Audit d’élevage : collaboration réussie entre les intervenants - Le Point Vétérinaire expert rural n° 337 du 01/07/2013
Le Point Vétérinaire expert rural n° 337 du 01/07/2013

MÉDECINE DE TROUPEAU

Cas clinique

Auteur(s) : Gilles Le Sobre*, Loïc Commun**

Fonctions :
*Unité clinique rurale de l’Arbresle (Ucra),
Groupe de médecine des populations
(MedPop) VetAgro Sup
** Groupe de médecine
des populations (zootechnie)
VetAgro Sup,
Campus vétérinaire de Lyon,
1, avenue Bourgelat, 69280 Marcy-l’Étoile

La communication entre les différents intervenants dans un élevage laitier de Saône-et-Loire aboutit à la résolution des difficultés rencontrées par l’éleveur depuis plusieurs années.

Après l’étude des documents de l’élevage et la visite d’audit pour observer les animaux, les bâtiments et les pratiques de l’éleveur, une synthèse est rédigée afin d’apporter des conseils adaptés à celui-ci. Des recommandations sont ainsi données à court et moyen termes, et un suivi du troupeau est programmé [2-5]. Une communication et une coopération entre les différents intervenants sont indispensables à toutes les étapes (photo 1).

SYNTHÈSE ET RÉPONSES AUX QUESTIONS POSÉES

1. Synthèse des observations

Le troupeau est en très bon état général, mais présente de fortes variations de note d’état corporel (NEC) et de remplissage du rumen (RR). Une sous-production par rapport au travail et aux apports alimentaires apparents, un grand nombre d’affections métaboliques, des troubles de la fécondité, des taux cellulaires élevés, des mammites et, au final, des résultats globaux bien en deçà des espérances sont constatés.

La toux modérée à moyenne, apyrétique, paraît être d’origine respiratoire supérieure. Néanmoins, à la suite de l’analyse épidémiologique, les chutes de production individuelles ne semblent pas en lien direct avec ce signe clinique. Leur nombre important est, en partie, dû à l’alternance des pesées, le matin ou le soir, et pouvait être observé antérieurement aux troubles et à tout stade de la lactation. Ces baisses de production n’ont pas de lien avec la parité des animaux et sont parfois dues aux mammites.

La toux et le jetage ne semblent pas être plus sévères que dans les autres stabulations libres ouvertes, ni engendrer de complications infectieuses majeures.

Les analyses sur les aspirations transtrachéales (ATT) ou sur les laits n’ont pas permis de mettre en évidence d’agents pathogènes pulmonaires majeurs pouvant expliquer ce phénomène. Cependant, la contamination de l’appareil respiratoire supérieur par un agent infectieux ou parasitaire inhabituel est possible.

De plus, des facteurs favorisants sont détectés dans le bâtiment des vaches en lactation, très exposé aux intempéries, et peuvent en partie expliquer le caractère chronique et surtout hivernal des toux : courants d’air, humidité, baisse d’immunité notamment d’origine alimentaire, etc.

La ration inadaptée et les troubles métaboliques associés sont possiblement à l’origine du faible niveau de production, qui peut aussi être détérioré par une forte infestation de paramphistomes. De plus, de moins bonnes performances de reproduction peuvent en résulter, ainsi qu’un déficit immunitaire, aggravant les épisodes de toux. Enfin, un mauvais transfert colostral favoriserait les troubles infectieux chez les veaux.

La qualité de la préparation à la lactation n’a pas pu être évaluée car cela requiert un suivi mensuel afin d’obtenir un nombre significatif d’animaux observés à ce stade (seulement 2 vaches taries lors de notre visite). En effet, une carence d’apports au tarissement pourrait également engendrer un manque de production et une baisse d’immunité péripartum.

2. Recommandations

Dans un premier temps, l’éleveur est incité à retrouver le moral car la situation n’est pas aussi catastrophique que ce qu’il pensait, tout comme les intervenants de l’élevage. La prise en compte de l’aspect psychologique est très importante en audit : sans la totale collaboration de l’éleveur, rien n’aboutit. Un climat de confiance doit s’instaurer entre lui et l’intervenant, lequel, pour sa part, évite de multiplier les conseils, surtout s’ils vont à l’encontre de ceux déjà prodigués. L’intervenant doit également garder présente à l’esprit la raison pour laquelle l’exploitant lui a demandé d’intervenir et y répondre, même s’il poursuit parallèlement une autre piste.

