PARASITOLOGIE DES PETITS RUMINANTS
Étude
Auteur(s) : Carine Paraud*, Alexandre Chebroux**, Christophe Chartier***
Fonctions :
*Anses laboratoire de Niort,
60, rue de Pied-de-Fond, 79024 Niort
**Queen’s Veterinary School Hospital, University
of Cambridge, Madingley Road, CB3 0ES,
Cambridge, Royaume-Uni
***Lunam Université, Oniris, UMR BioEpAR,
site de la Chantrerie, Atlanpôle,
BP 40706, 44307 Nantes
****Inra, UMR1300, 44307 Nantes
La mise en évidence de nombreuses pratiques d’élevage à risque et de la méconnaissance de la maladie par les éleveurs confirme l’importance du rôle du praticien dans la prévention de la cryptosporidiose.
La cryptosporidiose est une maladie parasitaire due à un protozoaire du genre Cryptosporidium sp. qui s’exprime par une diarrhée accompagnée d’une anorexie, de douleurs abdominales et de déshydratation entre 5 jours et 3 semaines de vie chez les ruminants nouveau-nés. Chez le chevreau, cette affection est très sévère : une morbidité de 100 % et une mortalité pouvant atteindre 60 % dans un lot sont rapportées [7]. Elle est difficile à maîtriser en raison de la grande résistance des éléments infectants, les oocystes, dans l’environnement et de la faible disponibilité en thérapeutiques allopathiques. En effet, une seule molécule est autorisée pour la prévention de la cryptosporidiose chez le veau, le lactate d’halofuginone (Halocur®, MSD Animal Health). Son utilisation hors autorisation de mise sur le marché (AMM) chez le chevreau, permise dans le cadre de la cascade, est difficile pour les grands effectifs car une administration individuelle, avec certaines précautions, est requise pendant au moins 7 jours.
La maîtrise de l’hygiène de l’environnement est ainsi primordiale pour prévenir la transmission des oocystes. L’importance des pratiques d’élevage et d’hygiène dans la maîtrise de la cryptosporidiose a été précédemment démontrée au travers d’études de facteurs de risque, en particulier chez le veau [2-5, 12, 14-18]. Une seule enquête chez le chevreau a suggéré un rôle majeur de l’environnement dans les premières heures de vie pour la transmission de l’infection (pic de naissances, regroupement des chevreaux). Cependant, elle n’a pas permis de cibler des pratiques d’élevage du jeune particulièrement à risque [9].
L’objectif de cette enquête est d’identifier, parmi toutes les pratiques connues pour influencer favorablement ou défavorablement la survenue de la cryptosporidiose chez le veau, celles effectivement mises en œuvre lors de l’élevage de chevreaux en Poitou-Charentes, donc à retenir pour une enquête de facteurs de risque ultérieure.
Ce travail a été réalisé dans le cadre de la thèse de doctorat vétérinaire d’Alexandre Chebroux, de juin à août 2009 [8]. Cent cinquante élevages caprins ont été tirés au sort parmi l’ensemble des exploitations caprines présentes dans le département des Deux-Sèvres en 2008 (720 troupeaux). Chaque éleveur a été sollicité par téléphone afin de convenir d’une visite pour remplir le questionnaire. Un seul enquêteur (A. Chebroux) a réalisé tous les entretiens. Le questionnaire (75 items ), élaboré à partir de celui utilisé par Trotz-Williams et coll., abordait les thématiques suivantes :
– les caractéristiques générales de l’élevage ;
– les caractéristiques des bâtiments destinés aux chèvres et chevreaux ;
– la conduite de la reproduction ;
– l’élevage des chevreaux (temps de contact avec les mères, alimentation, soins et traitements) ;
– les questions rétrospectives sur les épisodes de diarrhée [18].
Seuls 76 éleveurs ont pu être interrogés entre juillet et août avec un déplacement de l’enquêteur dans l’exploitation.
Les résultats reposent sur le dire des éleveurs car l’enquête a été réalisée en dehors de la période des mises bas. Ils présentent la totalité des informations recueillies au cours de l’enquête. Les facteurs précédemment identifiés à risque pour la cryptosporidiose chez le veau sont regroupés en facteurs de risque (FR) et en facteurs protecteurs (FP) (tableau 1) [2-5, 9, 12, 14-18].
Près de la moitié des élevages enquêtés élèvent des chèvres de race saanen et un quart des chèvres de race alpine, les autres étant des troupeaux mixtes. L’effectif de femelles en lactation varie entre 40 et 667 animaux (moyenne : 248 chèvres). Un tiers des troupeaux a augmenté de taille au cours des 5 années précédentes (FR). Cent pour cent d’éleveurs laitiers livreurs sont recensés, avec, pour la plupart, une autre production sur l’exploitation (FR) (bovins allaitants ou laitiers, etc.).
