Nutrition et gestion des troupeaux laitiers - Le Point Vétérinaire expert rural n° 323 du 01/03/2012
Le Point Vétérinaire expert rural n° 323 du 01/03/2012

ALIMENTATION DES VACHES LAITIÈRES

Article de synthèse

Auteur(s) : Alex Bach

Fonctions : IRTA (Institut de recherche
en technologie agroalimentaire)
Département production des ruminants
Torre Marimon 08140 Caldes
de Montbui, Espagne

Réduire les coûts alimentaires et améliorer la quantité et la qualité du lait par l’alimentation et la gestion de l’élevage permettent d’augmenter la marge qui peut être tirée d’un troupeau laitier.

Les coûts d’alimentation représentent 40 à 60% des coûts de production laitière. Ces dernières années, les prix de l’alimentation ont augmenté de façon importante, mais ceux du lait n’ont pas suivi la même évolution. Des améliorations sur l’utilisation des aliments et la qualité du lait, donc de son prix, permettraient de réduire les dépenses et d’augmenter la marge qui peut être tirée d’un troupeau laitier (encadré).

RÉDUCTION DES COÛTS

1. Évaluer les conséquences d’une réduction des dépenses

Afin de maintenir leurs revenus économiques, les producteurs tentent de réduire les coûts de production sans amoindrir les performances. Deux types de frais doivent toutefois être différenciés : ceux assimilables à des investissements pour maintenir ou améliorer l’état du troupeau, et ceux qui pourraient être épargnés et supprimés. Réduire les dépenses liées au couchage, par exemple, peut permettre de réaliser une économie à court terme, mais cela est risqué en raison des conséquences sur la santé et le confort des animaux. Si, à la suite de ce choix de gestion, les vaches développent des boiteries ou des mammites, les surcoûts qui en résultent dépassent les économies initialement réalisées. De même, une diminution des coûts d’alimentation, s’ils ne sont pas correctement répartis, peut affecter la production de lait et, ainsi, réduire les bénéfices. Une réduction des frais requiert ainsi l’évaluation attentive de ses conséquences prévisibles.

2. Diminuer les coûts de nutrition

Plusieurs moyens peuvent être utilisés pour diminuer les coûts d’alimentation sans compromettre la production ou la santé des vaches.

→ Réduire les pertes dues à la conservation des fourrages (particulièrement des ensilages). Par exemple, stocker directement sur le sol devrait être évité, et une pente incorrecte du silo accroît dans certains cas les pertes. De plus, utiliser des conservateurs, si besoin, est avantageux, notamment pour les ensilages excessivement humides.

→ Veiller à l’ordre d’incorporation des ingrédients dans la ration totale mélangée (TMR), afin d’éviter les pertes alimentaires dues aux poussières (photo 1). En effet, lorsque les feuilles de luzerne sont incorporées dans une ration, elles représentent la principale source de protéines, et lorsqu’elles sont déchiquetées dans la mélangeuse, une partie d’entre elles peuvent être éjectées. Pour conserver les poussières dans la mélangeuse, il convient d’introduire d’abord un ingrédient humide, comme un ensilage, puis, ensuite, les composants secs (concentrés, foin, etc.)

→ Choisir une ou plusieurs rations. Il est nécessaire de réévaluer les économies ou les coûts associés à la distribution de différentes rations selon la production de lait des animaux. Le plus souvent, les troupeaux laitiers sont scindés en deux groupes de vaches. Les hautes productrices reçoivent une ration à forte valeur nutritionnelle alors que celles qui produisent moins en consomment une à faible valeur. L’objectif est de réduire les coûts d’alimentation, mais il n’est pas toujours atteint, car lorsque les vaches hautes productrices passent d’une ration riche à une autre pauvre en nutriments, leur production diminue. Proposer deux rations différentes est rentable uniquement si le résultat de la perte de production de lait (en euros) et des frais de main-d’œuvre que nécessite la distribution de deux rations différentes reste inférieur à l’épargne potentielle réalisée en distribuant une ration unique à faible teneur en énergie.

