Un cas d'épidermolyse bulleuse chez une pouliche trait breton - Pratique Vétérinaire Equine n° 148 du 01/10/2005
Pratique Vétérinaire Equine n° 148 du 01/10/2005

Auteur(s) : Céline Bru*, Raphaël Ricou**, André Sales***

Fonctions :
*Cabinet vétérinaire,
place de la Mairie,
12410 Salles-Curan
**Cabinet vétérinaire,
place de la Mairie,
12410 Salles-Curan
***Laboratoire Vétopath,
Complexe Euro 92,
Les Trois Moulins,
06600 Antibes

Une pouliche âgée de quinze jours, née apparemment normale, présente une perte de sabot. Une épidermolyse bulleuse (EB), maladie héréditaire à transmission autosomale récessive, est diagnostiquée.

Une pouliche âgée de quinze jours est présentée à la consultation pour une perte de sabot et quelques plaies sur les membres, survenues sans explication apparente. Elle a également des difficultés à téter. Il s'agit d'une pouliche de race lourde issue d'une jument et d'un étalon de race trait breton.

Cas clinique

Commémoratifs et anamnèse

La pouliche est née apparemment normale, mais, dès l'âge de deux jours, le propriétaire remarque une exsudation et un décollement coronaire au niveau du membre postérieur droit qu'il attribue à un traumatisme.

Huit jours plus tard, il fait appel à son vétérinaire habituel car la pouliche bave, les couronnes de ses membres antérieurs et postérieurs exsudent et des zones dépilées suintantes apparaissent au niveau des boulets antérieurs et des jarrets. Elle présente une légère hyperthermie (39 °C) et des difficultés locomotrices.

Le vétérinaire traite un muguet buccal. Il prescrit une administration par voie intramusculaire de marbofloxacine (Marbocyl® 2 %, 6 ml/j) et des bains de povidone iodée diluée, par voie orale.

Ce traitement est poursuivi par le propriétaire pendant quatre jours, puis il utilise de sa propre initiative une autre association antibiotique anti-inflammatoire (Cortexilline®, à la posologie de 15 ml/j IM) et nettoie les lésions cutanées.

Le sabot du postérieur droit tombe à l'âge de douze jours, ce qui conduit le propriétaire à contacter notre cabinet.

Examen clinique

La pouliche âgée de quinze jours est debout, en train de téter. Elle présente une température rectale normale, une fréquence cardiaque de quatre-vingts battements par minute. Elle bave ; la muqueuse buccale est ulcérée sur les gencives supérieures et inférieures, ainsi que la peau entre les naseaux, laquelle apparaît également croûtée (). La base de la queue, l'anus (), la vulve, les grassets, les jarrets () et les boulets () présentent des lésions dépilées de taille modeste (quelques centimètres), suintantes. Le pied postérieur droit est à vif sous son pansement ( et ) et les sabots des autres membres se décollent (). Le membre postérieur droit est légèrement œdématié de mi-canon au pied. La pouliche, efflanquée, se déplace avec des difficultés, mais arrive toutefois à téter ( et ).

Hypothèses diagnostiques

Le diagnostic différentiel [6, 10, 11] des symptômes observés est, par ordre de probabilité :

- principalement : une epitheliogenesis imperfecta ou une épidermolyse bulleuse ;

- moins probablement : un pemphigoïde bulleux ou toute autre dermatose auto-immune, ou bien encore un traumatisme ou une brûlure. Étant donné la localisation des lésions observées et l'âge d'apparition des premiers signes, une hypothèse d'épidermolyse bulleuse est émise. En effet, les lésions d'epitheliogenesis imperfecta sont visibles à la naissance et présentent en général de plus larges plages sans épiderme. Les lésions d'épidermolyse bulleuse, au contraire, apparaissent de quelques heures à plusieurs jours après la naissance (cf. infra).

Examens complémentaires

Une biopsie est réalisée au niveau de la lésion du jarret gauche. Le prélèvement, qui inclut une partie de tissu sain et de lésion, est envoyé le jour même au laboratoire d'anatomie pathologique vétérinaire Vetopath, à Antibes-Sophia Antipolis (06).

Le propriétaire veut garder la pouliche en vie en attendant le résultat de l'examen anatomopathologique. L'antibiothérapie est poursuivie, ainsi que les bains, les nettoyages et les pansements. Cependant, compte tenu du pronostic sombre, aucun traitement supplémentaire n'est administré afin de limiter les frais.

La biopsie cutanée est examinée selon plusieurs plans de coupe sériés. Deux colorations permettent d'établir le diagnostic :

- la coloration histologique classique hémalun-éosine-safran (HES), qui est une coloration topologique ;

- la coloration à l'acide périodique et réactif de Schiff (PAS) qui colore spécifiquement la membrane basale séparant le derme et l'épiderme.

