Un cas de péricardite idiopathique hémorragique - Le Point Vétérinaire expert rural n° 326 du 01/06/2012
Le Point Vétérinaire expert rural n° 326 du 01/06/2012

CARDIOLOGIE DES BOVINS

Cas clinique

Auteur(s) : Sébastien Buczinski*, Anne-Marie Bélanger**

Fonctions :
*Clinique ambulatoire bovine
Département des sciences cliniques
Faculté de médecine vétérinaire,
Saint Hyacinthe,
CP 5000, J2S 7C6, Qc, Canada
s.buczinski@umontreal.ca

Les praticiens sont invités à réaliser des analyses du liquide péricardique lors de suspicion d’une effusion péricardique afin de vérifier l’absence de péricardite idiopathique hémorragique.

Les maladies cardiaques constituent en général un défi diagnostique en début d’évolution avant que les symptômes classiques d’insuffisance cardiaque ne se manifestent. Leur pronostic est réservé à sombre dans la plupart des cas. Cependant, récemment, une nouvelle entité, la péricardite idiopathique hémorragique (PIH), a été décrite [3, 4, 10, 11]. Actuellement, les cas semblent limités à l’Amérique du Nord. Toutefois, comme pour tout syndrome émergent, le praticien vétérinaire doit être vigilant. Ainsi que pour le syndrome hémorragique intestinal, qui a également été décrit uniquement en Amérique du Nord dans les premières années avant d’être confirmé en France et dans d’autres pays européens, il convient de s’assurer que les cas à la symptomatologie de péricardite traumatique ne sont pas des formes de PIH [8, 12]. En effet, en pratique, les examens complémentaires sont assez limités pour un animal sans valeur génétique particulière qui présente des symptômes compatibles avec une péricardite traumatique. En raison du pronostic, la péricardiocentèse ou l’échographie sont rarement utilisées pour confirmer le diagnostic. Cet article décrit un cas de PIH et illustre les limites actuelles de la gestion d’une maladie cardiaque à la ferme dans un contexte de médecine économique des animaux de rente.

CAS CLINIQUE

1. Anamnèse

Au cours d’une visite mensuelle de suivi de troupeau, le producteur laitier présente une vache holstein âgée de 7 ans et gestante de 7 mois qui maigrit sans raison apparente et dont l’appétit semble fluctuant. Le cheptel est constitué de 85 vaches en lactation en stabulation entravée. La production moyenne est de 10 000 kg par lactation. Le troupeau est vacciné annuellement contre les virus respiratoires et le virus de la diarrhée virale bovine à l’aide d’un vaccin inactivé pour les vaches et d’un vaccin vivant atténué pour les génisses, avec un rappel avant la saillie. Les vaches taries ont accès au pâturage durant les périodes printanière et estivale. Le troupeau a déjà été confronté à des cas cliniques de paratuberculose et de lymphomes associés à la leucose bovine enzootique en Amérique du Nord [6].

2. Examen de l’animal

La vache, tarie 15 jours auparavant, est maigre (note corporelle de 2,25 sur une échelle de 5). Son examen à distance révèle également une turgescence des jugulaires sans pouls rétrograde associé et une distension des régions sous-mandibulaires et du fanon (photo 1). Un signe du godet positif confirme la présence d’un œdème périphérique à ces deux sites. La température rectale de l’animal est normale, de même que sa fréquence respiratoire. Le cœur est inaudible à droite comme à gauche. Il est impossible de déterminer la fréquence cardiaque par palpation des artères faciales, en raison de la présence de l’œdème. Les muqueuses sont légèrement pâles. Le rumen est hypomotile (2 minutes séparent chaque contraction). L’examen transrectal est normal et permet de distinguer le frémissement de l’artère utérine droite. Les nœuds lymphatiques palpables sont normaux. L’examen du réseau à la boussole est compatible avec la présence d’un aimant au sein des préestomacs.

3. Diagnostic différentiel

Le tableau clinique est évocateur d’une insuffisance cardiaque droite et une effusion péricardique est fortement suspectée. La péricardite traumatique semble moins probable en raison de la présence d’un aimant, mais elle ne peut être écartée.

4. Examens complémentaires

Afin de préciser le diagnostic et le pronostic, une échocardiographie est proposée, de même qu’une péricardiocentèse en fonction des résultats de cet examen. Une prise de sang en regard des vaisseaux coccygiens est effectuée pour une analyse hématobiochimique complète et des troponines I. Une sérologie pour la leucose bovine est également mise en œuvre (test Elisa).