VALEUR DU LAIT

1. Lait marginal

Le lait marginal se définit comme la proportion de lait qui pourrait être produite par un troupeau de vaches laitières, mais qui ne l’est pas en raison de plusieurs contraintes. Celles-ci peuvent porter sur les méthodes d’alimentation, la composition de la ration, la densité des animaux, leur environnement, leur santé, etc. Lorsqu’elles sont corrigées, le lait supplémentaire produit est le lait marginal. Ce dernier est extrêmement avantageux, car sa production n’entre pas dans les coûts fixes (charges de structure) mais est intégrée uniquement dans les coûts variables (charges opérationnelles) qui ont été nécessaires pour l’obtenir.

2. Qualité du lait

Les producteurs peuvent agir sur le prix du lait qu’ils livrent en améliorant sa composition et sa qualité hygiénique.

La pratique de bonnes méthodes de traite et d’une hygiène rigoureuse, par exemple, peut réduire le nombre de cellules somatiques, ce qui réduit les pénalités.

De même, la supplémentation en vitamine E et en sélénium aide à minimiser l’incidence des mammites, et un apport protéique correct permet au système immunitaire de fonctionner au mieux de ses capacités et de réduire ce risque [12].

GESTION DES PÉRIODES IMPRODUCTIVES

1. Âge au premier vêlage

La diminution de l’âge au premier vêlage réduit le nombre de jours pendant lesquels l’animal ne produit pas de lait, mais également, par voie de conséquence, le taux de renouvellement requis. L’abaisser de 2 mois dans un troupeau de 100 vaches élevées en bâtiment (avec des taux de renouvellement de 30 % et de mortalité des veaux de 3 %), par exemple, permet d’économiser plus de 10 000 € par an de frais d’alimentation. Faire pâturer les génisses ou leur donner des fourrages de mauvaise qualité n’est pas recommandé, car l’âge au premier vêlage est alors augmenté, ce qui a un impact négatif à la fois sur les performances et la longévité [1, 2]. Toutefois, il est important que l’abaissement de l’âge ne compromette pas le poids des génisses au premier vêlage (au minimum 650 kg). Pour chaque kilogramme de poids vif supplémentaire au vêlage, les vaches peuvent produire environ 14,5 kg de lait de plus durant la première lactation, ce qui représente environ 1 000 litres supplémentaires par tranche de 70 kg de poids vif [2].

2. Tarissement et transition

L’alimentation autour du vêlage est cruciale pour minimiser les troubles métaboliques et assurer de bonnes performances de lactation et de reproduction. Depuis la fin des années 1990, des rations à haute valeur énergétique sont apportées aux animaux avant le vêlage afin de prévenir la mobilisation des réserves corporelles et les troubles métaboliques en postpartum [7]. Toutefois, une nouvelle étude montre qu’une ration à haute densité énergétique (supérieure à 1,54 Mcal/kg d’énergie nette lactation ou ENL, c’est-à-dire à 0,9 UFL/kg MS(1) ou unité fourragère lait par kilogramme de matière sèche) proposée en prepartum prédispose les vaches à la cétose et compromet l’ingestion après le vêlage [5]. Ainsi, il est recommandé de distribuer des rations qui fournissent environ 0,75 UFL/kg MS (soit 1,32 Mcal/kg d’ENL). Ces rations offrent un avantage supplémentaire car elles ne sont pas différentes de celles typiquement distribuées aux vaches taries, et la création de deux groupes n’est pas nécessaire. La totalité des vaches taries peuvent ainsi être nourries avec une ration unique durant tout le tarissement (photo 2).

De plus, durant cette période, il est important d’apporter des quantités adéquates de protéines. D’une part, elles sont nécessaires à la croissance fœtale et à la production de colostrum, et, d’autre part, le bovin ne doit pas puiser dans les petites réserves de protéines (comme l’albumine) qu’il possède avant le vêlage, afin de pouvoir les utiliser lors du pic de lactation. La ration recommandée doit fournir 13 % de protéines brutes (PB) aux vaches et 14,5 % de PB aux génisses gestantes.

