Mécanismes et modalités de réapparition d’une maladie infectieuse : exemples d’actualité - Le Point Vétérinaire expert rural n° 364 du 01/04/2016
Le Point Vétérinaire expert rural n° 364 du 01/04/2016

ÉPIDÉMIOLOGIE ANIMALE

Article de synthèse

Auteur(s) : Barbara Dufour*, Bernard Toma**

Fonctions :
*Unité maladies réglementées,
zoonoses et épidémiologie
École nationale vétérinaire d’Alfort
7, avenue du Général-de-Gaulle,
94704 Maisons-Alfort Cedex
barbara.dufour@vet-alfort.fr
**Unité maladies réglementées,
zoonoses et épidémiologie
École nationale vétérinaire d’Alfort
7, avenue du Général-de-Gaulle,
94704 Maisons-Alfort Cedex
barbara.dufour@vet-alfort.fr

Résurgence ou réintroduction ? Les divers moyens disponibles pour distinguer les deux processus ont été mis en œuvre dans le cadre de récents foyers de maladies animales infectieuses en France.

Un foyer de fièvre catarrhale ovine (FCO) à virus de sérotype 8 (BTV8) est apparu fin août 2015 dans le département de l’Allier. Pourtant, la France, après la terrible épizootie de 2007 à 2010 et les campagnes de vaccination généralisée mises en place, avait réussi à récupérer son statut officiellement indemne pour cette maladie fin 2012.

S’agissait-il d’une réintroduction du virus sur notre territoire ou d’une résurgence, c’est-à-dire de la réapparition du virus resté silencieux pendant plus de deux années(1) ?

Cette question revient systématiquement lorsque réapparaît une maladie infectieuse animale sur un territoire. Elle s’est posée en France au cours des 15 dernières années pour l’infection à virus West Nile en Camargue. Même problématique pour la tuberculose bovine dans la faune sauvage en 2000 dans le département de l’Eure, ou encore pour l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) dans les élevages de palmipèdes gras en 2015 dans le Sud-Ouest.

Répondre à cette question n’est pas toujours facile. C’est pourtant capital pour mettre en place des mesures préventives adaptées.

Quand une maladie réapparaît, il convient en premier lieu d’effectuer des investigations pour tenter de déterminer s’il s’agit d’une résurgence ou d’une réintroduction, en sachant qu’une maladie peut revenir par chacun des deux mécanismes selon le contexte (encadré 1).

RÉSURGENCE : NOTION DE RÉSERVOIR

La résurgence d’une maladie implique un mécanisme de conservation de l’agent pathogène sur le territoire. Il en existe plusieurs. Tous sous-tendent l’existence d’un “réservoir”, dont la définition est donnée par l’Association pour l’étude de l’épidémiologie des maladies animales (AEEMA) : « Entité assurant la conservation d’un agent pathogène biologique, considéré en tant qu’espèce, et sa fourniture aux sujets réceptifs » [1].

De manière simplifiée, la conservation d’un agent pathogène peut être assurée par le milieu extérieur ou des êtres vivants (figure 1).

1. Réservoir inerte

Le milieu extérieur (environnement) sert de réservoir, notamment, pour des agents pathogènes qui y ont une longue durée de vie, par exemple :

– les virus nus comme celui de la fièvre aphteuse (FA) ;

– les mycobactéries, notamment Mycobacterium bovis (elles peuvent survivre plusieurs semaines dans des sols humides) ;

– les spores charbonneuses (résistance « extrême » de plusieurs dizaines d’années).

Connaître la durée et les modalités de conservation d’un agent pathogène biologique hors de l’animal est donc fondamental. Cela n’est pas toujours facile. Les informations acquises en laboratoire (sur la résistance à la chaleur, à la dessiccation et au pH) ne sont pas transposables sur le terrain dans tous les cas. Ainsi, la durée de survie de Mycobacterium bovis sur les pâtures dépend beaucoup de la dose initiale, des conditions météorologiques (humidité, chaleur et ensoleillement) et probablement aussi de la nature du sol. Elle n’est pas connue avec précision (photo 1).

