Physiopathologie de la gingivostomatite chronique féline - Le Point Vétérinaire n° 315 du 01/05/2011
Le Point Vétérinaire n° 315 du 01/05/2011

MÉDECINE ET DENTISTERIE FÉLINE

Dossier

Auteur(s) : Estelle Jumelet*, Caroline Léger**

Fonctions :
*Clinique vétérinaire
14, avenue du Général-de-Gaulle
91160 Longjumeau
**Alliance Vet
73, avenue Jean-Kiffer
94420 Le Plessis-Trévise

La gingivostomatite chronique féline est la conséquence d’une réaction inadaptée du système immunitaire de l’hôte vis-à-vis de stimulations antigéniques variées.

La gingivostomatite chronique féline (GSCF) est un complexe, c’est-à-dire un ensemble d’affections chroniques qui se caractérisent par une inflammation persistante focale ou diffuse des gencives et des muqueuses de la cavité orale en général. Elle est presque impossible à traiter définitivement à l’heure actuelle. Elle est néanmoins fréquemment rencontrée dans l’espèce féline.

Elle se manifeste par des lésions inflammatoires retrouvées préférentiellement en regard des molaires et des prémolaires. Ces lésions peuvent s’étendre aux plis palatoglosses ou piliers du pharynx, aux fosses pharyngées et aux loges amygdaliennes (stomatite caudale), au palais mou (ouranite), mais peuvent être retrouvées n’importe où dans la bouche (joues, lèvres : buccostomatite). Les stomatites caudales sont souvent de nature ulcéro-proliférative (figures 1 et 2). Chez le jeune chat, il existe une forme de gingivite hyperplasique juvénile d’étiologie inconnue, mais souvent associée au portage du calicivirus. Celle-ci peut évoluer vers une parodontite agressive.

Le terme de maladie parodontale correspond à une atteinte chronique et lytique des structures de support et d’attache dentaire (gencive, ligament parodontal, os alvéolaire et cément) (figures 3 et 4). Elle inclut donc la gingivite (pas de perte d’attachement) et la parodontite (perte d’attachement). Les conséquences, au début réversibles (inflammation, œdème, poche parodontale), deviennent irréversibles (mobilité par lyse de l’attache épithéliale puis par résorption osseuse). Le développement de fistules et/ou de fractures spontanées de la mâchoire est possible. À distance, des endocardites, arthrites, néphrites, etc., sont rapportées.

L’étiopathogénie du complexe gingivostomatite félin n’est pas entièrement connue. Les connaissances actuelles indiquent qu’il résulte de stimulations antigéniques chroniques variées (bactéries de la plaque dentaire, portage du calicivirus félin [FCV], etc.) à l’origine d’un syndrome dysimmunitaire local [13]. Une immunodépression associée (virus de l’immunodéficience féline [FIV], virus de la leucose féline [FeLV], maladies chroniques intercurrentes) est également un facteur de développement de l’affection.

1 Stimulations antigéniques variées

Ces stimulations antigéniques sont le fait d’antigènes d’origine exogène (virale ou bactérienne) ou endogène (exposition d’antigènes du soi consécutive, par exemple, à un traumatisme).

Rôle des infections

INFECTIONS VIRALES (CALICIVIRUS ET HERPESVIRUS)

Parmi les agents infectieux suspectés d’intervenir dans le développement de la GSCF, le FCV et l’herpèsvirus de type 1 (HV1) ont été plus particulièrement étudiés, mais leur rôle reste mal défini [5]. Dans une étude sur 25 chats atteints de GSCF, 81 % étaient porteurs de ces deux virus [11]. Le calicivirus a, lui, été isolé chez près de 100 % des chats atteints de GSCF caudale, contre 25 % des chats sains [2]. Parmi les zones affectées par les lésions de GSCF, la région caudale est le siège des inflammations les plus sévères (aspect ulcéroprolifératif) et les plus rebelles aux traitements. Dans un autre essai, l’ARN (acide ribonucléique) du calicivirus a été retrouvé chez 56 % des 70 chats atteints de GS, contre 0 % des 61 chats sains [3]. Ces résultats suggèrent que le portage de calicivirus interviendrait dans la genèse de la GSCF. Pourtant, l’inoculation de calicivirus de chats atteints de GSCF à des chats sains n’a pas engendré de GSCF. Le portage de calicivirus seul ne suffit pas à expliquer l’apparition des lésions buccales. D’autres facteurs sont impliqués.

Le calicivirus félin est responsable en grande partie des affections de l’appareil respiratoire supérieur des chats. L’élimination du virus est continuelle, et même après la guérison clinique, elle peut perdurer (en général quelques semaines ou quelques mois, mais parfois toute la vie du chat). Le FCV associé aux lésions de GSCF est différent de celui qui provoque les maladies respiratoires. Il est suspecté que la chronicité du portage induit une variabilité antigénique du FCV [1].