Échocardiographie et péricardiocentèse

L’examen échocardiographique est pratiqué à l’aide d’une sonde phased-array multifréquence (2 à 3,5 MHz, General Electric, LogiqBookXP, Wawatosa, Wisconsin) selon la méthode classique [2]. L’examen met en évidence une effusion péricardique anéchogène avec des zones échogènes correspondant vraisemblablement à de la fibrine (photo 2). De plus, des signes de tamponnade sont observés, comme un collapsus atrial droit et une dyskinésie du ventricule droit. Aucune anomalie valvulaire ou myocardiaque n’est observée.

Une péricardiocentèse est alors effectuée de façon standard afin de prélever 15 ml de liquide péricardique [6]. Elle révèle un liquide sanguinolent sans odeur particulière. L’échantillon est récupéré dans un tube contenant de l’EDTA afin d’en effectuer un examen cytologique complet. Avant de réaliser les soins liés à la pose d’un drain thoracique et à une fluidothérapie à la ferme, l’éleveur désire attendre les résultats de l’examen du liquide péricardique. Cependant, une injection intraveineuse de furosémide (1 mg/kg) est d’ores et déjà effectuée afin d’améliorer transitoirement le confort de l’animal.

Analyses sanguines

La valeur des troponines cardiaques I sanguines déterminées à l’aide d’un analyseur portatif (I-Stat Analyzer, Heska) se situe dans les valeurs de référence (0,03 ng/ml, moyenne préalablement déterminée chez 40 vaches saines de 0,006 ng/ml, variant de 0 à 0,05 ng/ml). L’examen sanguin montre une anémie régénérative (hématocrite : 21 % [valeurs de référence de 26 à 40 %] ; hémoglobine : 76 g/l [98 à 153 g/l] ; érythrocytes : 4,59 x 1012/l [7,4 à 11,6 x 1012/l] ; réticulocytes : 0,6 %). Le profil biochimique est normal, excepté une augmentation des γ-glutamyltransférases (γGT) (86 UI/l [valeurs de référence : 0 à 39 UI/l]). Le fibrinogène (3 g/l [3 à 5 g/l]) et les protéines totales (63,2 g/l [59,5 à 80 g/l]) sont dans les limites normales.

Cytologie

L’examen cytologique du liquide péricardique est en faveur d’une péricardite idiopathique hémorragique aseptique. La teneur en protéines du liquide péricardique est de 51 g/l. La population cellulaire est de 12,71 x 109 leucocytes/l. La population leucocytaire est inflammatoire mixte avec des polynucléaires neutrophiles (PNN) non dégénérés (61 %), des macrophages réactionnels (38 %) et quelques lymphocytes matures (1 %). Aucun processus néoplasique ou phénomène inflammatoire septique n’est mis en évidence.

Test leucose bovine

Le test pour la leucose bovine est positif. L’animal est donc infecté par le rétrovirus.

5. Évolution

L’éleveur ne se décide que 3 jours plus tard à la réévaluation du cas et au drainage péricardique. L’état général de l’animal ne s’est guère amélioré depuis la dernière visite, 3 jours auparavant. Son examen général est similaire au précédent, si ce n’est l’auscultation percussion d’une zone de “ping” en région costo-abdominale gauche et d’une succussion abdominale positive fortement suggestive d’un déplacement de la caillette à gauche. Devant ces nouveaux éléments, et après confirmation que la caillette est bien déplacée par un examen échographique trans-abdominal, l’éleveur opte pour une euthanasie. L’image échographique obtenue est celle, classique, de la caillette dilatée à gauche avec une interface liquide-gaz.

Un examen échocardiographique ne montre aucun changement notable par rapport à l’examen initial.

6. Examen nécropsique

L’animal est euthanasié et son autopsie est réalisée sur place. Cette dernière révèle une effusion péricardique hémorragique massive d’une quinzaine de litres et inodore (photo 3). Les nœuds lymphatiques médiastinaux sont hypertrophiés et congestionnés. La surface épicardique est enflammée et recouverte de nombreuses petites aspérités. Un échantillon du muscle cardiaque et des nœuds lymphatiques hypertrophiés est prélevé pour une analyse histopathologique. Le péricarde est épaissi (environ 5 mm d’épaisseur), et infiltré de lymphocytes et de plasmocytes. Une hyperplasie mésothéliale est également notée. Une infiltration sévère de lymphocytes formant parfois des follicules, de plasmocytes, de macrophages et de neutrophiles est observée au sein des projections papillaires formées par le revêtement mésothélial.

Le diagnostic final est celui de péricardite chronique avec hyperplasie mésothéliale.