L'examen histologique montre une dissociation à la jonction dermo-épidermique (), superficielle comme infundibulaire (), caractérisée par l'apparition de vésicules de grande taille qui forment des bulles (d'où le nom de la maladie) dans la membrane basale. La surface du derme, dans les vésicules, ne présente pas d'épaississement marqué, mais la coloration au PAS permet d'y observer la structure la plus profonde de la membrane basale, la lamina densa. L'épiderme paraît normal ou hyperkératosique. Le derme superficiel sous-jacent est congestif et infiltré par d'assez rares cellules inflammatoires polymorphes à prédominance de granulocytes neutrophiles.

Aucune trace d'ectoparasite ni d'élément fongique ou bactérien n'a été mise en évidence. De même, aucun dépôt d'origine immunologique n'a pu être observé.

Ces lésions confirment le diagnostic d'épidermolyse bulleuse jonctionnelle.

Traitement

Durant la période d'attente des résultats de l'analyse anatomo-pathologique, le propriétaire bandait quotidiennement les trois membres dépourvus de sabot et maintenait le traitement antibiotique pour limiter le sepsis. Au moment où les résultats de l'analyse anatomopathologique ont été connus, la pouliche se levait difficilement et tétait plus ou moins bien. Elle a été euthanasiée à l'âge de vingt-sept jours.

Discussion

L'épidermolyse bulleuse a été décrite chez l'homme et chez d'autres espèces animales comme le chat [4], le mouton, le bovin [2], le rat, etc.

Aspects lésionnel et étiologie

Chez les différentes espèces atteintes, cette maladie est caractérisée macroscopiquement par une perte multifocale de l'épiderme chez le nouveau-né. Chez le poulain, les lésions sont observées surtout sur l'extrémité distale des membres (séparation, au niveau de la couronne, des papilles coronaires et des cellules basales de l'épiderme corné, et chute du sabot), d'où l'ancienne dénomination usuelle de “maladie des pieds rouges”. Les lésions apparaissent également au niveau des muqueuses et sur diverses zones de peau, à la suite de traumatismes mineurs sur les points de contact avec le sol lorsque le poulain se couche (traduction d'une extrême fragilité cutanée). Des anomalies dentaires ont également été décrites par certains auteurs [10], mais n'ont pas été observées dans le cas présenté ici.

Microscopiquement, le clivage siège au niveau de la membrane basale, et plus précisément au sein de la lamina lucida (voir la “Ultrastructure de la jonction dermo-épidermique”). La lamina densa reste intacte et adhérente au derme sous-jacent. Les cellules épithéliales basales restent également intactes [5]. L'inflammation est en général minime, sauf si une surinfection survient (dans ce cas, la présence de polynucléaires neutrophiles est observée). Chez le cheval atteint, au niveau ultrastructural, on note la déficience de la laminine 5, une molécule qui permet la jonction entre les fibrilles d'ancrage des hémidesmosomes et les fibres de collagène de la lamina densa. La localisation de ce clivage et la rareté des hémidesmosomes sur la peau intacte péri-lésionnelle sont des caractéristiques supplémentaires qui rapprochent cette maladie de celle décrite chez l'homme sous le nom d'épidermolyse bulleuse de Herlitz [5]. Ces deux affections font partie du sous-groupe des EB de type jonctionnel (EBJ).

Les observations en microscopie électronique à transmission (MET) permettent de distinguer trois sous-types d'EB variant par la localisation de la séparation dermo-épidermique et par les organites déficients :

- les EBJ : séparation au niveau de la lamina lucida ; la lamina densa reste adhérente au derme ; fibrilles d'ancrage normales, hémidesmosomes rares ou absents ;

- les EB de type simplex : séparation au niveau de la couche basale des kératinocytes ; fibrilles d'ancrage et hémidesmosomes normaux ;

- les EB de type dystrophique : séparation dans ou sous la lamina densa, la lamina lucida restant fixée à l'épiderme ; fibrilles d'ancrage rares ou absentes et hémidesmosomes normaux.

Diagnostic différentiel

Le diagnostic différentiel inclut l'epitheliogenesis imperfecta, une maladie proche génétiquement, morphologiquement et ultrastructurellement de l'EB [8]. Lors d'épidermolyse bulleuse, le poulain naît apparemment normal et les lésions apparaissent plus ou moins rapidement, entre deux et douze jours après la naissance [3, 7]. Le signe de Nikolsky est positif : une pression sur la peau dans le but de faire “glisser” l'épiderme sur le derme provoque leur séparation [10]. En revanche, un poulain atteint d'epitheliogenesis imperfecta naît avec de larges plages dépourvues d'épiderme et le signe de Nikolsky est négatif sur les zones cutanées non lésées. Du point de vue histologique, la séparation dermo-épidermique lors d'epitheliogenesis imperfecta se situe dans la lamina lucida [8], comme les EB de type jonctionnel.

