Les robots se mettent au vert dans les systèmes laitiers - Le Point Vétérinaire expert rural n° 341 du 01/12/2013
Le Point Vétérinaire expert rural n° 341 du 01/12/2013

CONDUITE D’ELEVAGE BOVIN

Veille scientifique

Auteur(s) : Béatrice Bouquet

Fonctions : 8 rue des déportés,
80220 Gamaches

L’automatisation de la traite et la mise à l’herbe sont compatibles. Des innovations promettent un développement durable aux exploitations laitières robotisées.

Concilier robot et pâturage n’est pas gagné d’avance. La proportion d’élevages en zéro pâturage double (de 25 à 50 %) avant et après l’installation d’un robot [Tournaire 2001, cité par Brocard]. Un colloque s’est tenu à Paris le 10 octobre dernier sur ce sujet. Sous l’égide de Valérie Brocard de l’Institut de l’élevage, les conclusions du projet Casdar initié en 2010 y ont été présentées par les chercheurs ayant participé au programme, sous différents angles(1). Une courte synthèse de cet exposé est proposée ici.

VARIÉTÉ DES DISPOSITIFS

Dans le cadre du projet Casdar, des études sur deux sites d’élevage expérimentaux ont été conduites et 21 fermes commerciales pilotes ont été suivies.

Contrairement à la tendance “spontanée” observée, le robot de traite et le pâturage peuvent s’accorder. Divers modèles de conduite d’élevage permettent de concilier la mise à l’herbe et la traite robotisée à des degrés variables. Au final, les quantités d’herbe pâturée dans les fermes pilotes varient de 700 kg à plus de 2 t de matière sèche (MS) par an et par vache.

Selon les conclusions du projet global de recherche, trois critères sont essentiels pour réussir à concilier le robot de traite et le pâturage : la motivation (de l’éleveur comme de la vache), l’accessibilité des surfaces à partir du bâtiment où se trouve le robot et le niveau de saturation de la stalle du robot.

Il convient, parfois, de “forcer” la fréquentation du robot, lorsque la limite de saturation est atteinte (entre 60 et 75 vaches laitières [VL] traites par stalle : essai à la ferme expérimentale de Derval, dans les Pays-de-la-Loire, présenté par Thomas Huneau). Avec un paddock par 24 heures, il est nécessaire d’aller chercher les vaches restantes, au moins une fois par jour. Une autre solution est de proposer trois parcelles en alternance par 24 heures (c’est le cas, par exemple, à la ferme Moorepark, en Irlande). En revanche, constituer deux lots conduit à l’échec (figure).

La distance à parcourir jusqu’au robot varie de 100 à 950 m dans les fermes pilotes “robot-pâturage” du programme Casdar. Réserver les parcelles les plus éloignées à quelques heures de pâturage dans la journée peut suffire, si le robot n’est pas complètement saturé.

Des gadgets, des ouvrages d’art ou divers équipements peuvent changer le quotidien de l’éleveur robotisé et pâturant. Des dispositifs d’aiguillage ou de restriction variés ont été imaginés pour s’adapter aux contraintes spécifiques, et faire en sorte que les vaches circulent librement au cours de la journée entre la pâture et le robot, tels les passages canadiens (sol ajouré : les bovins ne passent pas, mais les véhicules si) ou les barrières canadiennes électriques. Un simple fil d’alpage, peu coûteux, ou des cannes électrifiées suffisent parfois. À l’extrême inverse, des tunnels sous la route sont construits (“boviduc”, 15 000 €) (photos 1 et 2).

Amener le robot (rendu “déplaçable”) dans les pâtures en été, lorsque celles-ci sont trop éloignées, est une possibilité, mais le coût des dispositifs associés à la mise en place d’une zone estivale de traite est à prendre en compte(2) (encadré 1).

MISE À L’ÉPREUVE PRATIQUE DES IDÉES REÇUES

À la ferme expérimentale de Derval, le robot ne transhume pas, mais le pâturage est privilégié alors même que la limite de saturation est presque atteinte. Un système complexe et mouvant d’envoi des vaches vers une des trois seules parcelles disponibles a été mis en place, explique Thomas Huneau (chacune est pâturée à chaque cycle durant 10 à 12 jours environ en continu).