DISCUSSION

1. Effusions péricardiques

Diagnostic

Les effusions péricardiques, avec, en tête, la péricardite traumatique, constituent l’une des trois formes d’affections cardiaques principales des bovins, avec les maladies congénitales et endocardiques [1, 7]. Contrairement aux autres entités, la présentation essentielle de ces effusions péricardiques se caractérise rapidement par des signes d’insuffisance cardiaque congestive droite en raison de l’augmentation importante de la pression intrapéricardique et des symptômes de tamponnade associés. Ainsi, le diagnostic est vite orienté vers ces maladies, d’autant plus que l’effusion péricardique engendre un assourdissement des bruits cardiaques. La principale caractéristique de la PIH est son bon pronostic, contrairement aux autres types d’effusion péricardique. Les rapports de cas mentionnent des suivis sur plusieurs mois, et même jusqu’à plus de 2 ans. Pour cette raison, des examens complémentaires sont requis afin d’établir un diagnostic précis et de mieux éclairer la décision du propriétaire. Les traitements mentionnés dans les publications comportent généralement un drainage péricardiaque à l’aide d’un drain thoracique [3, 5, 8, 11, 13]. Une simple péricardiocentèse a déjà été rapportée, avec une issue positive [4].

Démarche requise lors d’effusion péricardique

Différents articles ont mentionné comment aborder pratiquement ces suspicions d’effusion péricardique [3, 5]. L’échographie, lorsqu’elle est disponible, de même que la péricardiocentèse permettent une orientation diagnostique plus précise et contribuent ainsi à une meilleure gestion médicale du cas.

2. La PIH : une ou des maladies cardiaques aux origines encore mal connues ?

Le terme de PIH fait lui-même débat dans la mesure où la composante inflammatoire de cette effusion est limitée (quantité de protéines dans l’effusion modérément élevée). De même, la composition cellulaire de l’effusion est assez variable. Une prédominance de PNN était présente dans ce cas ainsi que dans un autre publié précédemment, mais d’autres rapports mentionnent des quantités similaires de PNN et de lymphocytes [4, 8, 11]. Plus récemment, dans un rapport de cas mentionnant 3 vaches pour lesquelles un suivi à long terme a révélé le développement d’un lymphome cardiaque subséquent, les populations cellulaires de l’effusion péricardique étaient dominées par des lymphocytes (64 à 78 %) [13]. Certains auteurs parlent donc davantage d’effusion péricardique hémorragique idiopathique [8, 13]. En médecine humaine, les effusions hémorragiques péricardiques qui entraînent des symptômes de tamponnade ou d’insuffisance cardiaque sont nombreuses, et peuvent également être d’origine variée. Chez l’homme, près de 86 % des péricardites restent non expliquées ou idiopathiques. Dans environ deux tiers des cas, une étiologie infectieuse est mise en cause (virale, bactérienne, fongique ou parasitaire). Le tiers restant regroupe des origines auto-immunes, néoplasiques, métaboliques, toxiques ou traumatiques [9].

Ainsi, des causes virales, toxiques, bactériennes ou idiopathiques ont été mentionnées sans qu’aucune ait pu être prouvée. Il reste donc encore beaucoup d’inconnues pour ce syndrome. Tous les cas décrits correspondent-ils à une même entité (animaux séronégatifs ou séropositifs pour le rétrovirus de la leucose bovine enzootique, population cellulaire variable dans le liquide péricardique) ? Ou bien différentes origines non élucidées mènent-elles à la même entité clinique ? Voilà de quoi alimenter le débat et la recherche en cardiologie bovine. Comme dans les autres espèces, la seconde piste est la plus probable. Voilà pourquoi il importe que tous les praticiens demeurent vigilants vis-à-vis de cette présentation clinique.

3. Un lien entre la PIH et une péricardite virale ?

Parmi les différentes causes possibles de ce syndrome, l’origine virale a récemment attiré l’attention de plusieurs chercheurs [13]. Les similitudes avec l’une des présentations cliniques du lymphosarcome cardiaque dû à la leucose bovine enzootique sont marquantes. Le lymphosarcome cardiaque bovin se présente sous deux grandes formes assez distinctes sur les plans clinique et échocardiographique. La première est tumorale, où un effet de masse est distingué au sein de l’atrium droit. La seconde est effusive, et se caractérise par une abondante effusion néoplasique hémorragique menant à des signes de tamponnade et d’insuffisance cardiaque [9]. De nombreux lymphocytes néoplasiques sont retrouvés dans l’effusion, ce qui la distingue de la PIH. Récemment, trois cas de PIH tout d’abord traités avec succès par un drainage péricardique ont été revus 3 mois, 19 mois et 31 mois après le diagnostic initial pour un lymphosarcome associé à la leucose bovine [13]. En revanche, cette hypothèse doit encore être confirmée. Des cas séronégatifs pour l’infection par le rétrovirus ont déjà été mentionnés (1 cas, 2 cas sur 2, 2 cas sur 3 respectivement) [4, 8, 11]. Néanmoins, aucun des cas n’a eu de suivi sérologique dans le temps afin de déterminer si les symptômes peuvent coïncider avec une infection virale aiguë et une séroconversion subséquente.