Dans près de la moitié des élevages, le sol de la chèvrerie est en terre battue et dans 22 % des cas, en béton. La nature du quart restant est plus variée (exemple : gravats, sable, calcaire broyé et compressé). À l’inverse, dans les nurseries, le sol est en béton (FP) dans près d’un élevage sur deux, la terre battue (FR) venant en seconde position.
Le système de ventilation le plus fréquemment rencontré dans les bâtiments adultes est composé de deux ouvertures symétriques. Suit la ventilation en faîtage, principalement dans les bâtiments récents. À l’inverse, dans une grande partie des nurseries visitées (35 %), il n’existe aucun système de ventilation (FR), une part importante d’entre elles étant constituée d’anciens bâtiments re-convertis. Le reste des bâtiments est équipé de systèmes de ventilation variés, principalement des ouvertures en faîtage.
Soixante-quinze pour cent des élevages ne possèdent qu’une seule saison de mises bas (FR), les autres ayant deux saisons distinctes. La plupart des mises bas ont lieu en janvier-février.
Trente-six pour cent et 47 % des éleveurs pratiquent, respectivement, un désaisonnement et/ou une synchronisation des chaleurs chez les chèvres adultes. Les pourcentages sont plus faibles chez les chevrettes, avec seulement 24 % des éleveurs désaisonnant leurs chevrettes et 18 % les synchronisant.
La seule préparation à la mise bas, en dehors des aspects alimentaires, est la distribution de compléments vitaminiques ou d’oligo-éléments dans le mois précédant celle-ci, rapportée par 50 % des éleveurs.
Le pourcentage de renouvellement constaté est très variable, de 8 à 50 %, avec une valeur moyenne de 20 %. Dans 87 % des élevages, les chevreaux non destinés au renouvellement sont vendus pour l’engraissement et quittent l’exploitation entre 2 et 5 jours.
Cinquante-trois pour cent des éleveurs désinfectent le cordon ombilical à la naissance, avec l’utilisation en proportions identiques de solutions iodées ou de pulvérisation de violet de gentiane.
Plus de 60 % des éleveurs séparent les chevrettes, destinées au renouvellement, de leurs mères dans les premières 24 heures (FP) (figure) ; 25 % des éleveurs laissent les chevrettes moins d’une heure avec leur mère. À l’inverse, les chevreaux destinés à la boucherie restent très majoritairement plus de 24 heures avec leurs mères.
Les chevreaux sont ensuite placés directement dans la nurserie. Quatre-vingt-deux pour cent des éleveurs constituent des lots de chevreaux homogènes majoritairement sur des critères d’âge (FP) et de poids (photo).
Soixante-sept pour cent des éleveurs distribuent systématiquement du colostrum aux chevreaux (FP), quelle que soit leur destination et la durée passée sous les mères. La distribution de colostrum frais de chèvres du troupeau est majoritaire (deux éleveurs donnent du colostrum de vache et deux du colostrum du commerce) et généralement réalisée au biberon (40 % des éleveurs fournissant du colostrum), sans contrôle préalable de la qualité. Le moment de la distribution est variable, mais 90 % des éleveurs le font dans les 12 heures suivant la naissance (FP) (tableau 2). Quarante-trois pour cent des éleveurs rapportent appliquer au préalable une thermisation. La quantité distribuée semble mal maîtrisée.
Après le colostrum, les chevreaux reçoivent principalement du lait de remplacement, majoritairement sans poudre de lait, distribué à l’allaiteur automatique également appelé louve et associé à un fourrage (paille dans la plupart des cas).
La majorité des élevages (63 %) n’introduit aucun animal provenant de l’extérieur. Dans le cas contraire, il s’agit majoritairement de chevrettes ou de chèvres provenant d’un seul troupeau, connu de l’éleveur.
Trois origines ont été rapportées pour l’eau d’abreuvement des animaux : le réseau public (50 % des élevages), les puits (FR) (26 %), les forages (FR) (13 %). Les 11 % d’élevages restants utilisent une eau de diverses origines. La moitié des éleveurs se servant de l’eau de forage ou de puits applique un traitement (chloration, addition de peroxyde d’hydrogène, ozonisation, ultraviolets).
Cinquante-trois pour cent des éleveurs (avec une forte proportion chez ceux utilisant une eau d’origine autre que le réseau public) rapportent avoir réalisé une analyse au moins une fois, cette décision ayant été motivée principalement par des problèmes sanitaires dans l’élevage.
La nurserie, lorsqu’elle est séparée du bâtiment des adultes, ne fait l’objet d’aucune mesure de biosécurité (FR) dans 79 % des cas (pas de pédiluve ni de changement de tenue).