Ailleurs, comme à Moorepark, la fluidité de circulation dans les chemins est privilégiée (largeur, etc.) pour motiver les vaches. Dans cet exemple irlandais sans apport de concentré, les bovins circulent librement sans intervention humaine, grâce à la mise à disposition, après le passage au robot, de trois mini-parcelles par 24 heures (ferme Moorepark). Dans ces systèmes où la parcelle pâturée change très souvent, il est important de fixer des repères pour l’animal (photo 5).

Pour encourager les vaches à revenir, le traditionnel chien de troupeau fait toujours l’affaire, mais certains éleveurs se contentent d’un avertisseur sonore (version moderne du bruit d’allumage de la salle de traite matin et soir).

Les plus attentifs veillent à aller chercher les vaches retardataires eux-mêmes, à pied. Cela permet de vérifier la quantité d’herbe qui reste dans les parcelles et ménage un temps d’observation “sanitaire” des animaux.

Autre enseignement du travail de recherche en France concernant le bâtiment : si la sortie vers la pâture n’est pas trop éloignée de la stalle de traite, une (coûteuse) porte de tri n’est pas indispensable. L’aiguillage par le robot peut suffire.

Pour Thomas Huneau, chaque parcelle ne doit pas nécessairement être équipée pour l’abreuvement car l’herbe est riche en eau. En revanche, un abreuvoir unique près du robot est à éviter, pour des raisons sanitaires et ­comportementales. En cas de forte chaleur ou d’éloignement important, l’éleveur privilégie une parcelle avec eau. Les points d’abreuvement peuvent aussi être disposés dans les chemins, pour être partagés entre plusieurs parcelles.

Pour encourager la sortie à l’herbe, la distribution de fourrage complémentaire (ensilage de maïs) est toujours rationnée et de préférence réalisée le soir.

MOINS DE LAIT, MOINS D’ALIMENTS COÛTEUX

L’astreinte autour des animaux est globalement réduite de 1 h 30 par jour grâce au pâturage dans les fermes pilotes étudiées. Le travail est agréable pour qui aime marcher (quelques vaches sont poussées, la pousse d’herbe est vérifiée). Selon l’importance du pâturage dans le système et l’organisation des éleveurs, une échelle d’aucun temps gagné à 4 h 30 d’astreinte en moins par jour est observée lorsque le robot et le pâturage sont conciliés.

Encourager la mise à l’herbe affecte peu la fréquence de traite (– 0,2 traite par jour). Ce résultat est apprécié des éleveurs, même si ce critère n’est guère pertinent (en Irlande, avec 1,8 traite par jour, les objectifs de production de lait par jour et par robot peuvent être atteints).

L’effet production est notable (– 1,7 l de lait produit en moins par vache et par jour), mais à relier à la baisse parallèle du concentré (– 2 kg/j) et les coûts alimentaires sont considérablement diminués (divisés par deux en moyenne mensuelle). La marge sur coût alimentaire est améliorée en pâturant. Les éleveurs des fermes pilotes de l’expérimentation Casdar sont restés prudents. Aucun n’a fermé complètement son silo de fourrage complémentaire dans la dernière année de suivi et la plupart ont gardé des stocks de fourrage proches de ceux d’avant l’expérimentation, surtout par manque de surface disponible pour les vaches.

Distribuer un concentré de production “spécial robot” n’est pas indispensable. Avec de “simples” céréales (en évitant la création de poussière par l’addition de mélasse), le retour au robot en période de pâturage fonctionne très bien aussi. De faibles quantités de concentré peuvent suffire (0,5 à 1 kg/j).

En définitive, il convient de trouver un système permettant de s’ajuster au mieux aux contraintes spécifiques à l’élevage. Les vaches ont aussi besoin de temps pour s’adapter.

Au sein du réseau pilote, peu de progrès ont été observés sur 3 ans pour la valorisation de l’herbe, alors que des solutions pratiques existent, comme à Derval ou comme en témoignent d’autres intervenants. La tendance dans les fermes pilotes a été d’augmenter le nombre de vaches par exploitation au cours des 3 ans d’essai, d’où moins de surface en herbe disponible par vache.