4. La PIH existe-t-elle dans les zones où la leucose bovine enzootique a été éradiquée ?

Actuellement, la maladie n’est décrite qu’en Amérique du Nord, zone où la leucose bovine est enzootique. De plus, plusieurs cas se sont révélés séropositifs pour l’infection par ce rétrovirus, excepté un que nous avons préalablement rapporté en 2009 [4]. La similitude des lésions nécropsiques de notre cas avec une forme effusive de lymphosarcome cardiaque est frappante, bien que l’histopathologie ait exclu cette hypothèse [10]. Afin de mieux comprendre ce syndrome, il convient de déterminer s’il existe dans les zones où la leucose bovine enzootique a été éradiquée. La diversité des populations cellulaires des effusions péricardiques des cas mentionnés dans la littérature, ainsi que leur statut positif ou négatif pour le virus de la leucose bovine enzootique sont en faveur de causes diverses pour cette présentation clinique. Ainsi, un cas qui rassemblait fortement les critères diagnostiques de ce syndrome a été mentionné en France, où la leucose enzootique est éradiquée, mais le diagnostic cytologique n’a pas été effectué [Nora Cesbron, Oniris, communication personnelle].

Conclusion

Les praticiens vétérinaires doivent donc être vigilants et ne pas hésiter à réaliser des évaluations du liquide péricardique hémorragique lors de découverte d’un cas d’effusion péricardique. Cela devrait nous permettre de mieux comprendre cette entité, probablement sous-diagnostiquée.

Références

  • 1. Bexiga R, Mateus A, Philbey AW et coll. Clinicopathological presentation of cardiac disease in cattle and its impact on decision making. Vet. Rec. 2008;162:575-580.
  • 2. Buczinski S. Examen échographique de l’appareil cardiovasculaire et lymphatique. In: Buczinski S. Échographie des bovins. Éd. du Point Vétérinaire, Rueil-Malmaison. 2009:47-67.
  • 3. Buczinski S. La péricardite idiopathique aseptique : une nouvelle entité ? Point Vét. 2009;295:43-46.
  • 4. Buczinski S, Badillo M. Idiopathic hemorrhagic pericarditis in a Holstein cow : a rare non fatal heart disease. Bovine Pract. 2009;43:51-55.
  • 5. Buczinski S, Bélanger AM. Conduite à tenir face à une péricardite chez un bovin. Point Vét. 2004;251:36-39.
  • 6. Buczinski S, Boulay G, DesCôteaux L. Repeated pericardiocentesis as palliative treatment for tamponade associated with cardiac lymphoma in a Holstein cow. Can. Vet. J. 2011;52:663-666.
  • 7. Buczinski S, Francoz D, Fecteau G et coll. Heart disease in cattle with clinical signs of heart failure: 59 cases. Can. Vet. J. 2010;51:1123-1129.
  • 8. Firshman AM, Sage AM, Valberg SJ et coll. Idiopathic hemorrhagic pericardial effusion in cows. J. Vet. Intern. Med. 2006;20:1499-1502.
  • 9. Imazio M, Spodick DH, Brucato A et coll. Diagnostic issues in the clinical management of pericarditis. Intern. J. Clin. Pract. 2010;64:1384-1392.
  • 10. Ivany JM, Illanes OG. Congestive heart failure due to epicardial lymphosarcoma 213 in a Holstein cow. Can. Vet. J. 1999;40:819-820.
  • 11. Jesty SA, Sweeney RW, Dolente BA et coll. Idiopathic pericarditis and cardiac tamponade in two cows. J. Am. Vet. Med. Assoc. 2005;226:1555-1558.
  • 12. Lallemand M, Buczinski S, Flament N. Syndrome hémorragique intestinal chez une Holstein. Point Vét. 2006;37:60-62.
  • 13. Peek SF, McGuirk SM, Gaska J et coll. Idiopathic hemorrhagic pericardial effusion as a precursor to epicardial lymphosarcoma in three cows. J. Vet. Intern. Med. Accepté pour publication.

Points forts

→ La péricardite idiopathique hémorragique n’est actuellement décrite qu’en Amérique du Nord, mais est peut-être sous-diagnostiquée en Europe.

→ L’échographie et la péricardiocentèse permettent une orientation diagnostique précise, et contribuent à une meilleure gestion médicale du cas.

→ L’étiologie est inconnue. La maladie a été rapportée chez des animaux infectés ou non par le virus de la leucose bovine enzootique.

→ Une cytologie du liquide péricardique et une sérologie leucose sont demandées aux praticiens dans les zones où la maladie est éradiquée, afin d’affiner cette suspicion.

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