Entérites hémorragiques chez les bovins - Le Point Vétérinaire expert rural n° 330 du 01/11/2012
Le Point Vétérinaire expert rural n° 330 du 01/11/2012

MALADIE DES BOVINS

Symptômes d'appel

Auteur(s) : Guillaume Lamain*, Lorenza Richard**

Fonctions :
*Vétérinaires de l’Arche, 61130 Belleme
** Le bourg, 71510 Perreuil

Face à une entérite hémorragique, la prise en compte des commémoratifs et des éléments environnementaux est indispensable à l’établissement du diagnostic.

La présence de sang dans des matières fécales d’aspect modifié est un motif de consultation régulièrement rencontré dans l’espèce bovine, chez le jeune animal comme chez l’adulte. Le sang « frais » doit être différencié du méléna, de couleur sombre et d’aspect goudronneux, qui témoigne de la présence de sang digéré, dont la problématique n’est pas abordée dans cet article. Le diagnostic différentiel d’une entérite hémorragique comprend des maladies affectant un animal isolé ou une partie d’un troupeau.

DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE FACE À UNE ENTÉRITE HÉMORRAGIQUE

1. Démarche diagnostique

Une démarche diagnostique adaptée permet d’orienter le praticien vers l’origine la plus probable(1). De plus, une liste non exhaustive de causes d’entérite hémorragique est proposée (tableau). Ces causes peuvent être liées ou non à celles d’hématochézie seule, qui sont également abordées dans cet article.

2. Cas cliniques

Cas clinique 1 : bovine viral diarrhea ou maladie des muqueuses(2)

→ Motif d’appel : Un veau âgé de 5 mois émet des fèces de couleur et de texture « purée de groseille » (photo 1). Il présente un essoufflement à l’effort et une température de 39,1 °C. Il meurt 5 heures plus tard.

→ Autopsie : tableau nécropsique hémorragique (photos 2 à 5). La numération et la formule sanguines confirment la thrombocytopénie. L’immunof-luorescence sur le poumon est positive pour la bovine viral diarrhea (BVD).

Cas clinique 2 : salmonellose(3)

→ Motif d’appel : entérite hémorragique chez un veau âgé de 8 jours.

L’animal montre une adynamie sans déshydratation ni atteinte articulaire, des muqueuses congestionnées et une température de 40,5 °C. Un cas de salmonellose à Salmonella typhimurium a été diagnostiqué plusieurs semaines auparavant dans le troupeau. Malgré le trai-tement, le veau est en opisthotonos le lendemain et meurt.

→ Autopsie : Entérite congestive. Lésions du foie et des méninges (photos 6 et 7).

→ Histologie : méningite mononucléée diffuse compatible avec une origine bactérienne de type salmonellose.

Le veau est mort des suites d’une hépatite et d’une méningite dues à une salmonellose aiguë.

Cas clinique 3 : clostridiose ou entérotoxémie(4)

→ Motif d’appel : veau âgé de 6 mois trouvé mort au champ.

→ Autopsie : jéjuno-iléite congestive aiguë, contenu intestinal « coulis de cassis » (photo 8). Une entérotoxémie à Clostridium perfringens ou une colibacillose sont suspectées.

Dix-huit jours plus tard, un veau de 2 mois est ballonné et meurt. L’autopsie, 4 heures plus tard, permet de prélever des segments d’intestin congestionné, plongés dans le formol à 10 % sans les rincer. L’histologie confirme le diagnostic de clostridiose.

Cas clinique 4 : coccidiose(5)

→ Motif d’appel : une génisse âgée de 3 semaines qui côtoie depuis sa naissance 5 autres jeunes bovins, tous plus âgés qu’elle, présente une diarrhée liquide mêlée de sang et des efforts expulsifs.

L’observation de selles au microscope permet de repérer des coccidies (photo 9). La guérison intervient après un traitement par sulfamides, ampicilline/colistine et dexaméthasone.

Cas clinique 5 : dysenterie d’hiver(6)

→ Motif d’appel : diarrhée sanguinolente chez une primipare.

L’animal n’a pas de fièvre et son état général est bon. Il montre des épreintes et un œdème rectal qui donne, lors de la fouille, une sensation de velours. La vache est traitée pour une coccidiose mais elle meurt.

→ Autopsie : profonde anémie, ulcères du côlon (photo 10). Aucune coccidie observée à la coprologie.

Le soir, 2 autres primipares présentent les mêmes symptômes. Le passage dans la case de ces vaches, 6 jours avant les premiers signes, d’un technicien ayant visité plusieurs autres exploitations oriente vers une suspicion de dysenterie d’hiver à coronavirus ou winter dysentery. L’administration d’argiles et d’antihémorragiques permet la guérison des bovins.