2. Réservoir vivant

Les êtres vivants jouent souvent le rôle de réservoir, et ce de plusieurs manières possibles.

Portage individuel définitif

L’agent pathogène persiste indépendamment de tout signe clinique aisément détectable. Ainsi, les herpèsvirus de la maladie d’Aujeszky ou de la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR) persistent en étant intégrés au génome des cellules. Ils peuvent être sporadiquement (souvent silencieusement) réexcrétés par les animaux infectés.

De même, les bovins infectés par la tuberculose bovine, y compris les animaux fortement excréteurs, ne présentent aucun signe clinique, sauf exception. Leur détection ne repose donc que sur des mesures de surveillance post-mortem ou de leur vivant par la recherche de marqueurs biologiques (intradermo-réaction).

Autre exemple, les génisses nées de mères infectées par la brucellose ne présentent souvent aucun symptôme ni signe biologique détectable (la sérologie est négative) jusqu’à leur première mise bas.

Portage transitoire mais “silencieux” de l’agent pathogène et sa circulation au sein d’une population réceptive de taille suffisante

Une circulation à bas bruit de l’agent pathogène parmi des animaux domestiques peut ne pas être détectée par la surveillance, en raison de ses inévitables limites. Ainsi, pour la FCO à sérotype 8, elle est probablement restée trop faible pour être détectée par la surveillance programmée.

Autre limite, liée à la faisabilité : la détection de la circulation d’agents pathogènes dans la faune sauvage. Le choix des animaux prélevables est souvent orienté par la chasse et le nombre de prélèvements sur les bêtes sauvages reste forcément limité. Une circulation infectieuse n’est décelée qu’à partir d’un niveau assez élevé. Il en est ainsi, par exemple, pour divers virus de l’influenza aviaire circulant à bas bruit dans des populations de différentes espèces d’oiseaux sauvages.

3. Complexité des réservoirs

Quel que soit le mode de conservation, la complexité des modalités d’entretien d’un agent pathogène est d’autant plus importante que le territoire pris en compte pour la résurgence est vaste. Dans une région donnée, la conservation d’un agent pathogène passe fréquemment par l’association des mécanismes précédemment décrits.

Par exemple, celle de M. bovis repose souvent sur l’entretien de la bactérie dans l’environnement des élevages infectés (pâtures notamment) et sur une persistance de l’infection chez des bovins quand ils échappent à la surveillance. Quelquefois, aussi, la circulation dans certaines espèces sauvages (sangliers, blaireaux, cervidés, etc.) est en cause, laquelle peut être tout aussi silencieuse (photo 2).

RÉINTRODUCTION

Les modalités de réintroduction (ou d’introduction) d’une maladie dans un élevage ou sur un territoire sont nombreuses (figure 2).

1. Cas d’un agent pathogène porté par des animaux domestiques infectés

Les animaux domestiques infectés peuvent être de l’espèce considérée (celle qui est concernée par l’apparition de la maladie) ou d’une autre, voisine. Ils ont été introduits légalement ou non. La FA a ainsi été introduite en France en 2001 par l’importation du Royaume-Uni de moutons infectés par le virus.

2. Cas d’un agent pathogène porté par des animaux sauvages terrestres ou aériens infectés

Chez ces animaux, la maladie a pu passer inaperçue en raison de son caractère peu ou pas virulent pour ces espèces, ou parce que le système de surveillance ne l’a pas détectée.

Ainsi, le virus West Nile a été plusieurs fois réintroduit en France au cours des 15 dernières années par des oiseaux en provenance de pays infectés (photo 3) [4].

La peste porcine classique a été réintroduite en 2002 dans l’est de l’Hexagone par des sangliers infectés provenant d’Allemagne [3].