Dans un second temps, des recommandations à court et moyen termes sont données (encadré 1).

RÉSULTATS OBTENUS

1. Des résultats satisfaisants

Dans les mois qui ont suivi l’audit, la production est remontée aux valeurs attendues : 30 kg de lait par vache en moyenne, avec des taux très satisfaisants. L’éleveur a respecté les apports initialement recommandés par le Contrôle laitier (CL), conformément à nos préconisations. Il a vermifugé ses vaches à l’oxyclozanide (30 ml/100 kg sans stop-dose).

Il a arrêté la distribution du foin de luzerne introduit au début des troubles observés, considérant que celui-ci devait contenir la bactérie retrouvée. À sa demande, une culture bactériologique de ce foin réalisée par le laboratoire vétérinaire départemental (LVD) 69 a montré la présence de nombreuses moisissures éventuellement sources de mycotoxines, mais n’a pas permis de détecter la bactérie isolée dans les ATT et les lavages broncho-alvéolaires (LBA).

L’éleveur a constaté une disparition de la toux malgré des conditions hivernales inquiétantes en raison du mode d’élevage en stabulation ouverte et la suspicion d’une baisse d’immunité chez les vaches. L’augmentation des apports énergétiques a vraisemblablement contribué à une meilleure lutte contre le froid.

Toutefois, le prévisionnel semblait favorable à la lecture des différents bilans : le bilan du centre d’insémination artificielle (CIA) laissait envisager un futur intervalle vêlage-vêlage (IVV) en forte baisse et très satisfaisant pour des prim’holsteins (404 jours selon l’intervalle vêlage-insémination artificielle fécondante moyen, contre 481 jours l’année précédente). Les pesées mensuelles permettaient d’espérer un résultat annuel en forte hausse pour l’année en cours et supérieur au groupe 71, ce qui replaçait l’élevage sur sa ligne de résultats précédents.

Le compte rendu d’audit avait redonné espoir à l’éleveur et la découverte d’un agent pathogène inhabituel dans les prélèvements respiratoires confortait l’hypothèse infectieuse dont il était persuadé. Pour notre part, nous n’avions aucune certitude en ce sens, mais l’important était d’abord de conforter le moral de l’exploitant. Sans quoi il ne pouvait rebondir.

2. Suivi : visite de traite

Une visite de traite a été effectuée fin janvier, soit 3 mois après l’audit. Elle fait partie intégrante de celui-ci dans le cas où une baisse de production est notée, comme dans cet élevage. Son objectif est de rechercher si la cause des difficultés rencontrées est une baisse d’immunité due à une carence énergétique d’apports ou d’assimilation des vaches infectées chroniques qui infectent les individus sains à la traite et qu’il convient de réformer, ou des mammites à bactéries d’environnement à la suite d’un manque d’hygiène.

Il a été constaté une très bonne technique de traite de l’éleveur, ainsi que de très bonnes pratiques autour de la traite, une dominante de mammites d’environnement liées aux conditions de stabulation en aire paillée (plus ou moins difficile à curer en fonction de la météo), une bonne efficacité du tarissement et des pratiques de réforme et des trayons de texture parfaite, sans hyperkératose ni éversion des sphincters signant un bon fonctionnement de la machine.

En conclusion, le grand nombre de mammites est certainement lié à l’hygiène en période de stabulation et à une carence alimentaire en début de lactation dans les 2 mois suivant le vêlage, mais pas aux pratiques de traite, même si la révision de la machine, le changement des manchons et d’importantes réformes intervenues entre-temps ne permettent pas de présumer de ce qui a pu se produire antérieurement.