En revanche, des études récentes montrent que la prévalence de l’HV1 semble être identique entre les chats sains et ceux qui sont atteints de GSCF [3].

INFECTIONS BACTÉRIENNES : NOTION DE PLAQUE DENTAIRE

Plus de 300 espèces bactériennes existent dans les sécrétions buccales. Certaines bactéries, dotées de propriétés d’adhérence, colonisent un film composé de glycoprotéines et de lipides, et présent à la surface des dents. La plaque dentaire est ainsi constituée. Elle est considérée comme un biofilm, c’est-à-dire une flore diversifiée au sein d’une matrice acellulaire. Sa composition varie en fonction de sa localisation. Ainsi, les bactéries anaérobies sont plus nombreuses en position sous-gingivale. Cette organisation particulière confère aux bactéries une résistance aux antibiotiques supérieure à celle des bactéries isolées, et justifie l’importance de sa prise en compte dans la lutte contre les gingivites et les parodontites [17]. La calcification de la plaque dentaire forme le tartre, surface rugueuse favorisant l’adhérence des bactéries.

La présence de ces dernières induit une réaction inflammatoire locale, c’est-à-dire une gingivite. L’évolution vers la parodontite n’est pas systématique.

Bartonella henselæ a été suspectée comme pathogène primaire. Il ne semble pourtant pas exister de différence significative de portage entre les chats sains et ceux qui sont atteints de GSCF. De plus, le traitement de ces infections entraîne rarement une régression des lésions, preuve qu’il ne s’agit pas de l’unique cause de ces dernières.

Les principales bactéries retrouvées sont :

– des anaérobies (Porphyromonas, Fusobacterium, Propionibacterium, Peptostreptococcus, Clostridium, etc.) ;

– des aérobies Gram-positives (Streptococcus, Staphylococcus, Corynebacterium, Actinomyces, etc.) et Gram-négatives (Escherichia coli, Pseudomonas, Proteus, Pasteurella, etc.) [14].

Toutefois, les lésions de GSCF pourraient être dues en partie à une réponse immunitaire anormale vis-à-vis de la flore bactérienne du biofilm dentaire [6]. En effet, des anticorps dirigés contre Porphyromonas sp. ont été mis en évidence à des taux supérieurs chez des chats atteints de GS, en comparaison de ceux qui ont été mesurés chez les chats sains [15].

INFECTIONS FONGIQUES

Des infections à Candida albicans, souvent secondaires à une immunodépression, pourraient également être impliquées dans le développement de la GS [18].

Rôle de l’immunodéficience acquise

IMMUNODÉFICIENCE D’ORIGINE VIRALE

Aucune association significative n’a pu être démontrée entre le FeLV, le FIV et la GS. Toutefois, tester les chats vis-à-vis de ces rétroviroses est important, d’un point de vue tant pronostique que thérapeutique. En effet, l’immunodépression engendrée par le FIV et, dans une moindre mesure, par le FeLV, empire le pronostic des malades, les récidives et les échecs thérapeutiques étant plus nombreux.

Dans une étude rétrospective sur 500 chats atteints d’une affection buccale, 7,8 % d’entre eux se sont révélés FeLV-positifs, 23,4 % FIV-positifs et 5,2 % FIV- et FeLV-positifs [9].

D’autres données montrent que, parmi les chats FeLV-positifs, 5 % présentent des lésions de stomatite [12]. Concernant les chats FIV-positifs, les pourcentages varient selon les études [8].

La conclusion est que la GSCF est une des affections les plus souvent associées au FIV, confortant l’hypothèse que l’immunodéficience est un facteur important du développement des lésions de GSCF.

AFFECTIONS CHRONIQUES : IMMUNODÉFICIENCE NON INFECTIEUSE

Ces maladies chroniques immunodépressives telles que l’insuffisance rénale, le diabète, l’hyperthyroïdie ont des effets négatifs sur le système immunitaire. Elles facilitent l’apparition d’infections opportunistes et prédisposent donc au développement de la GSCF.

2 Pathogénie des lésions

La nature histologique lympho-plasmocytaire (IgG surtout) de l’infiltrat, ainsi que l’hypergammaglobulinémie fréquemment présente lors de GSCF sont en faveur d’une inflammation d’origine immunitaire. Les lésions seraient le résultat d’une réponse immunitaire inadaptée de certains animaux à divers antigènes, plutôt que le fait d’un agent pathogène particulier. En effet, une réponse immunitaire normale impliquerait une résolution des lésions malgré la présence chronique de la plaque dentaire.