3. Cas d’un agent pathogène porté par des arthropodes infectés

La FCO à BTV1 a très probablement été réintroduite en Corse en 2015 par des nuages de culicoïdes infectés provenant de Sardaigne.

4. Cas d’un agent pathogène porté par des véhicules

Les supports susceptibles de transporter passivement l’agent pathogène sont extrêmement variés :

– les bottes du vétérinaire ou de l’inséminateur, par exemple ;

– le matériel commun à différents élevages, comme celui d’épandage du lisier ou autre ;

– l’eau ou les aliments. Ainsi, la FA aurait été introduite au Royaume-Uni en 2001 via la distribution d’eaux grasses à des porcs ;

– l’air peut également transporter certains virus ou de petites bactéries sur de courtes ou moyennes distances. Cela s’est produit quelquefois pour des foyers de fièvre Q, de maladie d’Aujeszky ou de FA.

MOYENS POUR DISTINGUER LA RÉSURGENCE DE LA RÉINTRODUCTION

Les différents moyens disponibles pour distinguer la résurgence de la réintroduction lorsqu’une maladie réapparaît se complètent.

1. Biologie moléculaire

La proximité génétique de l’agent pathogène responsable du foyer récemment apparu peut être mesurée par rapport aux souches issues d’anciens foyers dans la même zone (résurgence) ou de foyers dans d’autres pays (réintroduction). Ainsi, le virus isolé pour le cas de rage observé dans les Hauts-de-Seine en 2013 a pu être identifié comme identique à certains virus circulant au Maroc. Il résultait donc bien d’une introduction. La réapparition de la FCO dans l’Allier en 2015 paraît résulter d’une résurgence car le virus identifié était extrêmement proche sur le plan génétique des virus isolés en France entre 2008 et 2012. Les outils de biologie moléculaire qui ont été développés et largement utilisés au cours des dernières années sont une aide de plus en plus précieuse pour orienter vers une résurgence ou une introduction.

2. Épidémiologie d’investigation (notamment l’enquête en amont)

Il s’agit d’explorer toutes les causes possibles d’introduction de l’agent pathogène par différentes voies et de résurgence dans un élevage ou une zone. Ces enquêtes doivent utiliser les connaissances en épidémiologie analytique propres à chaque maladie. Elles permettent d’orienter vers d’éventuelles investigations complémentaires dans d’autres espèces. Ainsi, à la suite du cas de brucellose à Brucella melitensis observé dans un élevage bovin en Savoie en 2012, après avoir éliminé par une enquête épidémiologique les causes classiques d’introduction, des investigations ont été réalisées dans la faune sauvage. Elles ont permis de mettre en évidence une infection importante et probablement ancienne des bouquetins vivant dans le massif du Bargy [3].

MOYENS DE PRÉVENTION

L’identification de la cause de la réapparition d’une maladie dans un élevage ou une région est capitale pour mettre en place des mesures préventives ultérieures. Les moyens de prévention dépendent, en effet, des mécanismes de conservation ou d’introduction de l’agent pathogène.

1. Prévenir la résurgence

Empêcher la persistance de l’agent pathogène

Lors de l’élimination d’un foyer, l’assainissement doit être rigoureux. Sur le plan collectif, la maladie peut avoir été insuffisamment éliminée, comme peut-être pour la tuberculose bovine dans certains départements français dans les années 2000. Au regard d’un élevage, l’éradication peut aussi rester incomplète : à la suite d’une désinfection insuffisante, par exemple, malgré l’abattage des animaux pour la tuberculose bovine.

Dans certains cas, il est impossible de se débarrasser de l’agent pathogène : les spores de fièvre charbonneuse persistent dans le sol plusieurs dizaines d’années. Une résurgence est inévitable à terme.

La lutte contre la conservation de l’agent pathogène passe par l’élimination des individus porteurs et son éradication dans le milieu extérieur (encadré 2).