AUTOMATISATION AU-DELÀ DE LA TRAITE

Au-delà du programme français Casdar, Autograssmilk est un projet de recherche européen auquel participe notre pays, aux côtés de l’Irlande, du Danemark, des Pays-Bas, de la Suède et de la Belgique. Les initiatives technologiques sont partagées, afin de concilier la mise à l’herbe et la traite robotisée. Aux Pays-Bas, au-delà du robot “transhumant” testé en Bretagne et en Belgique par exemple, c’est un véritable camion de traite tout en un qui a été évalué (Natureluur, un prototype utilisé par un éleveur belge).

Toujours aux Pays-Bas et également au Danemark, des systèmes de capteurs sur l’animal et dans l’herbe vont être testés pour mieux suivre les déplacements des vaches, l’ingestion et les quantités d’herbe disponibles. Au-delà du robot, en Suède, près d’Uppsala, un roto de traite entièrement automatisé a été conçu et va être testé au sein d’une conduite d’élevage à l’herbe.

ICT Grazing tools est un programme européen sur les nouvelles technologies au service du pâturage. Les technologies laser aident à la mesure des quantités d’herbe disponibles. Les informations sont rapidement disponibles grâce au Bluetooth, couplé à une géolocalisation GPS des informations collectées pour l’éleveur (avec envoi de messages sur les smartphones). En France, les fermes expérimentales de Trévarez, en Bretagne, et de Derval participent à ce projet.

La faisabilité d’une clôture virtuelle est à l’étude dans le cadre de ce projet, qui permettra de concilier un pâturage plus intensif avec la traite robotisée. En Irlande, une base de données est disponible sur le Web pour faciliter la gestion des informations récoltées et offrir un conseil sur la gestion de l’herbe (BDD Web).

QUEL IMPACT ÉCONOMIQUE ?

Maintenir le pâturage est bénéfique économiquement lors de passage au robot, même si ce n’est que partiellement. Le coût alimentaire en été est bien inférieur au pâturage, par rapport à un rationnement à base de fourrages stockés.

Dans le cadre du projet Casdar, les systèmes qui concilient robot et pâturage ont été analysés d’un point de vue économique.

Dans une première étude, les résultats techniques et économiques de deux populations homologues tirées d’une base de données française essentiellement constituée de grandes exploitations de polyculture élevage (l’est et le nord de la France, Poitou-Charentes) ont été comparés(3). L’installation d’un robot de traite dans les grandes exploitations de polyculture élevage permet d’accroître la productivité du travail. Les quantités produites augmentent, au risque d’un dérapage sur la qualité (du lait, de la ration). Le passage au robot se traduit généralement par une hausse du coût alimentaire.

Une seconde étude dans le cadre du programme Casdar a consisté à simuler l’introduction d’un robot de traite dans une exploitation herbagère de l’est de la France. Il apparaît que l’installation d’un robot dans les exploitations pratiquant le pâturage se traduit par une baisse de l’efficience du système, plus importante quand les surfaces en herbe libérées ne sont pas valorisées. La ferme doit disposer de suffisamment de trésorerie pour amortir cette situation pendant une période de transition.

Il manque des études plus complètes et à l’échelle nationale. La bibliographie sur le sujet est incomplète, dispersée, et la comparaison se fait avec des exploitations témoins de profil variable (en Bretagne et en Normandie pour la plupart). Toutes concluent à une hausse du coût alimentaire, due à la diminution de l’ingéré d’herbe et à l’apport de davantage de concentré, acheté plus cher (dit “spécial robot”). Le taux de réforme est plus important dans un profil d’élevage qui devient “hors sol”. Le prix du lait n’augmente pas, en raison de pénalités sur les cellules et des autres critères de paiement de la qualité (des chiffres de l’ordre de 3 à 4 € de moins pour 1 000 l de lait produits sont observés).

Le robot a un coût (une stalle vaut 150 000 €) et les aménagements spécifiques comme les portes intelligentes ajoutent à la facture (6 000 €, voire plus, pour une porte de tri), tout autant que la maintenance annuelle (1 500 à 6 000 € par an). Dès lors, le revenu du travail sur l’atelier lait n’augmente pas, tandis que le revenu global d’exploitation s’améliore. Le coût de production est équivalent, mais sa composition diffère. Une telle étude sur un système spécialisé laitier de l’Ouest n’a pas encore été conduite.

