Fracture complexe du métacarpe traitée par une “résine” chez une génisse - Le Point Vétérinaire expert rural n° 335 du 01/05/2013
Le Point Vétérinaire expert rural n° 335 du 01/05/2013

PATHOLOGIE CHIRURGICALE BOVINE

Article de synthèse

Auteur(s) : Mohammed-Ridha Frikha*, Rym Latrach**, Émilie Segard***

Fonctions :
*Unité pédagogique de médecine et
de chirurgie des ruminants, porcs et volailles,
VetAgro Sup, campus vétérinaire de Lyon, 1,
avenue Bourgelat 69280 Marcy-l’Étoile
**Service de chirurgie, École nationale de
médecine vétérinaire, 2020, Sidi Thabet, Tunisie
***Service d’imagerie médicale, VetAgro Sup,
Campus vétérinaire de Lyon, 1, avenue Bourgelat
69280 Marcy-l’Étoile, France

La pose d’une résine permet la contention des fragments osseux d’une fracture comminutive du métacarpe en zone épiphysaire proximale, avec un investissement financier moindre qu’une ostéosynthèse.

Les fractures des membres chez les jeunes bovins constituent un motif fréquent de consultation en pratique rurale [9].Elles sont le plus souvent d’origine traumatique. Ces fractures sont invalidantes pour l’animal et à l’origine de pertes économiques considérables pour l’éleveur car leurs conséquences peuvent conduire à l’euthanasie du bovin.

Les jeunes bovins sont davantage affectés. Les stabulations libres constituent un facteur de risque car ces derniers peuvent être piétinés par leurs congénères ou subir des traumatismes (chute, etc.) à l’origine de fractures des régions distales des membres [8]. En effet, les métacarpes et les métatarses sont les rayons osseux les plus fréquemment atteints lors d’un traumatisme, en raison de l’absence de muscles qui pourraient amortir les chocs et les protéger [1, 4, 5, 8]. Le recours aux radiographies est indispensable afin de préciser les caractéristiques de la fracture, d’émettre un pronostic et d’adapter le traitement [2, 3].

Le cas clinique présenté dans cet article est le traitement d’une fracture métacarpienne complexe chez une génisse âgée de 6 mois, par la mise en place d’une résine.

CAS CLINIQUE

1. Historique, commémoratifs

Une génisse de race prim’holstein âgée de 6 mois et pesant 176 kg, issue d’une vache forte productrice provenant d’un élevage en stabulation aire paillée, s’est coincé le membre thoracique droit dans une clôture. Selon l’éleveur, elle a montré (le jour J0) des difficultés à se relever ainsi qu’une tuméfaction de la région du genou. L’exploitant lui a administré un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) (Finadyne®, flunixine à la dose de 2 mg/kg par voie intramusculaire [IM]) pour lutter contre la douleur. Deux jours plus tard, (J2), il n’a remarqué aucune amélioration de la boiterie et a fait appel à son vétérinaire. Ce dernier, après examen (à J2) de l’animal, a suspecté une fracture du cartilage de croissance du métacarpe. Afin de préciser son diagnostic, il a référé le bovin (à J7) à la clinique des ruminants du campus vétérinaire de Lyon.

2. Examens clinique et radiographique

La génisse est en bon état général mais elle présente une boiterie prononcée avec une suppression totale d’appui sur le membre thoracique droit.

Une tuméfaction du genou droit est notée. La palpation de la zone tuméfiée est douloureuse et la mobilisation de l’articulation du genou fait sentir un léger craquement.

L’examen clinique (à J7) du membre thoracique droit oriente vers le diagnostic d’une fracture fermée du métacarpe dans sa partie proximale.

L’examen radiographique (à J7) du métacarpe est réalisé en utilisant les constantes radiographiques de 65 kV et de 13 mAs et en prenant soin de visualiser les deux articulations adjacentes sur les clichés (genou et boulet) [2, 3].

Une incidence latéro-médiale révèle une fracture complexe de la partie proximale du métacarpe avec plusieurs esquilles et des traits de refend (dits aussi de fissure) ainsi qu’un léger déplacement de certains fragments osseux (photo 1).

Une incidence cranio-caudale montre un léger déplacement latéro-médial des deux abouts osseux (photo 2).

3. Diagnostic

C’est une fracture fermée en zone épiphysaire proximale du métacarpe droit. Elle est comminutive, intra-articulaire avec un léger déplacement latéral et caudal de l’about fracturaire distal.

TRAITEMENT CHIRURGICAL

Le traitement chirurgical de cette fracture repose sur l’application d’un pansement contentif faisant appel à une “résine”.