Vérifier la disparition de l’agent pathogène

L’objectif est d’être capable de détecter une circulation à bas bruit de l’agent pathogène, afin d’achever son éradication. Il convient pour cela de mettre en place des modalités de surveillance suffisamment sensibles sur une durée assez longue (encadrés 3 et 4).

La qualité de la surveillance requiert également une interprétation de ses résultats en temps réel et en lien avec les objectifs de dépistage de l’infection, ainsi qu’une pérennisation dans le temps en relation avec la capacité de conservation de l’agent pathogène de la maladie.

Ainsi, il est nécessaire d’effectuer une surveillance la plus sensible possible, mais économiquement supportable, pendant plusieurs années après la disparition de tout cas clinique d’une maladie.

2. Lutter contre la réintroduction

Il convient de mettre en œuvre des mesures de biosécurité et/ou de vaccination préventive.

Les premières sont souvent d’autant plus difficiles à appliquer que le territoire à protéger est vaste (figure 4). Sur le plan collectif, comme pour un élevage, il est souvent possible de les compléter, voire de suppléer leur insuffisance, par des vaccinations préventives. La vaccination reste le seul moyen de prévention quand les autres mesures sont trop difficiles à appliquer ou se révèlent inefficaces. Elle ne permet pas de lutter réellement contre l’introduction d’un agent pathogène dans une zone, mais prévient son expression et sa diffusion.

Elle limite la détection des premiers foyers, mais peut éviter une circulation de l’agent pathogène.

Pour les maladies à transmission vectorielle, en raison de l’efficacité relative des mesures de biosécurité vis-à-vis des vecteurs, la protection de régions indemnes repose quasi exclusivement sur la vaccination (photo 4). C’est le cas pour la FCO(1).

Conclusion

Ainsi, la complexité des mécanismes de résurgence ou de réintroduction des agents pathogènes sur un territoire donné explique la diversité des situations possibles. La qualité de la surveillance épidémiologique reste un élément déterminant pour l’élimination des maladies transmissibles. Il s’agit de limiter les risques de résurgence et de détecter le plus précocement possible toute réintroduction. Les vétérinaires praticiens jouent ainsi un rôle essentiel dans le dispositif de la surveillance événementielle, qu’il n’est pas inutile de réaffirmer.

  • (1) Voir la fiche “Apparition, réapparition, résurgence, réintroduction : des termes à bien intégrer dans le contexte actuel” des mêmes auteurs, dans ce numéro.

Références

  • 1. AEEMA. Terminologie http://aeema.vet-alfort.fr/index.php/component/glossary/Glossaire-1/R/RESERVOIR-(d’un-agent-pathogène-biologique)-284. Consulté le 16 février 2016.
  • 2. Ganière J-P, Laaberki M-H. La brucellose animale. Polycopié des Écoles nationales vétérinaires françaises. 2015:58p.
  • 3. Ganière J-P, Ruvoen N. Dangers sanitaires de 1re et 2e catégories chez les suidés. Polycopié des Écoles nationales vétérinaires françaises. 2015:56p.
  • 4. Hosy F, Dufour B. Évolution de la répartition des cas humains et équins à virus West Nile au cours des 15 dernières années en Europe et dans le bassin méditerranéen. Épidémio. Santé Anim. 2015;68:121-128.
  • 5. Zientara S. Réémergence du virus de la fièvre catarrhale à sérotype 8 en France. Épidémio. Santé Anim. 2015;68:139-142.

Conflit d’intérêts

Aucun

ENCADRÉ 1
La résurgence et la réintroduction sont possibles pour une même maladie

Une même maladie, dans une même espèce, peut réapparaître dans des endroits différents par des mécanismes distincts. Ainsi, la réapparition de la fièvre catarrhale ovine à BTV1 en Corse en septembre 2013 est certainement due à une réintroduction du virus à partir de la Sardaigne, alors que celle du BTV8 observée dans l’Allier en novembre 2015 résulte très probablement d’une résurgence. Pour une même maladie, les deux mécanismes sont donc possibles. Cela doit conduire à des mesures de prévention adaptées tant à la résurgence qu’à la réintroduction.

