Étude descriptive de 21 cas de mycoses des poches gutturales - Pratique Vétérinaire Equine n° 138 du 01/04/2003
Pratique Vétérinaire Equine n° 138 du 01/04/2003

Auteur(s) : S. Gatineau*, A. Ludwig**

Fonctions :
*Clinique Vétérinaire du Pin
Centre d'activité du Pin
49070 Beaucouzé – Angers
**École Nationale Vétérinaire
de Lyon
1, avenue Bourgelat
69280 Marcy-l'Étoile

Si les manifestations cliniques des mycoses des poches gutturales sont bien décrites, leur épidémiologie est mal connue. Cette étude rétrospective tente d'évaluer l'influence de différents facteurs intrinsèques et extrinsèques sur le développement de cette affection.

Les affections des poches gutturales ont une faible incidence puisqu'elles représentent 0,8 % des chevaux reçus en consultation de 1983 à 1993 à l'Université de Montréal (Canada) [19] et 1,05 % des cas présentés à l'École Nationale Vétérinaire de Lyon de janvier 1999 à avril 2002. Elles ont été décrites sur quatre continents : En Europe [4, 10, 14], en Asie (Kanemitsu, 1995), en Océanie [22], et sur le continent américain [6, 19].

Les manifestations cliniques de l'affection, en rapport avec les nombreuses structures vasculaires et nerveuses au contact des poches gutturales, sont désormais bien connues ; de plus, le développement de techniques chirurgicales efficaces dans le traitement a permis de diminuer le taux de mortalité relatif aux mycoses des poches gutturales. Cependant, il n'y a pas de connaissance claire de l'épidémiologie de cette affection. L'agent pathogène responsable des lésions appartient au genre Aspergillus (voir l'encadré “Aspergillus et lésions aspergillaires”). Des spores d'Aspergillus peuvent être trouvées dans les poches gutturales saines [1]. Cela implique l'existence de facteurs intrinsèques et/ou extrinsèques qui favorisent le développement pathologique de plaques mycosiques [1].

L'objet de l'étude présentée dans cet article est de tenter de dégager quelques caractéristiques épidémiologiques concernant les mycoses des poches gutturales en France.

Matériel et méthode

Un questionnaire qui réunit plusieurs facteurs à étudier a été élaboré (voir la figure “Facteurs épidémiologiques testés à travers le questionnaire”) :

Le recrutement des cas a été effectué en deux temps. La liste de toutes les consultations à la clinique équine de l'école nationale vétérinaire de Lyon depuis janvier 1998 a été éditée : Vingt-six cas de mycoses des poches gutturales ont été retenus et un exemplaire du questionnaire a été envoyé aux propriétaires de ces chevaux. Seize d'entre eux ont accepté de participer à l'enquête. Parallèlement, plusieurs cliniques équines privées ont été sollicitées dans différentes régions de France. Quelques coordonnées de propriétaires de chevaux qui ont présenté une mycose des poches gutturales ont ainsi été communiquées et un questionnaire a été envoyé à ces personnes.

L'étude menée est donc une étude rétrospective. Elle s'appuie sur vingt-et-un cas de mycoses des poches gutturales. Les cas numérotés de 1 à 16 correspondent à des chevaux présentés à la clinique équine de l'Ecole Nationale Vétérinaire de Lyon. Les cas numérotés de 17 à 20 ont été communiqués par une clinique privée. Le cas 21 correspond au cheval d'un particulier intéressé par l'étude.

Résultats

L'ensemble des réponses obtenues est résumé dans le tableau “Résultats du questionnaire”.

Une répartition égale des cas dans les différentes tranches d'âges de six mois à vingt-et-un ans, peut être observée (voir la figure “Répartition par tranches d'âge”).

Les mycoses apparaissent chez le cheval indépendamment de son sexe.

La race selle-français est essentiellement représentée avec dix cas, ainsi que les races pur-sang (trois cas), trotteurs français (deux cas) et anglo-arabe (un cas), mais aussi deux poneys, un hispano-arabe, un apaloosa et un d'origine inconnue (voir la figure “Répartition par races”).

Les activités rencontrées sont variées : randonnée, élevage, saut d'obstacles, dressage, course, école.

Les chevaux présentés sont nourris avec une alimentation traditionnelle ou avec des granulés, accompagnés dans la majorité des cas par du foin.

Pour le logement, neuf chevaux vivent en permanence au pré, six au pré pendant la journée et en box la nuit, et six uniquement en box (avec une litière de paille) (voir la figure “Répartition par types de logements”).