MISE EN PLACE DU SUIVI

1. Suivi global mensuel

Un audit qui n’est pas poursuivi par des visites régulières d’évaluation de la réalisation et des effets des recommandations améliore de façon trop passagère la situation [5]. Le vétérinaire de l’exploitation est invité à réaliser un suivi global mensuel du troupeau en collaboration avec les autres intervenants de l’élevage, en s’appuyant sur le même trépied d’observation mais en utilisant les documents mensuels et non annuels de l’élevage :

– analyse des pesées mensuelles du CL et étude de la production, de l’urée, des taux protéiques (TP) et butyreux (TB), du rapport TB/TP et des taux cellulaires (TC). Dans ce cadre, un suivi mensuel des résultats du CL via le site Internet Coline peut être effectué par le vétérinaire, directement depuis son cabinet, avec appel systématique de l’éleveur qui apprécie énormément les quelques minutes d’entretien ;

– notations par groupe de vaches au même stade de production (début, fin de lactation et vaches taries) ;

– évaluation des changements alimentaires éventuels depuis le mois précédent ;

– analyse des enregistrements du carnet sanitaire et de l’évocation d’une éventuelle maladie du troupeau en cours d’apparition afin de la gérer au plus tôt ;

– mise en œuvre d’un suivi de reproduction ;

– proposition de toute activité préventive ponctuelle à envisager selon un protocole adapté à l’élevage : antiparasitaires internes si les animaux vont au pâturage après une coproscopie ou d’autres examens, parage préventif à l’entrée en stabulation, réforme des vaches infectées chroniques si les TC sont élevés avant tarissement et sur les 3 mois suivant le vêlage, et tarissement adapté aux TC relevés chez chaque vache 2 mois avant le vêlage, etc.

2. Bilan à 1 an

Un bilan à 1 an est nécessaire afin de ne pas confondre amélioration transitoire et totale réussite. L’éleveur est alors questionné sur ses attentes qui peuvent changer d’une année à l’autre, en fonction notamment de la diminution des difficultés de l’année précédente, ce qui est l’objectif recherché. Ce bilan reste toutefois un “regard sur le passé” et doit, de préférence, être l’analyse d’un suivi mensuel afin de prévenir d’éventuelles dégradations des paramètres (par une bonne gestion des facteurs de risque en amont). Ce bilan doit préférentiellement être analysé avec tous les intervenants de l’élevage (photo 3). Il est parfois défavorable, et chacun cherche alors sa part de “responsabilité” dans l’apparition de résultats négatifs et revoit sa stratégie pour l’année suivante.

INTÉRÊT D’UNE COOPÉRATION ENTRE LES INTERVENANTS EN ÉLEVAGE

1. Les intervenants

Ce cas clinique montre l’intérêt d’une bonne coopération entre les intervenants en élevage pour assurer des résultats, car ils jouent tous un rôle (encadré 2).

L’éleveur doit avoir confiance dans le référent et accepter pleinement ses conseils. Sans sa volonté de prendre en considération les conclusions et les conseils, rien ne peut réussir.

Le vétérinaire d’élevage doit également adhérer aux préconisations du référent, accepter la présence des autres intervenants et réaliser ultérieurement les prélèvements qui ne peuvent être effectués le jour de l’audit. Sa connaissance de l’éleveur et de l’élevage, des maladies antérieures, est une source primordiale de renseignements avant l’audit : lui seul est informé parfaitement de l’évolution de la situation depuis le début car c’est généralement lui qui est intervenu en premier. Ses hypothèses diagnostiques initiales sont nécessaires à la compréhension de la survenue des troubles. Ces renseignements sont indispensables avant l’audit.

Le cabinet nutritionniste qui a référé ce dossier a fourni une approche précise de la situation de l’élevage en ce qui concerne l’alimentation et les méthodes d’élevage.

Les organisations professionnelles agricoles (OPA) : le groupement de défense sanitaire (GDS), le CL et le CIA, notamment, sont des sources importantes de renseignements grâce aux données régulièrement enregistrées sur les résultats techniques, les analyses réalisées et le contexte épidémiologique. Dans ce cas, le GDS 71 a transmis l’intégralité des pièces du dossier qu’il a coordonné et nous a accompagnés tout au long de notre démarche.

Les LVD ont coopéré ensemble et recherché avec conscience toutes les causes infectieuses possibles (le LVD 71 est reconnu notamment pour sa grande compétence en pathologie respiratoire). Le LVD 69 a isolé une bactérie inhabituelle sur des aspirations transtrachéales et des lavages broncho-alvéolaires, et, devant la difficulté de culture de cette souche très fragile, il a référé les prélèvements à des laboratoires spécialisés pour identifier précisément les bactéries décelées.