ENCADRÉ 2
Comment lutter contre la persistance d’un agent pathogène ?

→ L’élimination des animaux porteurs doit tenir compte du portage définitif ou non des agents pathogènes par les individus infectés. Un dépistage et un abattage partiel peuvent suffire en cas de portage transitoire. Si celui-ci est définitif ou très long (par exemple, pour la brucellose, la tuberculose, la leucose bovine enzootique ou encore la maladie d’Aujeszky), l’abattage total des animaux des foyers est souvent le meilleur moyen de lutte. La dépopulation large est souvent difficilement, voire pratiquement inapplicable à l’échelle d’une région. Elle a pourtant été utilisée contre la peste porcine sur l’île d’Haïti dans les années 1990 et actuellement pour lutter contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) des palmipèdes gras dans le sud-ouest de la France (figure 3).

→ Dans le milieu extérieur, la lutte contre la conservation de l’agent pathogène repose sur des mesures de nettoyage, de désinfection et de vide sanitaire après l’élimination des animaux porteurs. Les méthodes de désinfection et la durée du vide sanitaire doivent être adaptées aux caractéristiques de résistance de l’agent pathogène dans l’environnement. Généralement applicables et assez efficaces à l’échelle d’un élevage, elles sont beaucoup plus difficilement utilisables au niveau d’une région, notamment si l’agent pathogène a circulé dans la faune sauvage. Elles peuvent être inenvisageables : c’est le cas pour des prairies contaminées par des spores charbonneuses ou des foyers invétérés de peste humaine à Yersinia pestis aux États-Unis où l’agent pathogène circule silencieusement dans les terriers de petits rongeurs sauvages.

ENCADRÉ 3
Défaillances possibles de la surveillance pouvant conduire à un risque de résurgence

→ Insuffisance de la surveillance ou son arrêt trop précoce pour des raisons économiques ou biologiques. Des mauvaises valeurs prédictives positives des tests erronées en fin d’éradication ont, dans ce cadre, des conséquences qu’il s’agit ensuite de gérer. Cela a été le cas pour la tuberculose bovine dans certaines zones.

→ Espèces non surveillées, alors qu’elles peuvent avoir été infectées, pour ensuite contaminer les espèces initialement surveillées (rôle de réservoir, par exemple pour les bouquetins du massif du Bargy en Savoie, probablement infectés au contact d’ovins en 1995).

ENCADRÉ 4
Difficulté à approcher la prévalence réelle en phase de disparition : des facteurs techniques, sociologiques, économiques

L’éradication réelle d’une maladie est très difficile à vérifier. Parfois, la prévalence réelle de l’infection (qui est inconnue) diffère considérablement de la prévalence apparente. L’écart entre les deux dépend de contraintes techniques, dont les caractéristiques des tests de dépistage utilisés (sensibilité et spécificité de ces derniers). Des facteurs sociologiques jouent aussi un rôle : c’est sur la sensibilité des acteurs de terrain que repose toute surveillance événementielle. Les paramètres économiques déterminent, quant à eux, la taille de l’échantillonnage et la fréquence des contrôles réalisés.

Points forts

→ Un “réservoir” est une entité assurant la conservation d’un agent pathogène biologique, considéré en tant qu’espèce, et sa fourniture aux sujets réceptifs.

→ Le terme de “véhicule” n’est pas entendu au sens strict en épidémiologie. Les bottes, l’épandeuse à lisier et l’eau en sont aussi.

→ Mesure exceptionnelle, la dépopulation large a été pratiquée pour l’influenza aviaire hautement pathogène des palmipèdes gras dans le Sud-Ouest.

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