1. Préparation de l’intervention

Le pansement contentif (la résine) est réalisé chez un animal couché en décubitus latéral gauche sous sédation à la xylazine (Rompun®) à la dose de 0,1 mg/kg par voie intraveineuse (IV) [6].Un pansage du membre antérieur droit ainsi qu’un nettoyage du pied correspondant sont réalisés.

Le matériel utilisé pour la mise en place de la résine est :

– du coton cardé (laboratoire Socophac, 59310 Beuvry-la-Forêt) :

– des bandes de crêpe type Velpeau® (laboratoire Sylamed, 75009 Paris) :

– une éponge (de type Spontex®) :

– un bandage élastique (type jersey tubulaire) :

– des bandes de résine (Delta-Cast® Elite, 10 cm x 3,6 m, laboratoire BSN Medical GmbH, Hamburg, Allemagne) :

– des bandes adhésives élastiques type Elastoplaste® (laboratoire BSM Médical, 72058 Le Mans).

2. Technique de pose du pansement contentif

Un pansement de Robert-Jones associé à des attelles (deux attelles en bois et une gouttière en PVC) est posé (à J7) sur le membre thoracique droit pour immobiliser le foyer de fracture, en attendant la mise en place de la résine (photo 3) [7].

La technique de mise en place de la résine est réalisée (à J16) en quatre étapes (encadré et photos complémentaires 4a, b, c, d sur www.WK-Vet.fr).

3. Suites et évolution de la fracture

Après son réveil, la génisse se déplace sans difficulté. Elle est confinée dans un box correctement paillé durant un mois.

Le contrôle radiographique du membre à J16 permet d’observer un foyer de fracture en voie de cicatrisation grâce à l’interposition d’un tissu moins radio-opaque que l’os dans le foyer de fracture, compatible avec un cal cartilagineux (photos 5 et 6). Un léger déplacement latéro-médial et cranio-caudal est également noté entre les deux abouts osseux.

À J46, la résine est retirée. Une radiographie de contrôle permet alors d’observer un foyer de fracture comblé par un tissu osseux cicatriciel (photos 7 et 8).

Des radiographies de contrôle sont effectuées à J302 pour les deux membres à titre comparatif. Elles révèlent un remodelage du cal osseux, une bonne intégrité osseuse du métacarpe droit et un retour à une structure osseuse assez proche de la normale (photos 9 à 12).

Dix mois après la fracture, la génisse présente un bon état général et appuie correctement sur son membre (photos complémentaires 13 et 14 sur www.WK-Vet.fr). L’examen rapproché des membres thoraciques et l’hyperflexion du genou permettent de constater une bonne intégrité osseuse et articulaire (photos 15 à 18). La génisse se déplace normalement. Elle est destinée à la reproduction.

DISCUSSION

L’os du jeune bovin en croissance montre un périoste très vascularisé, épais et solide qui permet d’assurer la contention des éventuelles esquilles. L’irrigation longitudinale et radiée de l’os favorise une cicatrisation dans les meilleurs délais [7]. Compte tenu de ces propriétés, le pronostic médical des fractures fermées chez les jeunes bovins est souvent favorable après l’instauration d’un traitement approprié. Pour ce genre de fracture, le recours à un pansement contentif est un investissement rentable pour l’éleveur en raison du faible coût de ce type de traitement.

Pour cette fracture complexe du métacarpe (en zone épiphysaire proximale, comminutive et intra-articulaire) chez une génisse âgée de 6 mois, deux types de traitement chirurgical peuvent être mis en place : les ostéosynthèses et les pansements contentifs.

1. Traitement par ostéosynthèse

Actuellement, et avec l’avènement des matériaux modernes d’orthopédie, il est possible d’avoir recours à certains types d’ostéosynthèse afin de réparer les fractures des os longs, chez les jeunes bovins qui pèsent moins de 200 kg, avec un fort pourcentage de réussite [5].Les ostéosynthèses sont onéreuses et restent l’apanage des jeunes bovins de grande valeur génétique. Plusieurs techniques existent.

Plaque et vis

Les plaques vissées apportent une bonne stabilité au foyer de fracture. Toutefois, elles ne sont pas assez solides pour être conseillées chez les bovins. De plus, leur coût constitue un frein en pratique rurale. L’os du jeune bovin possède une corticale assez mince qui n’est pas adaptée à la pose d’implants vissés. Pour le cas particulier de cette génisse, la localisation proximale de cette fracture métacarpienne limite la mise en place des vis en amont de la fracture.

Enclouage centro-médullaire

Cette technique d’ostéosynthèse est contre-indiquée en cas de fracture épiphysaire du métacarpe chez les bovins.

