Quel devenir pour un cheval que son propriétaire ne peut pas continuer à entretenir ? : analyse éthique - Le Point Vétérinaire expert canin n° 365 du 01/05/2016
Le Point Vétérinaire expert canin n° 365 du 01/05/2016

ÉTHIQUE

Article original

Auteur(s) : Denise Rémy

Fonctions : VetAgro Sup
Campus vétérinaire de Lyon
1, avenue Bourgelat
69280 Marcy-L’Étoile

Le vétérinaire est parfois sollicité pour des euthanasies de convenance. Parce que cette demande implique l’éthique de la profession vétérinaire, cet article examine le dilemme abattage-euthanasie.

La question du devenir des chevaux que leurs propriétaires ne peuvent pas ou ne veulent pas continuer à entretenir a été l’objet d’un débat animé entre confrères à l’occasion du colloque “Vétérinaire, garant du bien-être animal” organisé par le Conseil national de l’Ordre vétérinaire le 24 novembre dernier à Paris. Le lecteur trouvera la transcription intégrale des actes du colloque sur le site du Conseil national de l’Ordre [1]. Le débat cité est rapporté en pages 84 à 86.

FAITS ET PROBLÉMATIQUE

Les praticiens équins sont souvent confrontés à des propriétaires qui veulent se débarrasser de leurs chevaux. Ces derniers peuvent être des chevaux de loisirs âgés ou de compétition en fin de carrière, donc jeunes (4 à 5 ans). Il ne s’agit pas d’animaux maltraités ni abandonnés, lesquels pourraient être recueillis par la Société protectrice des animaux (SPA) qui a acquis un haras en Normandie et accueille actuellement 160 équidés (capacité maximale d’accueil atteinte avant l’inauguration du refuge) (photo 1). Le débat a par conséquent été exclusivement centré sur un dilemme : quelle est la solution éthiquement la plus acceptable pour un cheval que ses propriétaires ne veulent plus entretenir, est-ce l’euthanasie par le vétérinaire ou l’abattage pour la filière bouchère ?

En effet, dans le cadre juridique actuel, l’animal, bien qu’étant un être vivant doué de sensibilité (et ce conformément aux deux codes fondamentaux que sont le Code rural et le Code civil, en harmonie depuis la loi du 16 février 2015), reste soumis au régime des biens meubles, c’est-à-dire que son propriétaire en dispose sous réserve du respect des lois qui protègent cet animal (lois du Code rural, conditions de détention compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce, etc.). Un propriétaire de cheval qui souhaite se débarrasser de ce dernier ne peut pas être contraint à le conserver et à s’en occuper. Le débat qui a eu lieu au Palais du Luxembourg s’est concentré strictement sur le dilemme euthanasie-abattoir et c’est dans ce cadre exclusif que la question est abordée. Les confrères n’ont pas pu s’entendre sur la solution à retenir, le débat était passionnel.

CADRE ÉTHIQUE

C’est uniquement dans un cadre utilitariste que ce dilemme est abordé. En effet :

– le cheval n’est pas malade, il n’existe donc aucune raison médicale de le tuer, pourtant, il s’agit bien de le tuer (et de déterminer la façon de le faire qui soit la plus acceptable d’un point de vue éthique). Le simple fait d’envisager de tuer un animal sain est par essence utilitariste ;

– le propriétaire refuse de garder son cheval car il estime que la charge de cet animal nuit à son bien-être personnel : il ne veut ou ne peut pas continuer à l’assumer (coût) ou il veut le remplacer parce que ce cheval ne lui est plus d’aucune utilité (problématique utilitariste) ;

– il s’agit de raisonner ici en termes de meilleure solution ou de moins mauvaise solution possible, de maximisation du bien-être et de minimisation de la souffrance (question utilitariste par excellence). Il s’agit pour cela de considérer et de comparer les conséquences de chaque action (euthanasie et abattage) ;

– les autres référentiels éthiques sont mal équipés dans un tel contexte : les éthiques du devoir (ou éthique déontologiste), de la relation avec l’animal, de la sollicitude, toutes appelleraient à garder le cheval en vie, à le mettre à la retraite, avec les égards qui lui sont dus [6].

Il s’agit donc de déterminer ce qui, de l’euthanasie ou de l’abattage, présente les meilleures ou les moins mauvaises conséquences en termes de bien-être, engendre le plus grand bénéfice ou le moindre mal. La maximalisation du bien-être ou la minimisation de la souffrance du cheval n’est pas le seul élément à considérer dans la délibération éthique. Un raisonnement focalisé uniquement sur le bien-être de ce dernier ne capturerait pas la globalité du questionnement éthique et serait hautement contestable. L’utilitarisme tient compte des préférences et des intérêts de tous, homme ou animal, de façon équivalente (chacun a le même poids, compte pour un) et se livre à un calcul qui compare la somme des bénéfices à la somme des inconvénients en termes de bien-être ressenti. Il s’agit d’optimiser les intérêts de tous. Encore une fois, se focaliser uniquement sur le bien-être du cheval serait une interprétation étroite et erronée de l’utilitarisme, qui reviendrait à réduire cette théorie morale à un seul de ses éléments.