Conclusion

Le pragmatisme des éleveurs et l’esprit d’innovation en Europe permettent de marier la mise à l’herbe et le robot de traite (encadré 2, tableau). La recherche d’apports azotés moins chers que les tourteaux azotés, dont le prix flambe, promet des lendemains qui chantent à ce couple improbable, au premier abord.

Toute la filière progresse dans son apprentissage de la vie avec la traite robotisée. En marge du thème central du colloque “robot-pâturage”, une réflexion sur l’impact de la traite robotisée sur la qualité du lait collecté était proposée (encadré 3, photo 6).

(1) http://idele.fr/recherche/publication/idelesolr/recommends/le-robot-de-traite-impact-sur-les-systemes-laitiers-synthese-des-resultats.html:15p.

(2) Voir les articles “Traite robotisée et pâturage sont-ils compatibles” et “Retour d’expérience sur le robot de traite mobile” de F. Lessire, dans ce numéro.

(3) Source Diapason, campagne 2011.

Conflit d’intérêts

Aucun.

ENCADRÉ 1 Transhumance du robot en Bretagne

L’expérience menée à la ferme expérimentale de Trévarez (Bretagne) dans le cadre du projet Casdar “robot-pâturage” est la mise en mobilité bisannuelle du robot de traite.

Pour un lot de vaches conduit en agriculture biologique dans une stabulation hivernale spécifique, qui n’est pas entourée de l’ensemble du parcellaire, il a été décidé de faire “transhumer” le robot de mai à octobre.

Le site estival a nécessité des travaux conséquents (coût total de 55 000 €). Il dispose d’une zone de récupération d’effluents sur caillebotis (salle d’attente), d’un silo trépied de distribution d’aliments au robot et d’une porte de tri, car des zones de pâturage différenciées nuit/jour ont été mises en place. L’eau, l’électricité et Internet y sont disponibles (photos 3 et 4).

Les animaux et l’équipement peuvent être transférés en quelques heures vers le site de parcelles éloignées (les 23 ha de pâtures éloignées sont distants de 4,5 km du site hivernal).

Le robot est assorti d’une laiterie mobile. Le dispositif, mis en place depuis septembre 2012 (plus récent de 2 années par rapport à celui de Liège(1)), est qualifié de “très satisfaisant” ou encore de “techniquement réaliste” à la ferme expérimentale bretonne. La première transhumance du robot est prévue pour le printemps 2014.

ENCADRÉ 2
État des lieux

Quatre-vingts pour cent des 12 700 exploitations avec robot dans le monde en 2011 se situent en Europe de l’Ouest.

Un quart des structures approximativement se trouvent en France (3 130, estimation 2012). Il existe encore un potentiel de développement des robots de traite dans notre pays (ces dispositifs conviennent à des élevages dont la taille n’est pas trop grande, l’avenir étant davantage au roto de traite pour les autres). Certains cahiers des charges refusent ces dispositifs (dans les zones fromagères de montagne, en particulier).

Plusieurs types de robots sont disponibles dans l’Hexagone, six firmes étant implantées sur le territoire. Ainsi, de multiples systèmes de stalle, de traite (nettoyage, collecte) et de circulation sont possibles.

En France, pâturage et robots tendent déjà à se réconcilier. En Allemagne ou en Belgique, le divorce est encore manifeste (2002 à 2012). Pour soigner leur image, les Pays-Bas luttent contre la tendance à la baisse de la proportion de pâturages en élevage robotisé en payant une prime de 0,5 €/l aux élevages pâturant au moins 120 jours par an.

La Suède a instauré l’obligation de sortir au pâturage au moins 120 jours, 6 heures par jour pour 100 % des exploitations (c’est également le cas au Danemark, mais uniquement en élevage “bio”).

En Irlande, tout le modèle économique est fondé sur l’herbe exploitée intensivement (3 à 6 vaches, soit 15 000 l de lait produits par hectare, c’est-à-dire le triple de la Bretagne), ce qui amène un surprenant 99 % de pâturage en traite robotisée en 2012.

Daprès Autograssmilk 2012.

Points forts

→ Les nouvelles technologies (capteurs, géolocalisation, base Web de gestion, messages sur smartphone) aideront bientôt à adapter le choix de la parcelle à la pousse d’herbe.

