : apport de sucre, apport de potassium par la mélasse ; appétence : environ 20 g (2 cuillères à soupe) ;

- huile végétale : apporte de l'énergie lipidique et des acides gras essentiels. 30 à 100 ml (augmenter progressivement) ;

- carbonate de calcium (CaCO3) : source de calcium : ajouter 12 g de CaCO3 par kilogramme de grains et 4 g de CaCO3 par 100 g de son de blé pour rétablir un ration Ca/P = 1,5 dans le mash ;

- levure de bière : source de vitamines B. Une cuillerée à soupe pour un repas de mash pour un cheval.

Précautions d'utilisation

De manière générale, le mash doit être pris en compte dans la ration globale, car il apporte de l'énergie, de l'amidon, etc. Lorsqu'il remplace un repas du soir hebdomadaire chez un cheval recevant aux autres repas sa ration de concentré, son utilisation ne pose généralement pas de difficulté. Cependant, il est toujours préférable de l'équilibrer en calcium.

La limite supérieure à ne pas dépasser par repas de concentrés est de 500 g de matière sèche par 100 kg de poids vif. Un mash égoutté contient environ 50 % d'eau et 50 % de matière sèche.

La distribution n'excédera donc jamais 10 l de mash par repas – soit 5 kg de matière sèche – pour un cheval de 500 kg. Un volume de 5 à 6 l est préférable. On commencera par des repas de 1 à 2 l s'agissant d'un retour à l'alimentation concentrée.

Astuces : lorsqu'on prépare le mash pour une écurie, le verser dans une brouette qui lui sera réservée, que l'on aura percée pour éliminer le surplus d'eau avant la distribution. Attention à verser le mash dans la brouette dans un endroit propre, mais facilement nettoyable au jet !

Et les mashes prêts à l'emploi ?

Les mashes prêts à l'emploi ont certainement un intérêt, à la fois par leur praticité – certains existent en grands sacs, d'autres en sachets – et leur sécurité d'emploi. Le risque est le surdosage global, mais non en un ingrédient particulier. Il en existe de nombreux, et il convient d'en choisir un de manière éclairée : par sa composition, mais également son équilibre minéral – Ca/P > 1 –, sa teneur éventuelle en vitamines, etc.

Il n'est d'ailleurs pas impossible d'utiliser un mash tout prêt et d'y ajouter du son de blé pour augmenter sa teneur en fibres, du CaCO3 (prévoir de rétablir un Ca/P > 1), du sel (NaCl) et de la mélasse (source de K+) si besoin, mais toujours en indiquant clairement par écrit vos recommandations.

Leur poids spécifique est d'environ 400 g par litre de mash sec à hydrater.

Le mash est un aliment potentiellement très intéressant par sa digestibilité, sa teneur en eau élevée et son adaptabilité.

Cependant, sa composition souvent déséquilibrée et les quantités distribuées sont très (trop) grandes. La recommandation du praticien doit faire l'objet d'une trace écrite où la composition et les quantités sont clairement indiquées de même que les précautions à prendre : pour la composition (quantités de carbonate de calcium, complément vitaminique éventuel), la préparation (heures de cuisson, ajout d'ingrédients après cuisson, kg et volume par cheval par repas) et la conservation (distribution rapide ou dans les 24 heures suivant la cuisson si la préparation est protégée et dans un endroit frais).

Éléments à retenir

> Un mash est un aliment humide, très digestible, issu de la cuisson de différents ingrédients : grains, graines de lin et pouvant être additionnés, en fin de cuisson : foin haché, son de blé, sel, mélasse et carbonate de calcium pour rendre le ratio Ca/P proche de 1,5.

> La distribution de mash remplace un repas de concentrés, mais ne dispense pas, sauf cas particulier, de donner du fourrage.

> L'utilisation de mash peut être intéressante dans les cas suivants : appétit capricieux, reprise d'une alimentation concentrée après une convalescence au fourrage ou après certaines coliques, troubles de la digestion, nécessité d'une alimentation humide, transport, repas du soir l'hiver ou les jours de grosse chaleur, transit lent, etc.

> Le mash contient environ 50 % de matière sèche. La quantité distribuée lors d'un repas va, pour un cheval de 500 kg, de 2 litres lors d'une reprise d'alimentation concentrée à un maximum de 10 litres d'un mash équilibré en minéraux chez un cheval habitué, en remplacement de la ration de concentrés, par exemple la veille d'une compétition lors d'une journée chaude. Généralement, la limite seuil à ne pas dépasser est de 5 à 6 litres de mash par repas.

Mash ou barbotage ?

> Le mash est issu de la cuisson à l'eau de divers aliments, le barbotage est un trempage sans cuissonde grains ou d'aliments durant trente minutes à trois heures, selon les cas.

> Le trempage n'augmente pas la digestibilité enzymatique, mais facilite la mastication, le grain devenant moins dur.

> Le trempage permet également de piéger les poussières, comme dans le mash.

Exemples de repas à base de mash pour un cheval de selle de 500 à 600 kg

Références

  • Kienzle E. Carbohydrate metabolim of the cat 2. Digestion of starch. J Anim Physiol Anim Nutr. 1993 ; 69 : 102-114.
  • Meyer H, Radicke S, Kienzle E, Wilke S, Kleffken D, IllenseerM. Investigations on preileal digestion of starch from grain, potato and manioc in horses. Zentralbl Veterinarmed A. 1995 ; 42(6) : 371-381.
  • Morris JG, Trudell J, Pendovic T. Carbohydrate digestion by the domestic cat. Br. J. Nutr. 1977 ; 37 : 365-373.
  • Sauvant D., Perez JM, Tran G. Tables des compositions et de valeur nutritive des matières premières destinées aux animaux d'élevage. Ed. INRA, Paris, 2002, pp. 301.
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