Réponse immunitaire Th1 ou Th2

La réponse immunitaire vis-à-vis d’un antigène est de type Th1 (réponse à médiation cellulaire) ou Th2 (réponse à médiation humorale). L’orientation vers Th1 ou Th2 dépend de l’agent pathogène impliqué (virus, bactérie intracellulaire, bactérie extracellulaire) et du tissu concerné. En général, les agents intracellulaires (bactéries intracellulaires et virus) induisent une réponse Th1 et les agents extracellulaires, une réponse Th2. La réponse immunitaire ne peut pas être à la fois Th1 et Th2. Toutes ces raisons d’une orientation vers une réponse Th1 plutôt que Th2 ne sont pas connues.

Dans les muqueuses buccales des chats développant des lésions de GS, les antigènes (viraux et bactériens) sont responsables de l’activation de lymphocytes T (LT). Les LT produits sont dits cytotoxiques (LTc ou CD8+). Ils sont spécifiques d’une réaction à médiation cellulaire de type Th1. La réponse de type Th1 est également promoteur de la production d’immunoglobulines G et M (IgG et IgM) par les plasmocytes. Les IgG et IgM sont pro-inflammatoires car elles activent le complément, favorisant le développement d’une réaction inflammatoire non spécifique importante. La dégradation de l’épithélium mucosal est donc la conséquence de l’action des IgG et des IgM, ainsi que des LTc. Cette lyse épithéliale facilite la pénétration en profondeur et la multiplication des antigènes, donc l’exacerbation de la réponse immunitaire. Le cercle vicieux de la réaction lymphoplasmocytaire s’installe.

Normalement, la réponse immunitaire spécifique aux muqueuses devrait être de type Th2.

Taux d’immunoglobulines

Dans le cadre d’une réponse Th1, les chats atteints de GS présentent des taux salivaires d’IgM et d’IgG augmentés et des taux d’IgA diminués [7].

Le rôle des IgM et des IgG est de neutraliser les agents pathogènes. Ils ont cependant cet effet néfaste déjà évoqué sur les tissus locaux.

Les IgA salivaires ont plusieurs fonctions :

– elles neutralisent les agents pathogènes et les toxines présentes dans la cavité buccale ;

– elles inhibent l’adhérence et la croissance des micro-organismes sur les muqueuses et les dents ;

– elles stimulent des facteurs de défense non spécifiques et préservent ainsi l’intégrité de l’épithélium mucosal.

La baisse des IgA salivaires est donc un facteur favorisant la persistance des infections.

En plus du fait que la réponse immunitaire est plutôt orientée vers le type Th1 non promoteur des IgA, d’autres facteurs seraient responsables de leur faible présence dans la cavité buccale. En effet, des études en médecine humaine ont montré que des protéases produites par des bactéries présentes dans la cavité buccale comme Porphyromonas gingivalis sont susceptibles de cliver les IgA salivaires [10]. Ces résultats laissent à penser que la baisse du taux d’IgA salivaires peut être aussi la conséquence de l’infection.

À la suite d’un traitement anti-inflammatoire stéroïdien, le taux d’IgG salivaires diminue [7]. Cela s’explique par une baisse de l’infiltration lymphoplasmocytaire des muqueuses et de la perméabilité de celles-ci aux immunoglobulines sériques.

L’activation des mécanismes de défense de l’organisme permet de détruire les micro-organismes, mais induit, par la même occasion, les lésions tissulaires observées lors de la GS.

Lymphocytes régulateurs

Une population de LT dits régulateurs (Tregs) modère, voire supprime l’activation des lymphocytes autoréactifs (LTc CD8+ notamment). Ils interviennent alors dans la tolérance immunitaire. En effet, sans leur présence, surtout dans les muqueuses, l’exposition perpétuelle à de très nombreux antigènes engendrerait une réponse immunitaire et une inflammation permanentes. Il est donc suspecté que des anomalies de cette tolérance sont en jeu dans de nombreux schémas pathogéniques inflammatoires, auto-immuns et cancéreux (encadré). Ces Tregs sont également appelés CD4+, CD25+, etc. (antigènes présents à leur surface permettant de les identifier et de les quantifier).

Conclusion

Les lésions de GSCF sont fréquentes chez les chats. Le terme de GSCF est utilisé pour décrire le processus inflammatoire qui affecte les gencives et la cavité orale en général. La pathogénie de cette affection est incomplètement connue, complexe et multifactorielle puisqu’elle associe, à des facteurs aggravants (immunodépression), des processus infectieux (plaque dentaire, calicivirus) et une réaction immunitaire inadaptée de l’hôte. L’inflammation chronique qui en résulte s’auto-entretient. Le succès du traitement de ces animaux réside dans la détection et la gestion précoces des lésions parodontales, la recherche de facteurs d’immunodéficience (statut virologique, maladies intercurrentes chroniques) et la prise en compte de la réaction immunitaire inadaptée. Un suivi rigoureux et une approche thérapeutique multiple sont nécessaires.