Le débat présenté se veut général, c’est-à-dire qu’il ne s’agit pas de délibérer sur un cas clinique donné, particulier, mais d’envisager le devenir général de tous les chevaux que leurs propriétaires ne veulent plus entretenir.

DÉLIBÉRATION ÉTHIQUE

Afin de considérer tous les individus impliqués, il est utile de rappeler les cinq devoirs moraux du vétérinaire : envers l’animal, le propriétaire, les confrères (la profession), la société et envers lui-même [7]. C’est parce que le débat est général qu’il implique tous ces acteurs. Un dilemme relatif au traitement d’un animal particulier n’impliquerait pas la société ni la profession dans leur ensemble (sauf s’il s’agissait d’une question de santé publique ou, comme c’est le cas ici, d’une question généralisable de bien-être animal).

1. Le cheval

L’euthanasie épargne au cheval le stress de l’abattoir et induit, ou devrait induire, une mort sans souffrance ou avec le minimum de souffrance émotionnelle.

L’abattage devrait rester une solution qui préserve le bien-être animal. Le transport ne devrait pas excéder 65 km selon une étude du ministère de l’Agriculture [2]. Les abattoirs et les conditions d’abattage doivent répondre à des normes strictes et devraient faire l’objet de contrôles de la part des services vétérinaires (photo 2). Les chevaux abattus en France sont essentiellement des animaux de réforme (ils étaient 17 790 en 2007), car 88 % des animaux de trait sont exportés sur pied avant l’âge de 18 mois [5].

Il est ainsi possible d’estimer que l’euthanasie est préférable à l’abattage, lequel en principe, ne devrait pas nuire de façon importante au bien-être du cheval.

2. Le propriétaire

L’euthanasie puis l’élimination du cadavre (équarrissage ou société d’incinération) sont à l’origine de frais non négligeables pour le propriétaire alors que, si le cheval part en boucherie, il récupère le prix de la carcasse.

L’évaluation utilitariste dépend du contexte : économiquement, l’abattage est beaucoup plus “utile” au propriétaire. Mais le propriétaire peut être rebuté par l’idée d’envoyer son cheval à l’abattoir, auquel cas le choix de l’euthanasie va contribuer à améliorer son bien-être psychologique (à la condition qu’il puisse fournir l’effort financier) (photo 3).

3. La profession vétérinaire

Le débat étant général, la profession est impliquée et se doit d’avoir une position cohérente aux yeux de la société, sous peine, à terme, de souffrir d’un certain discrédit (ce qui nuira aux intérêts et au bien-être des vétérinaires). Il est difficilement tenable pour la profession vétérinaire de cautionner officiellement l’euthanasie de convenance. Le vétérinaire soigne les animaux, il n’est pas là pour les tuer à la demande de leur propriétaire parce qu’ils sont devenus une contrainte. La maximisation du bien-être des vétérinaires face à cette question va vers une prise de position officielle, éthique, opposée à l’euthanasie de convenance. Un discours officiel du type : « Les vétérinaires se prononcent en faveur de l’euthanasie et contre l’abattage des chevaux lorsqu’il n’est plus possible pour leurs propriétaires de les entretenir », nuirait à l’ensemble des vétérinaires. La société en déduirait immédiatement, à juste titre, que les vétérinaires cautionnent l’euthanasie de convenance et que l’abattage est source de souffrance pour tous les animaux. Cela conduirait inévitablement à s’interroger sur le rôle des services publics vétérinaires à large échelle. Si des voix divergentes s’élevaient dans la profession à ce sujet, cela nuirait également aux vétérinaires.

4. La société

La consommation de viande de cheval est utile à la société, même si 15 % seulement des ménages français, en 2013, en consommaient. L’abattage des chevaux de réforme est essentiel pour maintenir l’équilibre économique de la filière chevaline [2]. À l’inverse, la crémation des carcasses après l’euthanasie est néfaste à l’environnement.

Certains de nos contemporains sont hostiles à l’hippophagie : l’abattage des chevaux de réforme nuit à leur bien-être, car l’idée même de cette pratique les répugne et la persistance de la pratique est néfaste à leur bien-être (il ne s’agit pas ici de discuter de la cohérence éthique de leur répugnance, mais d’évaluer leur bien-être global).