GESTION DE LA LACTATION

L’un des paramètres les plus importants pour assurer des bénéfices économiques dans les grands troupeaux laitiers est l’efficacité alimentaire. Cette dernière est un reflet de l’efficacité avec laquelle les substances nutritives sont utilisées pour produire du lait. Les occasions de l’améliorer sont nombreuses.

Une réduction de la taille des particules de la ration peut, par exemple, améliorer la digestibilité (et l’efficacité de la transformation) et réduire le tri. Le risque d’acidose est augmenté, mais un compromis existe.

1. Apport d’acides aminés

En général, l’un des objectifs des nutritionnistes des ruminants est de formuler des rations qui comblent les besoins des animaux en apportant des quantités suffisantes de toutes les substances nutritives. Toutefois, cette approche peut aboutir à un apport excessif en certains nutriments. Les acides aminés (AA), notamment, requis en d’assez faibles quantités par l’animal, sont relativement abondants dans les aliments apportés pour équilibrer les rations (comme l’acide aspartique). En raison de la complexité des facteurs qui permettent de déterminer les apports en AA d’une vache laitière, et de la capacité de la glande mammaire à moduler le flux de sang pour compenser les déséquilibres en AA, le véritable apport en ces derniers n’est pas connu avec précision, quelle que soit la ration [4, 15]. Ainsi, il est difficile de savoir si un changement d’apport en protéines de la ration corrige ou, au contraire, induit un déséquilibre en AA.

Un excès de certains AA peut avoir des répercussions négatives sur les performances et la santé des animaux, car tous les AA sont potentiellement toxiques. Ainsi, dans un troupeau laitier, une réduction d’ingestion d’environ 2 kg par jour de matière sèche a été rapportée en supplémentant les rations avec de la méthionine protégée [10]. En effet, un excès alimentaire en AA stimule la synthèse des protéines dans le foie et l’utilisation de la plupart des AA essentiels. Cela diminue la quantité d’AA essentiels qui étaient à l’origine disponibles pour l’animal [11, 16]. Cette diminution est signalée par le cortex piriforme antérieur du cerveau et provoque une réduction de l’ingestion [6].

2. Apport de protéines brutes

Le National research council reconnaît une légère relation positive entre la production laitière et l’augmentation des PB dans la ration [8]. Une méta-analyse des données issues de 131 études publiées dans le Journal of Dairy Science (de 2000 à 2006) confirme la faible relation positive entre ces deux paramètres (R2 = 0,17 ; P < 0,001)(2) (figures 1 et 2) [3].

Une relation similaire est trouvée entre la teneur en PB de la ration et la quantité de matières protéiques du lait (R2 = 0,16 ; P < 0,001), ce qui a probablement encouragé l’utilisation de rations à haute teneur en PB pour augmenter la production de lait. Cependant, alors que la production de lait augmente, la synthèse des protéines stagne. Par conséquent, l’efficacité de l’utilisation des protéines est associée négativement (R2 = 0,81 ; P < 0,001) avec la quantité de PB dans la ration (figures 3 et 4) [3]. Cette relation négative était prévisible, attribuée en partie à l’équation mathématique utilisée pour calculer l’efficacité de l’utilisation des protéines (production de matière protéique du lait/quantité de PB ingérée).

Cette observation indique que lorsque la teneur en PB de la ration augmente, les protéines sont utilisées de façon moins efficace. Comme l’efficacité d’utilisation des PB est corrélée positivement avec la production laitière (R2 = 0,65), il semble possible de produire de grandes quantités de lait avec une forte production de matière protéique du lait.

3. Rapport protéines brutes/énergie nette

L’apport d’une grande quantité de PB dans l’alimentation est une approche classique pour satisfaire les besoins en protéines des vaches laitières. Toutefois, les besoins en AA des troupeaux laitiers dépendent de l’apport énergétique (exprimé en UFL en France), mais aussi du statut énergétique de l’animal.