Neuf chevaux ne se déplacent jamais. Pour les autres les rythmes sont les suivants : cinq mensuellement, trois hebdomadairement, deux trimestriellement, un semestriellement et un annuellement (voir la figure “Fréquence des déplacements”).

L'étude de la date d'apparition des symptômes révèle que, dans treize cas sur vingt-et-un, la manifestation clinique de l'affection a eu lieu entre les mois de mars et de mai, contre un seul cas entre novembre et février (voir la figure “Période de manifestation clinique”).

La gourme représente l'affection antérieure la plus fréquente avec cinq cas (voir la figure “Passé pathologique : fréquence des affections rencontrées”) et dans douze cas sur vingt-et-un, les chevaux n'ont pas reçu d'antibiotique et/ou de corticoïde dans le passé (voir la figure “Traitements reçus antérieurement à la mycose”).

Les symptômes rencontrés liés à la mycose proprement dite sont résumés dans la figure “Fréquence des symptômes rencontrés” les photos 1 et 2 et le tableau “Corrélations entre les structures anatomiques atteintes et la clinique”) :

La majorité des chevaux ont été traité chirurgicalement : 14 des cas ont subi un traitement chirurgical par embolisation intra-artérielle (2 sont morts), 3 par ligature et pose de ballonnets détachables (1 est mort), 3 chevaux ont été euthanasiés, et un a reçu un traitement médical expérimental (dont les résultats ne sont pas connus pour le moment).

Deux profils très généraux peuvent être dégagés.

• Celui du cheval malade :

- de race selle-français ;

- vit au pré, avec de nombreux animaux alentour (de même espèce ou non) ;

- est vacciné contre la grippe et le tétanos ;

- a présenté dans le passé un épisode de gourme ou fait une chute.

• Celui de la mycose :

- elle se manifeste au printemps par du jetage, de l'épistaxis, de la dysphagie, de l'abattement, chez un animal conservant un bon état général ;

- elle est le plus souvent unilatérale et le taux de survie est de 66 % avec traitement.

Discussion

Étude des facteurs prédisposants

Les différents facteurs étudiés peuvent être regroupés en plusieurs catégories :

- Facteurs intrinsèques (liés à l'hôte uniquement)

D'après les résultats obtenus, le sexe, la race, l'âge et l'activité des chevaux ne semblent pas constituer de prédisposition pour le développement d'une mycose des poches gutturales. Cela est en accord avec les données de la littérature [8].

- Facteurs extrinsèques

Le type d'alimentation ne semble pas influencer le développement de mycoses. Cependant, un cas de mycose des poches gutturales suite à l'ingestion accidentelle d'un mélange de concentrés contaminé par Aspergillus, a été décrit [20] ; les auteurs ont avancé l'hypothèse selon laquelle un foin de mauvaise qualité pourrait être une source de contamination par Aspergillus pour les chevaux.

En ce qui concerne le logement, une majorité de chevaux vivant à l'extérieur est observée. Cela n'est pas en accord avec l'étude de Cook dans laquelle tous les chevaux atteints vivaient exclusivement en box [4] ; cela ne remet cependant pas en cause l'hypothèse selon laquelle une forte densité de spores d'Aspergillus (par défaut de ventilation dans le cas du logement en box) constituerait un éventuel facteur prédisposant au développement de mycose des poches gutturales.

Une augmentation de la densité de spores d'Aspergillus dans l'environnement, accompagnée d'aspergilloses humaines a déjà été observée dans de grands hôpitaux à proximité desquels avaient eu lieu des travaux de tout type tels que la réhabilitation d'une aile d'un hôpital [18]. Dans la présente étude, la réalisation de travaux à proximité des écuries a été relevée dans deux cas.

La fréquence des déplacements pourrait être un facteur favorisant, voire déclenchant en raison notamment du stress dû au transport. Cependant, il apparaît que la plupart des chevaux de cette étude ne se déplacent jamais.

Le quatrième facteur extrinsèque étudié concerne la date d'apparition des premiers symptômes. Les résultats obtenus montrent qu'un facteur saisonnier se détache très nettement. Ces résultats se rapprochent de ceux de Cook dont la plupart des cas s'étaient déclarés entre avril et août avec un pic au mois de juillet [4]. Il convient cependant de rester prudent pour interpréter ces données, puisque la durée précise de développement des lésions, notamment le délai entre la formation des plaques mycosiques et la manifestation clinique de l'affection, sont encore inconnus [6].