Une autre affection dont les manifestations sont proches de celles de l'EB est le pemphigoïde bulleux, une réaction d'hypersensibilité de type 2. Elle est caractérisée macroscopiquement par des lésions vésiculeuses au niveau de la peau et des jonctions cutanéo-muqueuses, et, après réaction immuno-histochimique, par un dépôt de complexes immuns au niveau de la membrane basale [6, 10]. Étant donné l'âge auquel sont apparues les premières lésions, les maladies auto-immunes restent improbables dans le cas traité.

Épidémiologie et génétique

L'EBJ a déjà été décrite chez le cheval de trait belge, le cheval de trait breton et le cheval de trait comtois [6, 7, 9]. Ces deux dernières races françaises ont probablement un ancêtre commun fondateur des deux lignées originellement de race belge [9]. C'est une maladie héréditaire à caractère récessif et non liée au sexe. Des études portant sur des poulains de races trait belge, trait comtois et trait breton ont montré que la mutation responsable est située au niveau du gène LAMC2, codant pour l'une des trois sous-unités de la laminine 5 [9].

La fréquence d'apparition de l'EBJ dépend donc directement de la fréquence de portage de l'allèle responsable par les étalons et les juments. Des reproducteurs sains hétérozygotes donnent naissance à des poulains atteints cliniquement (homozygotes) dans un quart des cas. Un quart supplémentaire des poulains sont non porteurs. La moitié restante est représentée par des poulains porteurs sains (hétérozygotes).

En 2003, 605 étalons de trait des Haras nationaux ont été testés. Sur 252 animaux de trait breton, 38 étaient porteurs, soit 15,1 % des étalons nationaux de cette race. Chez les animaux de trait comtois, 155 étalons nationaux ont été prélevés et 11 étaient porteurs, soit 7,1 %. Les autres races ne présentaient pas de chevaux porteurs de l'allèle [a]. En émettant l'hypothèse que les juments de race trait breton et de trait comtois présentent la même fréquence de portage de l'allèle que les étalons respectifs, 5,7/1 000 poulains trait breton (0,151 x 0,151/4) et 1,2/1 000 poulains trait comtois (0,071 x 0,071/4) seraient susceptibles d'être atteints.

Dans le cas clinique présenté, nous aurions pu prélever du sang de la pouliche ou de la jument pour réaliser un génotypage qui constitue un outil de diagnostic rapide et adapté à la détection de ce type de maladie génétique. En interrogeant le propriétaire de l'étalon père de la pouliche, nous avons appris que l'animal était porteur de l'allèle.

Conduites à tenir

Vis-à-vis des chevaux atteints

Compte tenu de la nature profonde et irréversible des lésions de ce trouble cutané, et de l'absence de traitement spécifique, le pronostic est sombre et l'euthanasie est recommandée.

Vis-à-vis des reproducteurs

En tant que génodermatose à transmission autosomale récessive, les juments et les étalons hétérozygotes devraient théoriquement être écartés de la reproduction.

Depuis 2004, un programme d'éradication de la maladie par la “voie étalon” a été mis en place par les Haras nationaux et par les programmes de race, dans le but, à terme, d'exclure les animaux porteurs sains de la reproduction. Le dépistage des porteurs repose sur le génotypage des reproducteurs. Un test moléculaire simple est disponible depuis 2003. Tous les étalonniers (des Haras nationaux et privés) ont l'obligation d'informer leurs clients éleveurs du statut génétique EBJ de leurs mâles. Tous les étalons nationaux ou privés doivent donc être dépistés et les porteurs sains seront progressivement retirés de la monte.

En ce qui concerne les juments, il est nécessaire de connaître leur statut si elles servent de “mères à étalons” qui ne doivent pas être porteuses de l'allèle défectueux. D'autre part, ces juments “non porteuses” peuvent éventuellement être croisées avec un étalon porteur pour une production de poulains destinés à la boucherie.

Chez les chevaux de trait breton, le programme d'éradication est progressif, car la fréquence de portage de la tare est élevée dans cette race (15,1 % des étalons des Haras nationaux) et les besoins annuels en étalons sont importants. Selon le programme de race, les mâles nés à partir de 2003 doivent systématiquement être non porteurs pour être reconnus comme étalons. Les mâles nés en 2001 et en 2002 peuvent être approuvés même s'ils sont porteurs. Une indemnisation à la castration ou à l'abattage des étalons porteurs est octroyée. Le dépistage des juments est encouragé et pris en charge, afin de continuer à utiliser les étalons hétérozygotes (fertilité et aptitude IA) pour une production bouchère [a].