Les laboratoires de diagnostic spécialisés, et notamment ceux des écoles vétérinaires, apportent des moyens techniques et scientifiques qui permettent d’approfondir les analyses aussi bien microbiologiques qu’histologiques.

Le Groupe de médecine de troupeau, spécialisé en audit global, doit d’abord réaliser une synthèse des actions déjà menées, puis travailler méthodiquement pour éliminer ou conforter des hypothèses émises, pour conclure. Il doit respecter les conseils déjà émis par les différents intervenants et n’en donner d’autres que s’ils sont impérativement nécessaires. L’éleveur ne doit pas recevoir de conseils trop nombreux et différents. Au final, le travail fourni doit répondre à ses attentes et lui donner confiance, sans quoi l’échec est garanti. Le groupe intervient davantage en tant que coordonnateur du dossier et de la marche à suivre. Il doit intégrer dans son approche l’ensemble des données sanitaires, techniques, d’alimentation, de méthodes d’élevage, et s’appuyer surtout sur les constatations observées chez les animaux et dans l’exploitation, seules vraies certitudes.

2. Une communication indispensable

Le relationnel qui doit se créer et être entretenu entre les intervenants est primordial, ainsi que la totale coopération entre eux. Le cabinet ou groupe référent ne doit pas se placer au-dessus des autres intervenants, mais garder la place qui lui a été attribuée, celle de coordonnateur. Son rôle est de tenir constamment informé l’ensemble des partenaires, ce qui est aisé par mails, et de joindre l’éleveur régulièrement par téléphone pour le tenir en premier au courant de l’avancée du dossier et lui montrer l’intérêt porté à ses soucis.

La communication est un point clé de la réussite, comme dans toute entreprise [1].

3. Intérêt de l’audit pour les intervenants

Ce type d’audit est également d’un grand intérêt pour l’ensemble des intervenants :

– pour l’éleveur qui attend une “bouée” à laquelle s’accrocher ;

– pour les intervenants qui ont besoin, dans ces cas compliqués, d’un regard extérieur. Un intervenant extérieur trouve souvent plus de crédit dans des propos identiques à ceux déjà tenus par ses collègues ;

– pour le vétérinaire de terrain, qui peut également réaliser ce type d’audit, soit dans sa propre clientèle, mais avec sa seule force de persuasion, soit dans une autre clientèle en tant que référent.

Conclusion

Cette activité est chronophage, mais aussi passionnante, axée sur l’exercice quotidien, faisant appel à un esprit de synthèse méthodique et à un sens du relationnel que le vétérinaire de terrain a, en général, de façon naturelle. Elle est globalement rémunératrice(1), même si le temps passé rend le bénéfice un peu maigre rapporté au temps de travail. Investir du temps qui ne sera rémunérateur que par la suite est cependant habituel au début de nombreuses activités.

  • (1) Facturation : 800 € HT pour l’audit, hors déplacement, actes de prélèvement et analyses de laboratoire.

Références

  • 1. Adams CL, Kurtz S. Building on existing models from human medical education to develop a communication curriculum in veterinary medicine. J. Vet. Med. Educ. 2006;33(1):28-37.
  • 2. Arcangioli MA, Mounier L, Alves de Oliveira L et coll. Approche méthodologique de la visite d’élevage. Point Vét. 2009;N° spécial “Les outils pour la visite d’élevage”:9-14.
  • 3. Commun L. Structurer sa visite en médecine des populations : le trépied d’observations. Point vét. 2011;321:55.
  • 4. Kleen JL. Professional communication for veterinary advisory tasks on large dairy farms. In: Proceedings of a workshop on “Veterinary Management on large dairy farms” Noordhuizen ed. By Alltech 1 VACQA-International, at the XXV World Buiatrics Congress, Budapest (H). 2008.
  • 5. Lesobre G, Fernandez G, Noordhuizen JPTM. Principe et bases d’un programme de suivi d’élevage de vaches allaitantes (SEVAL) Bulletin des GTV. Novembre 2012;66.

Conflit d’intérêts

Aucun.