Références

  • 1. Albino MVC. Evaluation of the occurrence of calicivirus in cats with chronic gingivitis. In: 34th World Small Animal Veterinary Congress, Sao Paulo. 2009.
  • 2. Coutts AJ, Dawson AJ, Willoughby K et coll. Isolation of feline respiratory viruses from clinically healthy cats at UK cats shows. Vet. Rec. 1994; 135(23): 555-556.
  • 3. Dowers KL. Association of Bartonella species, feline calicivirus, and feline herpesvirus 1 infection with gingivostomatitis in cats. J. Feline Med. Surg. 2010; 12(4): 314-321.
  • 4. Estrela-Lima A, Araújo MS, Costa-Neto JM. Immunophenotypic features of tumor infiltrating lymphocytes from mammary carcinomas in female dogs associated with prognostic factors and survival rates. BMC Cancer. 2010; 4(10): 256.
  • 5. Gaskell RM, Dawson S. Other feline virus diseases. In: Ettinger SJ, Feldman EC. Textbook of Veterinary Internal Medicine. 6th ed. Ed. Elsevier Saunders, St Louis, Missouri. 2005: 667-671.
  • 6. Gruffydd-Jones T. Feline stomatitis. 34th World Small Animal Veterinary Congress, Sao Paulo, Brazil. 2009.
  • 7. Harley R, Gruffydd-Jones T, Day MJ. Salivary and serum immunoglobulin levels in cats with chronic gingivostomatitis. Vet. Rec. 2003; 152(5): 125-129.
  • 8. Hartmann K. Feline immunodeficiency virus infection and related diseases. In: Ettinger SJ, Feldman EC. Textbook of Veterinary Internal Medicine. 6th ed. Ed. Elsevier Saunders, St Louis, Missouri. 2005: 659-662.
  • 9. Hennet P. Les stomatites. Prat. Méd. Chir. Anim. Comp. 1999; n° spéc. “Pathologie féline”: 421-426.
  • 10. Kilian M. Degradation of immunoglobulins A1, A2, and G by suspected principal periodontal pathogens. Infect. Immun. 1981; 34: 757-765.
  • 11. Lommer MJ, Verstraete FJ. Concurrent oral shedding of feline calicivirus and feline herpesvirus 1 in cats with chronic gingivostomatitis. Oral Microbiol. Immunol. 2003; 18(2): 131-134.
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  • 13. Lyon KF. Gingivostomatitis. Vet. Clin. Small Anim. 2005; 35(4): 891-911.
  • 14. Lyon KF. Mostly cats ! Gingivostomatitis and resorptive lesions. Small animal and exotics. Proceedings of the North American Veterinary Conference. Orlando, Florida, USA, 2007. 2007; 21 : 273-280.
  • 15. Norris JM, Love DN. Serum responses of cats with periodontal/gingival disease to members of the genus porphyromonas. Clin. Infect. Dis. 1995; 20(2): S314-S316.
  • 16. O’Neill K, Guth A, Biller B et coll. Changes in regulatory T cells in dogs with cancer and associations with tumor type. J. Vet. Intern. Med. 2009; 23(4): 875-881.
  • 17. Pavlica Z, Avlica Z. Biofilm: microbial communities and periodontal disease. World Congress WSAVA, Prague, Czech Republic. 2006.
  • 18. Smith MM. Oral and salivary gland disorders. In: Ettinger SJ, Feldman EC. Textbook of Veterinary Internal Medicine. 6th ed. Ed. Elsevier Saunders, St Louis, Missouri. 2005: 1294-1295.

ENCADRÉ
Actions des lymphocytes régulateurs Tregs

Dans le cadre des maladies auto-immunes, il existe une hyperactivité du système immunitaire. Le rapport CD4/CD8 est souvent bas et le nombre de LT CD8+ est élevé [13]. L’objectif serait alors de favoriser l’action des Tregs.

Chez les chats FIV-positifs, malades déclarés, une immunodépression cellulaire et humorale avec une chute des LT CD4+ (inversion du rapport CD4/CD8) est observée. Au cours du temps, les deux populations CD4 et CD8 sont amenées à diminuer.

À l’opposé, dans le cadre de l’immunité antitumorale, ce sont les Tregs eux-mêmes qui sont trop actifs, et l’objectif est alors de les inhiber. Chez le chien, notamment lors de carcinome, les Tregs CD4+ présentent des taux sanguins augmentés. Le ratio CD4/CD8, élevé, est a priori un marqueur spécifique des tumeurs [16]. En outre, plus ce ratio CD4/CD8 est élevé, plus le temps de survie est diminué [4]. Ces lymphocytes régulateurs représentent une importante voie de recherche et un réel espoir, notamment en matière de thérapeutique. Aucune étude n’existe dans le cadre de la GSCF.

REMERCIEMENTS

Au docteur Nicolas Girard pour son aide et sa relecture attentive.

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