Des études montrent que la hausse du rapport PB/UFL absorbées réduit rapidement l’efficacité de la transformation des protéines absorbées en protéines de lait en début de lactation [9, 13]. Une autre étude confirme que le statut énergétique de l’animal joue un rôle important dans la détermination de la réponse aux protéines absorbées et qu’une forte corrélation négative existe entre le rapport protéines absorbées/apport énergétique et l’efficacité d’utilisation des PB [14]. La méta-analyse révèle également une forte relation entre le rapport PB/UFL de la ration et l’efficacité d’utilisation des protéines (R2 = 0,85 ; P < 0,001) [3].

Cette relation est influencée par le fait que la teneur en PB de la ration est mathématiquement liée à l’efficacité d’utilisation des PB. Pour retirer cette dépendance mathématique, un modèle incluant la consommation de PB de la ration (kg/j) et les effets linéaires et quadratiques du rapport protéines/énergie a été réalisé. La relation trouvée (R2 = 0,44 ; P < 0,001) indique que pour obtenir la plus grande efficacité d’utilisation des PB, le rapport PB/UFL devrait être le plus proche possible de 0,14. En d’autres termes, pour un régime d’une densité énergétique de 0,95 UFL, la teneur optimale de PB qui maximise l’efficacité de leur utilisation devrait être d’environ 13 %.

La méta-analyse montre que pour optimiser la production de matières protéiques du lait, le rapport optimal protéines/énergie devrait être de 0,19, c’est-à-dire qu’une ration ayant une densité énergétique de 0,95 UFL devrait contenir 17,8 % de PB [3]. Cependant, cet optimum ne coïncide pas avec le profit maximal.

Ainsi, le rapport PB/UFL optimal d’une ration, qui permet d’obtenir le plus grand profit par le rendement, serait de 0,174.

PAYER LA VALEUR ET NON LE PRIX D’UN INGRÉDIENT

L’augmentation constante du prix des aliments rend impératif le besoin d’évaluer la valeur (et non le prix) de chacun d’entre eux. Le prix de gros de l’ensilage de maïs est d’environ 60 €/tonne de MS. Mais, en réalité, tous les ensilages de maïs ne sont pas produits de la même façon et leur valeur dépend de leur teneur en amidon et de leur digestibilité. Cette remarque s’applique à de nombreux ingrédients. Pour cette raison, il est recommandé d’évaluer les ingrédients sur la base des nutriments les plus importants pour lesquels ils sont achetés. Le foin de luzerne, par exemple, est acheté pour son apport en PB, mais le prix à l’unité de PB de luzerne est bien plus élevé que celui de PB du tourteau de soja. De plus, la luzerne est introduite dans les rations comme une source de fibres et non de protéines (de nombreuses solutions alternatives moins coûteuses existent) et par conséquent, le prix de la luzerne devrait reposer sur sa teneur en fibres et non en PB.

Certains aliments de valeur nutritive relativement élevée pour un prix abordable existent sur le marché. C’est le cas de la glycérine, sous-produit de la production de biocarburant. Elle peut être utilisée pour nourrir les ruminants, ainsi que les monogastriques dans une moindre mesure. La glycérine, qui contient 85 % de glycérol (le prix de ce dernier est trop élevé pour être utilisé pour nourrir les ruminants), fermente presque entièrement en propionate dans le rumen et la fraction qui parvient aux intestins est transformée en glucose par le foie.

Conclusion

Le vétérinaire peut conseiller l’éleveur sur l’aspect économique de son élevage, et l’aider à augmenter sa marge, en prenant en considération les différents facteurs évoqués. La réflexion vaut toutefois dans un contexte donné et à un instant donné, et la clé de la réussite est d’adapter ses choix à chaque exploitation.

  • (1) ENL (Mcal) = IFL x 1,7

  • R2 = coefficient de détermination.