Les chevreaux sont habituellement élevés sur de la paille (FP) (associée à des copeaux dans quatre cheptels), le paillage ayant lieu tous les 1,3 jour en moyenne (tous les jours dans la moitié des élevages) (FP).
Le nettoyage de la nurserie est réalisé de façon complète (FP) une fois par an dans 81 % des élevages, deux fois par an dans les autres troupeaux. Différentes méthodes physiques et chimiques (FP) sont associées au curage dans les trois quarts des cas : eau sous pression, épandage de chaux, désinfectants (Grésyl®, Virkon®, eau de Javel, permanganate, etc.).
Un vide sanitaire de la nurserie (FP) est pratiqué dans la moitié des élevages. Il dure en moyenne 4 mois. La visite des locaux lors de l’enquête a toutefois permis de constater que ce vide sanitaire n’est pas strict, les boucs étant à plusieurs reprises hébergés dans ces locaux.
L’allaiteur automatique, ou louve, est le moyen de distribution du lait de remplacement le plus largement utilisé (77 % des élevages), suivi par le seau à tétines (15 %). La moitié des éleveurs vérifie régulièrement la concentration de la poudre de lait, en moyenne tous les 9 jours (rythme minimal : tous les 30 jours ; maximal : tous les jours). La moitié nettoie la louve quotidiennement (FP) et, pour 40 % des nettoyages, les éleveurs ont recours à du savon ou à un antiseptique.
Quatre-vingt-six pour cent des éleveurs interrogés rapportent lutter contre les rongeurs (appel à des sociétés privées, raticides ou chats) alors que seulement 51 % d’entre eux combattent les mouches (FP).
Les maladies rapportées comme courantes chez le chevreau par les éleveurs sont par ordre décroissant de fréquence : ecthyma contagieux de façon quasi systématique, diarrhées néonatales, maladies pulmonaires et arthrites.
Seules les diarrhées néonatales ont fait l’objet de questions plus détaillées.
Soixante-quinze pour cent des éleveurs rapportent avoir été confrontés à au moins un épisode de diarrhée à forte morbidité chez les chevreaux de moins de 30 jours au cours des 5 années précédant l’enquête, avec une mortalité moyenne estimée à 25 % des effectifs, les jeunes de 2 à 7 jours étant les plus concernés. Ces épisodes surviennent généralement en fin de saison de mises bas.
Les chevreaux malades ne sont pas isolés dans les deux tiers des cas (FR). Quatre-vingt-dix pour cent des éleveurs mettent en place un traitement, lors d’épisodes collectifs de diarrhée, et à l’aide d’un antibiotique dans les trois quarts des cas. La colistine et les quinolones de troisième génération (enrofloxacine, marbofloxacine, etc.) représentent 64 % des molécules utilisées (41 et 23 % respectivement).
L’appel du vétérinaire est décidé en fonction de la gravité de l’épisode et selon différents critères propres à chaque éleveur. Le nombre de chevreaux atteints et le taux de mortalité sont les deux critères les plus fréquemment cités par les éleveurs pour justifier cet appel.
Quarante-cinq pour cent des éleveurs rapportent avoir été confrontés à un épisode de cryptosporidiose, avec, dans la très large majorité des cas, un recours au laboratoire pour confirmation du diagnostic. Ces éleveurs décrivent des épisodes ponctuels, accompagnés d’une forte mortalité, ayant disparu avec ou sans traitement et avec ou sans mesure hygiénique. Le reste des éleveurs semble ne pas connaître la maladie.
Le questionnaire proposé étant complexe et long, le format retenu pour l’enquête a été celui de l’entretien direct avec déplacement de l’interviewer à la ferme. La réalisation hors période de mises bas n’a toutefois pas permis d’objectiver la mise en œuvre des pratiques annoncées, ni, en particulier, les “dérives” liées à l’augmentation de la charge de travail à ce moment, au type de chevreaux, à l’atteinte du quota de chevrettes de renouvellement ou aux contraintes de logement.
Les cheptels enquêtés sont caractéristiques de l’élevage caprin de Poitou-Charentes. La taille des troupeaux est identique à celle rapportée lors du recensement agricole de 2010 dans la même région, avec une majorité d’élevages comportant entre 100 et 500 chèvres [1]. Tous étaient des éleveurs laitiers, ce qui, en 2012, restait le cas de la très grande majorité des élevages caprins, 95 % du volume régional de lait produit étant destiné à l’industrie laitière [1].