Cas clinique 6 : intoxication par les glands(7)

→ Motif d’appel : lot de 23 génisses de 2 ans qui ne sont « pas bien », et une morte (photo 11).

Deux génisses présentent des diarrhées sanguinolentes d’odeur fétide, des érosions du mufle, une météorisation, un ténesme, une déshydratation importante, une démarche ébrieuse avec une glycosurie et une urine mousseuse. Les taux d’urée et de créatinine sont augmentés. La recherche de salmonelles et la sérologie BVD sont négatives. Malgré les perfusions, les animaux meurent 4 jours plus tard.

→ Autopsie de la génisse morte : forte déshydratation, contenu ruminal liquide d’odeur fétide et reins pâles.

Une visite de l’exploitation permet de trouver des glands. L’histologie confirme une néphrose marquée compatible avec une intoxication par les glands ou l’amarante.

Cas clinique 7 : intussusception cæco-cæcale(8)

→ Motif d’appel : veau avec du “sang sur les fesses”. Il a reçu un traitement anticoccidien.

L’animal présente une température de 39,2 °C et des fèces collantes colorées par du sang. En revanche, il ne montre pas de ténesme, ni d’œdème, ni de « velours » rectal, habituel en cas de coccidiose. Il meurt 2 jours plus tard.

→ Autopsie : Invagination de la pointe du cæcum ou intussusception cæco-cæcale (photos 12 à 15). Le sang et la fibrine se mélangeaient aux digesta normaux de sorte que les fèces étaient conformes à ceux trouvés dans une entérite nécro-hémorragique type salmonellose, BVD ou coccidiose.

Cas clinique 8 : hématochézie par lacération rectale(9)

Motif d’appel : génisse avec un écoulement de sang par le rectum (photo 16).

Inflammation de la muqueuse rectale sur 15 à 20 cm. Plus en avant, le rectum est lisse et la bouse normale.

La présence du taureau laisse supposer une lacération par saillie rectale. La guérison a été obtenue sans traitement.

DISCUSSION

Les différentes étapes de la prise en charge d’un cas trouvent leur intérêt dans l’établissement d’un diagnostic différentiel et d’un diagnostic de certitude les plus précis possibles. Certains examens complémentaires et une étude de l’environnement des animaux sont particulièrement utiles.

1. Commémoratifs et anamnèse

Âge

L’âge de l’animal atteint est souvent un élément important. Les nouveau-nés sont sensibles aux gastro-entérites. Les jeunes âgés de 1 à plusieurs mois sont les plus exposés aux affections parasitaires (cas 4), aux entérotoxémies (cas 3) et à la BVD (cas 1). La dysenterie d’hiver atteint généralement les jeunes adultes (cas 5). Dans certains cas (salmonellose, obstruction intestinale, intoxications), l’âge n’est pas un facteur prédisposant.

Conditions d’élevage

Les conditions d’élevage au sens large (bâtiments, pâtures, alimentation) peuvent constituer de précieux indices qui orientent le diagnostic. Ainsi, une case abritant des veaux d’âges différents (cas 4) est favorable au développement de symptômes dus à des parasites chez les plus jeunes. La présence de facteurs de risque particuliers, tels que la surpopulation, la présence d’animaux malades dans une pâture ou une partie précise d’un bâtiment, un défaut d’hygiène dans le cas de maladies infectieuses ou parasitaires ou l’exposition avérée à un agent toxique (cas 6), permet d’incriminer une cause probable de diarrhée hémorragique [8].

Nombre d’animaux atteints

Le nombre d’animaux atteints est un troisième élément à prendre en compte. Cette information permet de suspecter un trouble individuel d’ordre “mécanique” (cas 7) ou une maladie de groupe, comme c’est le cas pour les troubles infectieux (cas 2 et 5), parasitaires (cas 4) ou les intoxications (cas 6). Cette approche comporte toutefois des limites. D’une part, dans certaines situations, la diarrhée hémorragique peut sembler dans un premier temps limitée à un seul animal, pour ensuite en atteindre plusieurs. D’autre part, des atteintes parasitaires provoquent parfois des symptômes évidents chez un seul bovin sur un nombre restreint, alors que l’ensemble d’une case ou du troupeau connaît une atteinte subclinique responsable de pertes économiques.

Enfin, la connaissance de l’historique de l’élevage permet parfois (ancien épisode infectieux ou parasitisme) d’orienter le diagnostic (cas 2).

2. Signes cliniques

Aspect de l’entérite hémorragique

Le terme d’« entérite hémorragique » sous-entend la présence de sang dans des matières fécales plus ou moins modifiées, puisqu’une entérite implique une modification de la consistance, de la fréquence d’émission et/ou de la quantité de fèces. La diarrhée est parfois suivie d’une diminution de la quantité des matières fécales (lors d’intussusception, par exemple).