→ Encourager la mise à l’herbe affecte peu la fréquence de traite (– 0,2 traite par jour). Ce résultat est apprécié des éleveurs, même si ce critère n’est guère pertinent.

ENCADRÉ 3
Robot de traite et collecte du lait : une réflexion spécifique

Lorsque le robot est en train de traire, tout pompage de lait est impossible. Le laitier doit attendre. Inversement, lors du pompage, les vaches risquent de faire la queue devant une stalle en arrêt, ce qui peut poser un problème à des niveaux de saturation élevés (trop de vaches par stalle de robot). Après le passage du laitier, la reprise de traite n’est pas non plus instantanée et la mise en œuvre d’une procédure de nettoyage s’impose.

Les éleveurs peuvent choisir entre différentes options, selon la marque de leur installation et les paramétrages possibles. L’idéal est d’optimiser le “temps mort” de la collecte (nettoyage simultané de la stalle et du tank).

Une autre difficulté se fait jour pour le stockage. À certaines périodes de l’année, de petites quantités de lait doivent être refroidies dans un tank souvent gigantesque.

Le fonctionnement du tank en traite robotisée n’est pas le même que dans une exploitation classique. À certaines périodes et dans des zones spécifiques de l’installation, le “non-refroidissement” est acceptable (cela dépend du choix de gestion du passage du laitier et de la configuration du circuit d’évacuation du lait).

Pendant la collecte et le nettoyage du tank, la stalle est bloquée, et le lait est trié spécifiquement et retenu dans la chambre de réception, dévié vers une cuve tampon ou un tank tampon.

Pour un refroidissement adapté d’une petite quantité de lait dans un énorme tank, le démarrage de refroidissement est décalé. Le groupe frigorigène peut être adapté en conséquence. Disposer d’un tank à eau glacée est également possible. Une option de prérefroidissement avec une cuve ou un tank tampon est aussi proposée.

Ces aspects ont été exposés par Nadine Ballot, du Centre national interprofessionnel de l’économie laitière (CNIEL), et Jean-Louis Poulet, de l’Institut de l’élevage, lors du colloque “robot-pâturage” qui s’est tenu à Paris en octobre.

Une plaquette a été publiée par le CNIEL pour aider les éleveurs sur ces aspects techniques, et les réflexions se poursuivent avec l’interprofession pour optimiser le travail des collecteurs et des éleveurs, en privilégiant toujours la qualité du lait.

POUR EN SAVOIR PLUS

– Ballot N, Poulet JL. Robot de traite, collecte et qualité. Réfléchir son projet en cohérence avec la filière. Colloque robot de traite et pâturage, Paris, 10 octobre 2013 : 13p.

– Brocard V. Concilier traite robotisée et pâturage : retour sur les travaux du Casdar robot et pâturage. Colloque robot de traite et pâturage, Paris, 10 octobre 2013 : 53p.

– Brocard V, Pottier E. Des projets en cours : Autograssmilk et ICT Grazing tools. Colloque robot de traite et pâturage, Paris, 10 octobre 2013 : 21p.

– Caillaud D, Georgel R, Albert M et coll. Impact économique d’un robot de traite dans une exploitation. Colloque robot de traite et pâturage, Paris, 10 octobre 2013 : 27p.

– Guiocheau S. Mobilité de la traite robotisée. Le dispositif de Trévarez. Colloque robot de traite et pâturage. Paris, 10 octobre 2013 : 15p.

– Huneau T, Dehedin M. 100 % pâturage avec un robot de traite saturé. Colloque robot de traite et pâturage. Paris, 10 octobre 2013 : 44p.

– Poulet JL, Brocard V, Carles A. État des lieux de la traite robotisée en France et en Europe. Colloque robot de traite et pâturage. Paris, 10 octobre 2013 : 12p.

– Van Dooren HJ, Spordnly E, Wiktorsson H. Automatic milking and grazing-applied strategies. Rapport du projet européen « Implications of The introduction of automatic milking in dairy farms ». Ref.QLK5-2000.31006. Mai 2002. Consultable en ligne à l’adresse : http://www.automaticmilking.nl/symposium/science/Papers/3.1-3.pdf

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