Pour conclure, il conviendrait idéalement de connaître le nombre exact de personnes pour lesquelles l’abattage des chevaux de réforme est “utile” et le nombre de celles pour lesquelles il est source de malaise. Cependant, l’aspect économique global et le surcoût environnemental de l’incinération font pencher la balance vers l’abattage.

5. Le vétérinaire lui-même

Le vétérinaire a un devoir moral envers lui-même. Beaucoup de vétérinaires sont ébranlés par la pratique de l’euthanasie de convenance. Ils ont le devoir d’éviter le stress moral inhérent à la pratique de tels actes [7]. Or, si un vétérinaire accepte une fois de pratiquer une euthanasie de convenance, il sera sollicité à nouveau (c’est une conséquence indéniable, il est irréaliste de penser qu’il puisse en être autrement) et, s’il n’est pas en accord avec cette pratique, son bien-être va se dégrader au fil du temps, potentiellement au point de le conduire au burn-out [4, 8]. Une telle dégradation du bien-être sur de longues années est quantitativement plus importante que le stress ponctuel d’un cheval à l’abattoir.

En revanche, si un vétérinaire est en accord avec lui-même pour pratiquer une telle euthanasie, justifiée moralement par le fait qu’il évite ainsi à l’animal le stress de l’abattoir, son bien-être n’en sera pas affecté négativement et il bénéficiera de la rémunération de l’acte. Tout confrère garde son indépendance et la détermination de la profession dans son ensemble contre l’euthanasie de convenance n’exclut pas un tel positionnement à titre individuel.

RÉSULTATS DE LA DÉLIBÉRATION

Le calcul utilitariste conduit à la conclusion suivante :

– sur un plan général, la maximisation du bien-être et la minimisation du mal-être de tous les acteurs sont en nette faveur de l’abattage ;

– si le débat était replacé dans un contexte particulier, individuel, qui impliquerait seulement le vétérinaire, le propriétaire et le cheval, l’abattage resterait dans la grande majorité des cas le meilleur compromis (favorable au propriétaire et au vétérinaire au prix d’un “coût”, pour le cheval, qui devrait rester acceptable), sauf si le vétérinaire est en accord avec l’euthanasie de convenance des chevaux et/ou que le propriétaire se refuse à envoyer son cheval à l’abattoir. Le vétérinaire pourra cependant toujours refuser de pratiquer cette euthanasie, charge au propriétaire de trouver un confrère qui accepte.

Si l’abattage pouvait être pratiqué sans stress ni souffrance, il serait la solution idéale, celle qui maximalise le bien-être pour tous sans exception. Pourtant, J.-P. Kieffer, président de l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoir (OABA), a précisé, à l’occasion des débats animés qui ont eu lieu le 24 novembre 2015, qu’aucun abattoir en France n’est spécialisé pour les chevaux et que les conditions d’abattage de ces derniers sont « déplorables, inacceptables » [1]. Il existe en effet un seul abattoir spécialisé pour les chevaux en France, à Champagnole, dans le Jura [2]. Si tel est le cas, est-il alors possible de considérer que la souffrance imposée au cheval à l’abattoir est telle qu’elle outrepasse la somme des avantages qui résulteraient de cet abattage ? Et que, par conséquent, il devient moralement inacceptable d’envoyer un cheval à l’abattoir ? Cela laisse pantois et pose alors un autre problème éthique, absolument crucial : qu’en est-il du bien-être des milliers de chevaux abattus tous les ans en France depuis des années ? La question éthique prend alors une toute autre dimension.

Quelles seraient les conséquences de l’arrêt de l’abattage des chevaux de réforme et d’une position officielle en faveur de leur euthanasie ? L’expérience des États-Unis en la matière peut illustrer ce propos : en 2006, le Congrès, sous l’influence du lobbying d’associations militant pour le bien-être des équidés et contre l’hippophagie, a adopté une loi interdisant l’utilisation des fonds fédéraux pour l’inspection vétérinaire des carcasses de chevaux destinées à la consommation humaine, stoppant ainsi l’abattage des chevaux sur tout le territoire. La mesure a été catastrophique en ce qui concerne le bien-être des chevaux, comme l’a mis en évidence un rapport officiel de 2011 (rapport du Government Accountability Office, chargé d’évaluer les décisions du Congrès et de contrôler les comptes publics). Ce bilan désastreux a conduit le Congrès à réintroduire cette même année, en 2011, l’abattage des chevaux sur le territoire [3]. En effet, pendant les 5 ans d’interruption de l’abattage des équidés sur le territoire états-unien, les chevaux ont été transportés au Mexique et au Canada pour être abattus, transports extrêmement longs et délétères pour le bien-être animal. La filière viande chevaline a été très affaiblie, de nombreux éleveurs de chevaux de boucherie ont cessé leur activité. Beaucoup de chevaux ont été abandonnés, leurs propriétaires n’ayant plus les moyens de les entretenir (photo 4). Le prix de vente des chevaux a chuté (le prix minimal était auparavant celui de la carcasse), les éleveurs de chevaux de loisirs ont été en grande difficulté et ont, pour certains, cessé de faire soigner leurs animaux.