Les diarrhées néonatales sont une maladie fréquemment rencontrée par les éleveurs de notre échantillon. Ces résultats rejoignent ceux qui ont été décrits par le réseau vétérinaire de l’Omacap (Observatoire des maladies caprines) en Poitou-Charentes car ce syndrome est rapporté comme dominant dans 50 % des élevages [11]. La colibacillose est la première cause de diarrhée suspectée par les vétérinaires contribuant à l’Omacap et Escherichia coli est le premier agent isolé lors d’autopsie pour diarrhée chez le chevreau au laboratoire de l’Anses à Niort [10]. Cela est cohérent avec les résultats présentés, où les chevreaux âgés de moins d’une semaine sont les plus concernés par les épisodes diarrhéiques. La cryptosporidiose semble méconnue des éleveurs caprins tant qu’ils n’y ont pas été confrontés, et son diagnostic est généralement tardif, par exemple à la suite d’un échec thérapeutique.
La gestion des chevreaux diarrhéiques fait essentiellement appel à l’antibiothérapie, hors des bonnes pratiques d’utilisation (pas de diagnostic préalable, associations d’antibiotiques, administration de molécules récentes en première intention). Ces résultats sont à rapprocher de ceux obtenus lors d’une enquête nationale sur les usages des antibiotiques en filière caprine [13]. Ces auteurs rapportent que 43 % des traitements antibiotiques administrés chez le jeune de moins de 2 mois l’ont été pour des symptômes digestifs et qu’ils ont été appliqués dans plus de 80 % des cas par lot.
Le vétérinaire est sollicité de façon tardive lorsque les moyens mis en œuvre par l’éleveur, selon une prescription antérieure, ont échoué ou que l’épisode présente une gravité particulière. L’obligation de réaliser un bilan sanitaire d’élevage et d’établir un protocole de soins permettant la délivrance des médicaments permet aux praticiens d’intervenir plus fréquemment en élevage caprin, d’identifier précocement les pratiques à risque, de souligner l’importance du diagnostic et de rationaliser l’usage des médicaments vétérinaires.
Plusieurs facteurs précédemment identifiés comme à risque pour la survenue de la cryptosporidiose chez le veau ont été retrouvés dans notre enquête, avec une certaine variabilité entre les troupeaux, et doivent être pris en compte lors de la conception d’une étude des facteurs de risque dans cette maladie : augmentation de la taille des troupeaux, présence d’une autre espèce sur l’exploitation, regroupement des mises bas, conception et hygiène des bâtiments, origine de l’eau, temps de contact mères-jeunes, gestion des chevreaux malades. La maîtrise de la distribution colostrale, autre facteur de risque, a été difficile à apprécier dans notre enquête. Un pourcentage important d’éleveurs distribuent systématiquement du colostrum dans un délai conforme aux recommandations. À l’inverse, la quantité distribuée semble mal maîtrisée, ce que vient confirmer une étude récente réalisée dans 23 troupeaux du même département [6]. Cette enquête a évalué l’échec de transfert de l’immunité passive (colostrale) à près de 58 % des animaux et 50 % des élevages.
Les résultats obtenus dans la présente enquête mettent aussi en lumière des pratiques à risque pour la survenue d’autres maladies : troubles alimentaires en relation avec le faible pourcentage d’éleveurs vérifiant régulièrement la concentration de la poudre de lait, risques d’infection dus à l’absence de désinfection de l’ombilic dans un élevage sur deux, affections respiratoires liées à l’utilisation d’anciens bâtiments pour l’élevage des chevrettes, absence d’isolement des animaux malades favorisant la transmission des agents pathogènes de façon générale, vide sanitaire non strict.
Les recommandations de bonnes pratiques d’élevage émanent de sources multiples. Bien qu’elles soient généralement connues, elles semblent plus ou moins bien appliquées en raison de contraintes structurelles (conception des bâtiments, taille des troupeaux avec une tendance à l’augmentation, regroupement des mises bas) et liées à l’élevage collectif et à la filière (extrême sensibilité des chevreaux, faible valeur marchande, faible disponibilité en médicaments vétérinaires).
Cette enquête a mis en évidence la méconnaissance de la cryptosporidiose chez les éleveurs caprins, l’existence de pratiques susceptibles de favoriser la survenue de cette maladie et la nécessité, pour les praticiens, d’insister auprès des éleveurs sur des recommandations simples de gestion sanitaire et de bon usage des médicaments vétérinaires chez le chevreau.
Aucun.
→ La cryptosporidiose semble mal connue des éleveurs caprins et son diagnostic est donc généralement tardif.
→ De nombreuses pratiques à risque sont relevées dans tous les élevages, à des niveaux variables.
→ Les chevreaux diarrhéiques sont essentiellement traités à l’aide d’antibiotiques, administrés par l’éleveur.
→ Le praticien doit identifier les pratiques à risque, rappeler les mesures d’hygiène, souligner l’importance du diagnostic et rationaliser l’usage des médicaments lors du bilan sanitaire d’élevage.
Nous remercions les éleveurs qui ont accepté de participer à cette enquête.
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