La présence de sang se manifeste sous diverses formes. De petites quantités bien distinctes du reste des matières fécales peuvent être retrouvées, comme dans la cryptosporidiose, par exemple. De grandes quantités, étroitement mélangées aux matières fécales sont parfois identifiées. Cela peut être le cas lors de coccidiose. Le sang peut également provoquer une diarrhée de couleur sombre. Enfin, il est quelquefois présent sous forme de caillots, dans le cas, par exemple, d’un syndrome jéjunal hémorragique ou d’une intussusception. Les cas cliniques 1 et 3 fournissent un exemple de diarrhées d’aspect semblable, alors que les causes (BVD et entérotoxémie) sont différentes.

Enfin, d’autres éléments anormaux que le sang sont parfois identifiés, comme de la fibrine ou des débris tissulaires nécrotiques.

De nombreuses maladies aux causes très variées peuvent ainsi provoquer une entérite hémorragique, avec des matières fécales d’aspect très variable. Dans certaines affections, l’entérite hémorragique est de plus un symptôme secondaire, plus difficile à mettre en évidence. Lorsque la présence de sang est douteuse, l’utilisation de la case « sang » d’une bandelette urinaire arrosée de matière fécale diluée ou d’un kit commercial de recherche de sang occulte peut trouver un intérêt [4].

Les cas d’hématochézie sont un peu en marge de la problématique abordée ici, puisque du sang est présent dans des matières fécales normales, en l’absence d’entérite stricto sensu. Il paraît malgré tout intéressant pour le diagnostic différentiel de signaler l’existence de tels cas, dont le cas clinique 8 est un exemple.

Autres symptômes

C’est parce que l’aspect de la diarrhée est parfois non spécifique d’une affection que l’attention doit également se porter sur le reste de l’examen clinique, dont les paramètres peuvent être révélateurs. Une atteinte importante et rapide de l’état général suggère, par exemple, d’inclure dans le diagnostic différentiel les causes bactériennes (cas 2, 3 et 6). Un état général et un psychisme corrects sont généralement rencontrés en début d’évolution lors de maladie parasitaire (cas 4), de winter dysentry (cas 5) ou dans les premiers temps d’une subobstruction intestinale (cas 7). D’autres symptômes spécifiques sont parfois identifiés. Par exemple, une salmonellose (cas 2) ou une coccidiose peuvent provoquer une atteinte nerveuse. Un tympanisme généralisé et d’apparition brutale peut caractériser une entérotoxémie (cas 4). Une toux accompagne fréquemment les épisodes de diarrhée rencontrés lors de winter dysentry [3].

Évolution

L’évolution de la maladie et la mortalité associée constituent un autre élément diagnostique. Un mauvais pronostic est associé aux intoxications et aux maladies infectieuses (cas 1, 2, 3 et 6) à une échelle individuelle, mis à part pour la dysenterie hivernale [7]. Le pronostic est réservé en ce qui concerne les maladies parasitaires (cas 4). Dans le cas des obstructions digestives mécaniques et du syndrome jéjunal hémorragique, le pronostic est en général réservé à mauvais.

3. Examens complémentaires

Chez l’animal vivant, les examens concernant les matières fécales sont riches en enseignements. La mise en évidence de virus, de bactéries ou de parasites (cryptosporidies, notamment) responsables des gastro-entérites néonatales est réalisable à l’aide de kits de détection rapide disponibles au chevet de l’animal ou au cabinet. Des mises en culture ou des enrichissements, pour le diagnostic de salmonellose par exemple, sont également proposés par les laboratoires d’analyses. L’examen coproscopique des matières fécales permet de déterminer aisément et dans la journée la présence de parasites. Cela est illustré par les cas cliniques 4 et 5 [9]. La recherche de sang occulte se révèle parfois utile en cas de doute sur la présence de sang, surtout pour les affections où l’entérite hémorragique est un syndrome plus secondaire [4].

Les examens sanguins apportent également une aide au diagnostic, qu’il s’agisse de sérologies permettant d’inclure ou d’exclure une affection telle que la BVD (cas 6) ou de numération des cellules (cas 1). La mise en évidence d’une anémie et d’une hypoprotéinémie oriente, par exemple, vers une atteinte parasitaire.

Dans le cas précis des obstructions digestives mécaniques, une laparotomie exploratrice trouve son indication pour le diagnostic étiologique et le traitement de l’affection.