Fixateurs externes

Il s’agit d’une technique moins invasive que les autres procédés d’ostéosynthèse. Elle est souvent réalisée à foyer fermé. Encore qualifiée d’ostéosynthèse biologique, elle permet de préserver l’hématome fracturaire et de garantir une cicatrisation dans les meilleurs délais [1].Toutefois, elle est inadaptée pour le traitement de cette fracture du métacarpe.

2. Traitement par pansement contentif

Le recours aux pansements contentifs constitue une option économiquement intéressante pour le traitement des fractures fermées des rayons osseux distaux chez les jeunes bovins.

Attelle de Thomas

L’attelle de Thomas est constituée d’un anneau et de deux barres qui se rejoignent au sol. L’anneau repose sur la hanche en cas de fracture du membre pelvien et sur l’épaule pour une fracture du membre thoracique. Ces attelles sont souvent utilisées en complément d’un autre type de fixation externe et, notamment, pour les fractures tibiales ou radio-ulnaires.

L’attelle de Thomas est légère. Elle permet d’adapter la traction aux os et aux tissus mous environnants. L’inconvénient majeur de ce dispositif est en rapport avec sa disponibilité et la possibilité de l’adapter à la taille de l’animal. En général, ces attelles sont confectionnées sur place à l’aide d’un poste de soudure [9]. Elles sont souvent à l’origine de complications infectieuses à la suite d’escarres engendrées par le frottement chronique de la peau et des tissus sous-jacents de la base du membre et d’une gêne pour l’animal au lever et au coucher [7]. Le propriétaire doit généralement lui rapprocher l’eau et l’alimentation [8].

Pansement Robert-Jones associé à des attelles

Le pansement de Robert-Jones est contentif et légèrement compressif. Il s’agit d’un pansement roulé qui est réalisé généralement en trois couches : une primaire, de contact, avec une bande de crêpe, une deuxième, de matelassage, à base de coton cardé pour amortir et protéger le membre de la compression effectuée par la troisième couche, externe, constituée d’une bande élastique, qui assure la protection de l’ensemble. Outre son faible coût, ce pansement a de nombreux avantages pour le praticien et l’animal. En effet, il se caractérise par sa simplicité et la rapidité de sa mise en place (de 15 à 20 minutes).

Le pansement de Robert-Jones est léger, par rapport aux autres pansements contentifs, et confortable pour l’animal. En revanche, il ne permet pas d’apporter la stabilité nécessaire au foyer de fracture chez le jeune bovin. Le cal ne peut se former que lorsque les deux articulations, de part et d’autre du foyer de fracture, sont immobilisées, d’où l’intérêt d’incorporer, dans la couche de matelassage, des attelles pour rigidifier le pansement [7].

Pour le cas de cette génisse, un pansement de Robert-Jones a été utilisé temporairement de J7 à J16 en attendant la mise en place de la résine.

Plâtre

Le plâtre a été longtemps préconisé comme le seul traitement des fractures fermées des rayons osseux distaux chez les bovins. Il permet d’obtenir des résultats plus au moins satisfaisants sur le plan anatomique et fonctionnel et il est peu onéreux. Toutefois, ses inconvénients sont nombreux. Ce matériaux lourd et relativement radio-opaque entrave l’interprétation des radiographies de contrôle. De plus, lorsque l’animal marche sur une litière humide, le plâtre mouillé se fragilise.

Résine

En chirurgie orthopédique, certaines matières plastiques (résines) sont employées en remplacement des bandes plâtrées. Les résines utilisées sont des bandes constituées d’un support polyester exempt de fibre de verre et imprégné d’une résine de polyuréthane. C’est un matériau de synthèse qui doit être trempé dans l’eau avant son application. Ces bandes présentent une excellente maniabilité et une haute résistance. L’utilisation de la résine pour le traitement des fractures chez les bovins est en augmentation. Ce matériau est de 20 à 30 fois plus léger que le plâtre, très résistant, imperméable et d’application facile. Il est transparent aux rayons X, ce qui permet de réaliser des radiographies de contrôle après sa mise en place et durant toute la période nécessaire à la formation du cal osseux.

3. Particularités du traitement de la fracture complexe du métacarpe

Chez cette génisse (de grande valeur génétique) présentant une fracture fermée et comminutive (intra-articulaire avec un léger déplacement latéro-médial et cranio-?-caudal des abouts osseux) en zone épiphysaire proximale du métacarpe, le choix de la résine comme procédé de stabilisation externe trouve tout son intérêt médical et économique pour une réparation très satisfaisante (anatomique et fonctionnelle) de la fracture.

Avant l’application de la résine, une première étape fondamentale de lecture de la notice est indispensable car le mode d’usage diffère d’un fabricant à l’autre (température et temps de trempage de la résine dans l’eau). Le port de gants est nécessaire pour le trempage et la manipulation car ce matériau colle aux doigts.