ENCADRÉ 1
Conseils délivrés à l’éleveur :

Conseils à court terme

→ Alimentation :

– faire tourner la mélangeuse moins longtemps (15 à 20 min) ;

– augmenter les apports selon les préconisations (remplacer une partie du colza par du soja, au rythme d’un volume de soja pour deux de colza), et vérifier que le taux d’urée du lait reste compris entre 0,2 et 0,3 g/l ;

– fractionner l’apport de la vache laitière (VL) 3 litres : quand la quantité par jour est supérieure à 2 kg, distribuer en deux parts égales le matin et le soir ;

– un arrêtoir à l’auge augmenterait l’ingestion et éviterait de devoir repousser plus souvent. Sinon, repousser trois fois par jour en plus de la distribution ;

– retirer les pneus usagés des silos (photo 2).

→ Vermifugation :

– cette année, prévoir, un traitement contre le paramphistome au moins 8 semaines après l’entrée en stabulation : oxyclozanide, 10 mg/kg, sans stop-dose, à renouveler 3 jours plus tard ;

– l’an prochain, prévoir un traitement à la dose habituelle pour la grande douve, après l’entrée en stabulation, et un autre 8 semaines plus tard sans stop-dose pour le paramphistome. Anticiper en parallèle un aménagement des zones humides en pâture si possible (assécher ou condamner les zones si elles sont bien délimitées).

→ Logement des vaches

Le logement actuel présente des défauts majeurs (aire de distribution sous la pluie, courants d’air face aux cases paillées, etc.). Il convient de finir le nouveau bâtiment pour mieux protéger les animaux.

→ Immunité des veaux :

– faire tester le colostrum des mères lors des prochains vêlages et, dès à présent, augmenter les apports de colostrum à la naissance (2 l au minimum dans les 6 heures après vêlage) ;

– continuer de vacciner contre les affections respiratoires, car cette vaccination semble avoir permis de gérer les troubles chez les jeunes, cette année, malgré une immunisation colostrale faible.

Conseils à moyen et long termes :

– prévoir un audit “cellules” intégrant une visite de traite, et commencer un suivi mensuel avec le vétérinaire et le Contrôle laitier afin de mieux prévenir les troubles ;

– prendre rendez-vous dans 3 mois pour faire un point d’étape sur l’évolution des performances à la suite de la mise en place de ce plan d’actions.

ENCADRÉ 2
Intervenants pour l’audit et le suivi du cas

→ Groupe de médecine des populations de VetAgro Sup :

– Dr Loïc Commun, maître de conférences en zootechnie et médecine des populations ;

– Dr Laurent Alves de Oliveira, maître de conférences en alimentation ;

– Pr Pierre Guérin, professeur en pathologie de la reproduction ;

– Dr Pierre Bruyère, maître de conférences en pathologie de la reproduction ;

– Dr Marie-Anne Arcangioli, maître de conférences en pathologie du bétail ;

– Dr Gilles Le Sobre, praticien à l’unité clinique rurale de l’Arbresle.

→ Dr Pierre-Emmanuel Radigue du cabinet 5M Vet.

→ Dr Pascal Briday, de Cluny, vétérinaire de l’élevage.

→ Vincent Robergeot, Cécile Chuzeville, Ludivine Perrachon du GDS 71.

→ Jean-Luc Nigoul et Éric Bertrand du Contrôle laitier.

→ Participation de l’inséminateur de l’élevage, CIA 71.

→ Laboratoire vétérinaire d’analyses de Saône-et-Loire.

→ Véronique Bachy, directrice du LVD du Rhône.

→ Service d’anatomie pathologique et d’histologie de VetAgro Sup, et particulièrement le Dr Patrick Belli.

→ Aide active des internes et étudiants de l’unité clinique rurale de l’Arbresle (Ucra) et particulièrement Guillaume Forgeat et Élodie Maziller.

Points forts

→ L’éleveur doit être rassuré car l’aspect psychologique est essentiel à l’application des mesures proposées.

→ Les conseils à court, moyen et long termes sont rédigés clairement, selon l’avis concerné des différents intervenants.

→ La collaboration de tous les intervenants et une bonne communication sont les points essentiels de la réussite de cet audit d’élevage laitier.

→ Un suivi de l’élevage est requis pour s’assurer de la bonne application des conseils et de l’évolution favorable.

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