La formation de mycéliums ne peut s'expliquer sans l'intervention de facteurs supplémentaires car, dans le cas contraire, l'aspergillose des poches gutturales toucherait la majorité des chevaux [6]. Bien que dans cette étude, les cas 18, 19 et 20 proviennent du même élevage, et que les propriétaires des cas 3 et 9 aient déjà eu un cas de mycose des poches gutturales sur d'autres chevaux qui vivent ou ont vécu au même endroit, cette affection est sporadique. Un seul cas peut apparaître au sein d'un effectif alors que tous les animaux sont maintenus dans les mêmes conditions (alimentation, logement, etc.) [11].

- Autres facteurs

Parmi ces facteurs se trouve le passé pathologique de l'animal. Plusieurs hypothèses étiologiques ont été émises par différents auteurs, notamment par Cook [5]. Celui-ci souligne que l'aspergillose des poches gutturales est sporadique et apyrétique, ce qui ne va pas en faveur d'une infection préalable de l'appareil respiratoire supérieur. Cependant, il semble désormais admis qu'une pharyngite banale, voire une gourme, puisse se compliquer en mycose des poches gutturales [11].

D'autres hypothèses étiologiques ont été décrites, mais elles n'ont pu être abordées à travers le questionnaire rempli par les propriétaires des chevaux.

Cook a observé qu'en général, les lésions se situent ventralement à la bulle tympanique. Tous les chevaux qu'il a examinés, à une exception près, présentaient des lésions osseuses de la bulle tympanique. Les mycoses des poches gutturales pourraient donc débuter en regard de la bulle tympanique [5], suite à des lésions des tissus mous. Celles-ci seraient provoquées par des micro-mouvements de l'articulation de l'os hyoïde avec la bulle tympanique et seraient la conséquence de lésions d'arthrose de la bulle tympanique ou proviendraient de la pulsation de l'artère carotide interne [5].

Une autre hypothèse, fondée sur des études d'angiographies [3, 9], définit les anomalies artérielles congénitales comme une cause initiale pour le développement d'une mycose dans les poches gutturales.

Les migrations larvaires erratiques (larves L4 ou L5 lors de contamination aortique par Strongylus vulgaris) entraîneraient une artérite vermineuse, qui prédisposerait au développement de plaques mycosiques [21].

Les différents traitements administrés à l'animal, avant la déclaration de l'aspergillose des poches gutturales sont à considérer. Les gluco-corticoïdes ont un effet immunosuppresseur et leur responsabilité dans l'apparition des mycoses en général est connue [12]. Les antibiotiques éliminent la flore dominante à la surface des muqueuses et conduisent ainsi à la levée des phénomènes de compétition qui normalement rendent impossible la colonisation fongique [11]. Néanmoins, d'après les résultats obtenus, de telles considérations générales ne semblent pas s'appliquer aux poches gutturales.

Étude de la mycose

Plusieurs points du questionnaire portaient sur la description de la mycose proprement dite. Tous les symptômes rencontrés dans cette étude ont été décrits par différents auteurs, dans des proportions relativement identiques [2, 4, 7, 8, 9, 13, 16]. D'autres manifestations cliniques, qui n'ont pas été rencontrées ici, ont été rapportées ponctuellement dans la littérature :

- une atrophie des muscles de la langue par atteinte du nerf XII [15] ;

- des troubles nerveux suite à l'extension de l'infection fongique à l'encéphale [20] ou suite à l'embolie cérébrale d'un thrombus formé dans l'artère carotide interne [1] ;

- deux cas d'arthrite atlanto-occipitale [7, 23] ;

- des coliques [4] ;

- de l'encensement [17].

La mycose est le plus souvent unilatérale. Une atteinte bilatérale est rapportée dans quelques cas, vraisemblablement suite à l'extension des lésions d'une poche gutturale à l'autre à travers le septum qui délimite les deux compartiments médians [9]. L'atteinte préférentielle de la poche gutturale gauche a déjà été observée [1], mais aucune explication n'a été apportée à ce jour. Le développement des techniques chirurgicales (voir l'encadré “L'embolisation intra-artérielle”) a permis de diminuer sensiblement le taux de mortalité : il est de 17,6 % après traitement dans cette étude, alors que Cook notait en 1968 un taux de mortalité supérieur à 50 % après traitement.