De plus, lors de la mise en place de la résine, et quelles que soient les caractéristiques de la fracture, certaines règles doivent être connues au préalable et respectées scrupuleusement. Il s’agit d’assurer une bonne protection des saillies osseuses à l’aide d’une éponge ou de blocs de feutre, d’immobiliser les deux articulations encadrant le foyer de fracture et d’inclure les onglons dans le montage afin de limiter les forces de pression sur le foyer de fracture et de permettre une consolidation osseuse. Pour la protection du coude, une éponge est intercalée entre la résine et l’olécrane.

L’application des bandes de résine successives doit être suffisamment rapide pour que ces couches adhèrent bien les unes aux autres et pour éviter une structure en “peau d’oignon” qui ne confère aucune résistance [8]. L’épaisseur du pansement varie selon la taille de l’animal. Pour les animaux qui pèsent moins de 150 kg, 8 à 10 couches sont suffisantes. Pour les bovins adultes, 12 à 16 couches sont indispensables.

Ce pansement à base de résine est laissé en place jusqu’à la cicatrisation osseuse qui est, en moyenne, obtenue entre 3 et 4 semaines chez le veau et entre 6 et 8 semaines chez les jeunes bovins. Au cours de cette période et au fur et à mesure de la croissance, le pansement risque de devenir trop serré et doit être changé périodiquement. Le rythme du changement dépend de l’âge de l’animal. Pour les veaux de moins d’un mois, le pansement doit être renouvelé toutes les 3 semaines en raison du potentiel de croissance rapide chez les jeunes bovins. Chez ceux âgés de 1 à 6 mois, la fracture doit être contrôlée toutes les 4 semaines et le pansement est changé à cette occasion. Pour les animaux dont l’âge est compris entre 6 et 12 mois, un seul pansement peut être appliqué et rester en place jusqu’à la cicatrisation osseuse [10].

Conclusion

Chez les jeunes bovins, aucune technique chirurgicale ne semble universelle pour la réparation des fractures métacarpiennes. Le choix est orienté par la nature de la fracture, par sa localisation et par les possibilités financières de l’éleveur.

Les résines sont devenues d’utilisation courante chez les bovins. N’ayant pas les inconvénients du plâtre, elles sont parfaitement adaptées au traitement des fractures métacarpiennes et leur coût est nettement inférieur à celui des ostéosynthèses.

Références

  • 1. Anderson DE, St Jean G. Management of fractures in field setting. Vet. Clin. North Am. Food Anim. Pract. 2008;24(3):567-582.
  • 2. Blond L. Examen radiographique de l’appareil locomoteur des bovins. Radiographie de la partie distale des membres. Point Vét. 2004;245:24-28.
  • 3. Blond L. Radiographie des lésions osseuses des membres. Point Vét. 2004;250:24-28.
  • 4. Chatre JL. Les fractures du métacarpe, du métatarse et du tibia chez le veau. Point Vét. 1995;27:45-55.
  • 5. Chatre JL. L’évolution des traitements des fractures chez les bovins. Bull. Acad. Vet. France. 2010. Tome 163. N° 4/5.
  • 6. Decante F. Anesthésie des veaux et chirurgie orthopédique. Bulletin des GTV. 1998;1-B:11-24.
  • 7. Latrach R, Segard E, Frikha MR. Cas clinique : Traitement d’une fracture du tibia chez un veau par un pansement Robert-Jones associé à des attelles. Rev. Méd. Vét. 2007;158(7):354-361.
  • 8. Mulon PY. Utilisation raisonnée de la coaptation externe lors du traitement des fractures chez le veau. Bulletin des GTV. 2010;55:27-32.
  • 9. Périé A. Traiter les fractures chez les bovins. La dépêche vétérinaire. 2010;1066.
  • 10. Tulleners EP. Metacarpal and metatarsal fractures in cattle. Vet. Clin. North Am. Food Anim. Pract. 1996;12(1):199-209.

Conflit d’intérêts

Aucun.

Points forts

→ Une fracture fermée du métacarpe droit en zone épiphysaire proximale, avec un léger déplacement des abouts osseux est observée chez une génisse âgée de 6 mois.

→ La pose d’une résine est un investissement rentable pour l’éleveur en raison du faible coût et de l’efficacité de ce traitement. Dans ce cas, la génisse a pu être mise à la reproduction.

→ La résine est facile d’application, en respectant les étapes de pose qui peuvent changer selon les fabricants, résistante, plus légère que le plâtre, imperméable et radiotransparente, ce qui favorise le contrôle radiographique du cal osseux.

REMERCIEMENTS :

Nous remercions Nada Frikha pour son aide à la perfection des illustrations radiographiques.

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