Une autopsie effectuée dans des délais courts se révèle indispensable pour exclure une maladie de troupeau ou réaliser des prélèvements post-mortem. Certaines lésions assez caractéristiques sont régulièrement mises en évidence. Une atteinte généralisée de l’ensemble de la carcasse oriente ainsi dans les cas cliniques 1 et 2 vers des maladies infectieuses. Lors de syndrome jéjunal hémorragique, une portion de jéjunum apparaît distendue et rouge sombre, la lumière de l’organe étant remplie d’un caillot de sang [1, 2]. Une entérite hémorragique segmentaire révèle dans le cas 3 une clostridiose, confirmée par l’analyse d’un prélèvement, le diagnostic ne pouvant être établi qu’à la suite de la mise en culture anaérobie et du dénombrement des C. perfringens [5, 6]. La découverte de lésions rénales dans le cas d’intoxication (cas 6) ou d’une invagination digestive (cas 7) confirme à nouveau l’intérêt de réaliser des autopsies, associées, quand cela est nécessaire, à des observations histologiques.

Conclusion

Un syndrome protéiforme tel qu’une entérite hémorragique implique d’utiliser une démarche diagnostique rigoureuse. Les cas présentés ici soulignent l’importance de l’étude de l’environnement des animaux. La place prépondérante d’examens complémentaires tels que la coproscopie ou la réalisation d’autopsies est également rappelée, d’autant que ces actes mettent en valeur l’expertise du vétérinaire rural.

  • (1) Voir la fiche « Démarche diagnostique face à une entérite hémorragique » du même auteur, dans ce numéro.

  • (2) Nicol JM. Thrombocytopénie et BVD. Cas clinique. VétoFocus. 27 mars 2008.

  • (3) Nicol JM. Après les fêtes, vous reprendrez bien un peu de salmo ! Cas clinique. VétoFocus. 3 janvier 2010.

  • (4) Nicol JM. Deux morts brutales et des boyaux rouges. Cas clinique. VétoFocus. 27 juin 2009.

  • (5) Nicol JM. Flux de sang et dysenterie. Cas clinique. VétoFocus. 13 février 2009.

  • (6) Nicol JM. Trois semaines et une coccidiose clinique. Cas clinique. VétoFocus. 20 août 2008.

  • (7) Pastorelli F. Mortalité, diarrhées sanguinolentes et mufles croûteux. Cas clinique. VétoFocus. 28 novembre 2011.

  • (8) Nicol JM. Une entérite nécro-hémorragique particulière. Cas clinique. VétoFocus. 17 septembre 2009.

  • (9) Nicol JM. Encore un comportement inapproprié. Cas clinique. VétoFocus. 26 août 2011.

Références

  • 1. Abutarbush SM, Radostits OM. Jejunal hemorrhage syndrome in dairy and beef cattle : 11 cases (2001 to 2003). Can. Vet. J. 2006 ; 46 : 711-715.
  • 2. Ciftci MK, Yavuz O, Hatipoglu F et coll. Hemorrhagic bowel syndrome in a Holstein cow – case report. Kafkas Üniversitesi Veteriner Fakültesi Dergisi. 2012 ; 18 : 527-530.
  • 3. Durham PJK, Hassard LE, Armstrong KR et coll. Coronavirus-associated diarrhea (winter dysentery) in adult cattle. Can. Vet. J. 1989 ; 30 : 825-826.
  • 4. Ewoldt JM, Anderson DE. Determination of the effect of single abomasal or jejunal inoculation of Clostridium perfringens type A in dairy cows. Can. Vet. J. 2005 ; 46 : 821-824.
  • 5. Lebrun M, Mainil JG, Linden A. Cattle enterotoxaemia and Clostridium perfringens: description, diagnosis and prophylaxis. Vet. Rec. 2010 ; 167 : 13-22.
  • 6. Manteca C, Daube G, Jauniaux T et coll. Étude de l’entérotoxémie bovine en Belgique II – Épizootiologie descriptive. Annales de médecine vétérinaire. 2000 ; 145 : 75-82.
  • 7. Radostits OM, Gay CC, Hinchcliff KW et coll. Diseases of the alimentary tract. In : Veterinary medicine. 10th ed. Ed. WB Saunders, Philadelphia. 2007 : 260-261.
  • 8. Sandusky GE, Fosnaugh CJ, Smith JB et coll. Oak poisoning of cattle in Ohio. J. Am. Vet. Med. Assoc. 1977 : 171 : 627-629.
  • 9. Spieser F, McGuirk S, Commun L. Examens complémentaires réalisables chez le veau, à la ferme ou en clinique, en médecine des populations. Point Vét. 2012 ; 325 : 48-54.

Points forts

→ L’aspect des selles et la présence de sang en cas d’entérite hémorragique sont très variables, ainsi que les causes identifiées.

→ Les commémoratifs et l’environnement, notamment l’âge de survenue, les conditions d’élevage et le nombre d’animaux atteints, sont indispensables pour orienter le diagnostic différentiel.

→ Les symptômes associés sont également pris en considération et le diagnostic est établi grâce à des examens complémentaires qui mettent en valeur l’expertise du praticien.

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