Références

  • 1. Bach, A. 2011. Associations between several aspects of heifer development and dairy cow survivability to second lactation. J. Dairy Sci. 94:1052–1057.
  • 2. Bach A, Ahedo J. Record keeping and economics of dairy heifers. Vet. Clin. North Am. Food Anim. Pract. 2008;24(1):117-138.
  • 3. Bach A, Raeth-Knight ML, Stern MD et coll. Protein, amino acid, and peptide requirements for proper rumen function and milk production. Minnesota Nutrition Conference. September 20th. St. Paul, MN. 2006:67-79.
  • 4. Bequette BJ, Hanigan MD, Calder AG et coll. Amino acid exchange by the mammary gland of lactating goats when histidine limits milk production. J. Dairy Sci. 2000;83:765-775.
  • 5. Drackley JK, Janovick-Guretzky NA. Rethinking energy for dry cows. Penn State Dairy Cattle Nutrition Workshop. 2007:59-68.
  • 6. Gietzen DW. Neural mechanisms in the responses to amino acid deficiency. J. Nutr. 1993;123:610-625.
  • 7. Minor DJ, Trower SL, Strang BD et coll. Effects of nonfiber carbohydrate and niacin on periparturient metabolic status and lactation of dairy cows. J. Dairy Sci. 1998;80:189.
  • 8. National research council. Nutrient Requirements of Dairy Cattle. 7th rev. ed. Natl. Acad. Sci., Washington, D.C. 2001.
  • 9. Oke OB, Loerch SC. Effects of energy and amino acid supply to the small intestine on amino acid metabolism. J. Nutr. Biochem. 1992;3:62-66.
  • 10. Robinson PH, Chalupa W, Sniffen CJ et coll Influence of abomasal infusion of high levels of lysine or methionine, or both, on ruminal fermentation, eating behavior, and performance of lactating dairy cows. J. Anim. Sci. 2000;78:1067-1077.
  • 11. Rogers QR. The nutritional and metabolic effects of amino acid imbalances. In: Cole DJA, Boormann KN, Buttery PJ and coll. Protein Metabolism and Nutrition. ed. Butterworths. London, UK. 1976:279-301
  • 12. Spears, J. W., and W. P. Weiss. 2008. Role of antioxidants and trace elements in health and immunity of transition dairy cows. Vet. J. 176:70-6.
  • 13. Tamminga S. Protein degradation in the forestomachs of ruminants. J. Anim. Sci. 1979;49:1615-1630.
  • 14. Van Straalen WM, Odinga JJ, Moster W. Digestion of feed amino acids in the rumen and small intestine of dairy cows measured with nylon-bag techniques. Br. J. Nutr. 1997;77:83-97.
  • 15. Weekes TL, Luimes PH, Cant JP. Responses to amino acid imbalances and deficiencies in lactating dairy cows. J. Dairy Sci. 2006;89:2177-2187.
  • 16. Yuan JH, Davis AJ, Austic RE. Temporal response of hepatic threonine dehydrogenase in chickens to the initial consumption of a threonine-imbalanced diet. J. Nutr. 2000,130:2746-2752.

ENCADRÉ Facteurs importants permettant d’augmenter la marge d’un troupeau laitier

→ Minimiser les pertes alimentaires : conservation des fourrages, ordre des aliments dans la mélangeuse.

→ Évaluer si le regroupement et l’alimentation des animaux suivant leur niveau de production est avantageux.

→ Essayer d’obtenir du lait supplémentaire (lait marginal) en maîtrisant les facteurs limitants.

→ Augmenter le prix du lait en améliorant sa composition.

→ Optimiser la croissance des génisses et le remplacement du troupeau.

→ Donner une ration unique à faible valeur énergétique durant tout le tarissement.

→ Optimiser l’efficacité des aliments utilisés en lactation.

→ Évaluer les aliments sur la base de leur valeur nutritionnelle souhaitée.

Points forts

→ La conservation des aliments, leur ordre d’incorporation dans la mélangeuse et leur choix selon leur valeur nutritive permettent de limiter les coûts alimentaires.

→ La quantité et la qualité du lait peuvent être augmentées en modulant la gestion des vêlages et des vaches laitières, l’hygiène de la traite et l’alimentation.

→ Il convient d’évaluer la pertinence de la distribution de plusieurs rations en production et au tarissement.

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