Limites de cette enquête

Parmi les limites de cette enquête épidémiologique, un biais de classement dû à l'inégalité de densité des réponses peut être noté. Cette difficulté a été rencontrée notamment dans les données relatives au logement et à l'alimentation : les propriétaires n'ont pas ou peu indiqué la provenance, les lieux et la durée de stockage de la litière et des aliments. Ces résultats n'ont donc pas été exploitables. De plus, une enquête rétrospective fait appel à la mémoire des propriétaires des chevaux. Pour les cas numérotés de 1 à 16, une confrontation des données reçues par le questionnaire avec celles qui figuraient dans les dossiers cliniques des chevaux a été effectuée : quelques différences ont été notées, notamment en ce qui concerne les symptômes. Ceci peut aussi s'expliquer par l'emploi de termes médicaux parfois inconnus de certains propriétaires (quelques-uns n'ont pas hésité à faire remplir cette partie par leur vétérinaire traitant).

Enfin, le nombre de cas de cette étude reste assez faible ; il convient de rester prudent sur la généralisation des résultats obtenus.

Conclusion

Au terme de cette étude, la saison semble être le seul facteur qui a une influence certaine dans l'épidémiologie des mycoses des poches gutturales.

La prévalence exacte de l'affection n'est pas encore connue, en raison notamment des difficultés de diagnostic et de non-connaissance de la population générale. Il conviendrait de mener une enquête plus large pour obtenir une évaluation de la prévalence de l'affection en France et rechercher d'éventuelles régions plus particulièrement concernées (l'ouest de la France semble peu affecté).

Éléments à retenir

• Les symptômes rencontrés lors de mycose des poches gutturales sont variés. Les plus fréquents sont le jetage, l'épistaxis et la dysphagie.

• Le développement des techniques de traitement chirurgical a amélioré le pronostic de cette affection : pour cette étude, le taux de mortalité est de 17,6 % après traitement, contre 50 % dans une enquête de 1968.

• Dans cette étude, l'influence de facteurs intrinsèques sur le développement des mycoses n'apparaît pas. Le sexe, la race, et l'âge ne semblent pas être des éléments prédisposants.

• Parmi les facteurs extrinsèques, la saison semble être le seul qui a une influence certaine sur l'expression clinique des mycoses des poches gutturales.

Aspergillus et lésions aspergillaires (d'après [1, 10])

Aspergillus est un des champignons les plus présents dans l'environnement. D'origine tellurique, il affectionne particulièrement les milieux chauds et humides. Les aspergilloses primaires sont rares chez les chevaux ; Aspergillus est un agent opportuniste qui devient pathogène généralement à la faveur d'une immunodépression de l'hôte ou de lésions tissulaires. Parmi les 130 espèces appartenant au genre Aspergillus, celles qui sont le plus souvent isolées lors de mycose des poches gutturales sont Aspergillus nidulans, Aspergillus fumigatus et Aspergillus ochraceus.

Les lésions observées lors de mycose des poches gutturales sont constituées de fausses membranes jaunâtres faiblement adhérentes au tissu sous-jacent, formées d'un réseau de fibrine renfermant des leucocytes, des macrophages et des éléments mycéliens.

L'embolisation intra-artérielle (d'après [14])

◊ L'embolisation intra-artérielle consiste en l'introduction par un système de cathéter, d'emboles en acier inoxydable recouverts de fibres synthétiques en dacron. Une fois déposés, ils s'enroulent sur eux-mêmes et assurent ainsi l'occlusion artérielle. Il est nécessaire que l'occlusion soit distale et proximale à la lésion, afin d'éviter tout flux rétrograde et normograde.

◊ Lors de saignements abondants, il n'est parfois pas possible d'objectiver à l'endoscopie, quelle artère est atteinte. En raison du risque d'hémorragie fatale, il est préférable de réaliser l'embolisation des artères carotide externe, carotide interne et maxillaire. L'angiographie permet de repérer ces structures vasculaires lors de l'intervention, de mesurer leur diamètre pour choisir un embole approprié, et de vérifier leur oblitération totale.

◊ L'embolisation intra-artérielle est très bien tolérée. Elle ne nécessite ni soins postopératoires particuliers ni deuxième intervention. Deux inconvénients peuvent être notés pour cette méthode : elle requiert l'utilisation d'un amplificateur de brillance (technique utilisant des rayons) et elle nécessite la présence d'au moins deux personnes dans l'équipe chirurgicale.

Références

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