Pour les chevaux de race trait comtois, la fréquence de l'allèle défectueux est plus faible (7,1 % des étalons des Haras nationaux) et le besoin annuel en étalons comtois est moins important que pour la race trait breton. Tous les étalons porteurs sont donc interdits de monte depuis 2005 et le programme de race inclut le dépistage de tous les étalons nés à partir de 2000, avec une indemnisation en cas d'abattage ou de castration des porteurs. Le dépistage des femelles est également encouragé [a].

L'épidermolyse bulleuse jonctionnelle, seul type d'épidermolyse bulleuse décrit chez le cheval, est une génodermatose à transmission récessive autosomale, dont l'incidence annuelle est globalement faible, mais variable selon la race, et dont l'importance est à la fois médicale (létalité de 100 %), réglementaire (responsabilité des étalonniers) et scientifique (biologie comparée).

Les découvertes génétiques récentes sur l'origine de la maladie ont permis de mettre en œuvre un programme d'éradication de l'anomalie fondé sur le dépistage des animaux porteurs et sur le conseil génétique pour le choix des reproducteurs.

  • Les auteurs remercient l'équipe du laboratoire Vétopath et M. Roland Vialaret (Haras national de Rodez) pour leur aide.

Éléments à retenir

> Les lésions d'épidermolyse bulleuse apparaissent de quelques heures à plusieurs jours après la naissance.

> L'examen histologique d'une lésion d'épidermolyse bulleuse montre une dissociation à la jonction dermo-épidermique caractérisée par l'apparition dans la membrane basale de vésicules de grande taille qui forment des bulles (d'où le nom de la maladie).

> Pour éradiquer cette génodermatose à transmission autosomale récessive, les juments et les étalons hétérozygotes devraient théoriquement être écartés de la reproduction.

Références

  • 1. Ackerman AB. 1 Skin : structure and function. In : Histologic diagnosis of inflammatory skin diseases. Éd. Lea and Febiger, Philadelphia. 1978 : 3-87.
  • 2. Ducrocq F, Lacroix M, Brasseur R, Dumas P, Gourreau JM. Première identification de l'épidermolyse bulleuse récessive létale en race blonde d'Aquitaine. Bull. GTV. 2005 ; 29 : 223-226.
  • 3. Frame SR, Harrington DD, Fessler J, Frame PF. Hereditary junctional mechanobullous disease in a foal. J. Am. Vet. Med. Assoc. 1988 ; 193(11) : 1420-1424.
  • 4. Guaguère E, Alhaidari Z, Fontaine J. Chap. 16 : Génodermatoses. Dans : Guaguère E, Prélaud P. Guide pratique de dermatologie féline. Éd. Mérial, Lyon. 1999 : 1-11.
  • 5. Johnson GC, Kohn CW, Johnson CW, Garry F, Scott D, Martin S. Ultrastructure of junctional epidermolysis bullosa in Belgian foals. J. Comp. Pathol. 1988 ; 99(3) : 329-336.
  • 6. Kohn CW. Section 16 : Skin Diseases. Junctional mechanobullous disease in Belgian Foals. In : Robinson NE. Current therapy in equine medicine. Third edition. WB Saunders Co Ed. Philadelphia. 1999 ; 705-706.
  • 7. Kohn CW, Johnson GC, Garry F, Johnson CW, Martin S, Scott DW. Mechanobullous disease in a 2-month-old Belgian foal. Equine Vet. J. 1989 ; 21 : 297-301.
  • 8. Lieto LD, Swerczek TW, Cothran EG. Equine epitheliogenesis imperfecta in two American saddlebred foals is a lamina lucida defect. Vet. Pathol. 2002 ; 39 : 576-580.
  • 9. Milenkovic D, Chaffaux S, Taourit S, Guérin G. A mutation in the LAMC2 gene causes the Herlitz junctional epidermolysis bullosa (H-JEB) in two French draft horse breeds. Genet. Sel. Evol. 2003 ; 35 : 249-256.
  • 10. Pascoe RRR, Knottenbelt DC. Section B : Non-infectious diseases, Chap. 11 : Congenital/developmental diseases. In : Manual of Equine Dermatology. WB Saunders Ed. London. 1999 ; 145-153.
  • 11. Pascoe RRR, Knottenbelt DC. Section B : Non-infectious diseases, Chap. 12 : Immune-mediated/allergic diseases. In : Manual of Equine Dermatology. WB Saunders Ed. London. 1999 ; 155-181.

À lire également

  • a. Haras nationaux. Épidermolyse bulleuse jonctionnelle létale (EBJL). Document de la monte. 2004 : fiche 5.
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