Conclusion

Ainsi, dans un référentiel utilitariste, l’abattage d’un cheval est la meilleure solution éthique lorsque son propriétaire ne peut plus ou ne veut plus en assurer la charge. Une position officielle interdisant l’abattage de ces chevaux aurait des conséquences désastreuses. Le référentiel utilitariste est le seul qui permette de répondre à ce dilemme éthique particulier.

Cela étant, il est parfaitement envisageable et même hautement souhaitable de sortir du dilemme et de rechercher des solutions alternatives. Celles-ci n’ont pas été évoquées à l’occasion du colloque. Des associations existent, qui recueillent des équidés menacés de boucherie (Cheval Avenir, Les Crins de liberté, Équidestin, Des chevaux et des ailes, Sauveruncheval.com, pour n’en citer que quelques-unes). Il est important que les confrères en connaissent l’existence. L’action de telles associations s’inscrit en effet dans le cadre d’une éthique du devoir (selon laquelle la vie d’un animal sain est toujours respectée), d’une éthique de la relation avec l’animal et de la sollicitude. Il est certain que ces associations ont des moyens limités et ne permettront pas de recueillir tous les chevaux de sport ou de loisirs que leurs propriétaires ne veulent plus entretenir. Cependant, en promouvant l’action de telles associations, les vétérinaires contribueront à insuffler chez les propriétaires de chevaux davantage de respect pour la vie de leur animal, alors que, dans une logique utilitariste, l’individu ne compte pas pour lui-même, mais uniquement pour sa contribution au bien-être général, et peut être remplacé par un autre individu.

Références

  • 1. Agence G-L nouvelle. Colloque du 24 novembre 2015 – Ordre national des vétérinaires [Internet]. [cited 2016 Feb 16]. Available from: https://www.veterinaire.fr/connaitre-lordre/actualites/colloque-du-24-novembre-2015.html
  • 2. Jolly L. Unité produits animaux, pêche et aquaculture. La production de viande chevaline en France des années 50 à aujourd’hui. FranceAgriMer. 2015;20:2-11.
  • 3. Joseph A, Trégaro Y. Le commerce international de la viande chevaline : deux décennies d’échanges. FranceAgriMer. 2011;(11):2-11.
  • 4. Morris P. Blue juice: euthanasia in veterinary medicine. Temple University Press, Philadelphia (Animals, culture, and society). 2012:230p.
  • 5. Poulain JP. Dossier de presse : conférence/table ronde. La viande chevaline, une histoire de famille. Centre d’Information des viandes, CIV, Paris. 2008.
  • 6. Remy D. L’utilitarisme, une théorie éthique fondamentale dans notre société et en particulier pour les médecins et les vétérinaires. Point Vét. 2016;363:44-48 expert rural;48-52 expert canin.
  • 7. Remy D. Éthique en pratique clinique : les cinq devoirs moraux du vétérinaire. Point Vét. 2015;360:6-7.
  • 8. Rollin BE. Euthanasia, moral stress, and chronic illness in veterinary medicine. Vet. Clin. North Am. Small Anim. Pract. 2011;41(3):651-659.

Conflit d’intérêts

Aucun.

Points forts

→ Le dilemme euthanasie-abattage pour un cheval dont ses propriétaires veulent se débarrasser est de nature purement utilitariste puisqu’il s’agit de déterminer la meilleure façon de tuer un cheval (le fait de s’autoriser à le tuer est déjà un élément de nature utilitariste), celle dont les conséquences sont les plus favorables ou les moins défavorables, celle qui maximise le bien-être et les intérêts et minimise le mal-être pour tous les protagonistes.

→ Ce dilemme est une question éthique générale et non un cas clinique particulier. Il doit par conséquent, pour être résolu correctement, conduire à impliquer dans l’analyse non seulement les intervenants directs (propriétaire, vétérinaire, cheval directement concernés), mais aussi la société et la profession vétérinaire dans leur ensemble.

→ En 2006, aux États-Unis, l’abattage des chevaux a été stoppé à la suite d’une décision du Congrès (décision prise sous la pression d’associations de protection animale). Le bilan a été désastreux en termes de bien-être animal (chevaux transportés sur d’énormes distances, au Mexique et au Canada, pour être abattus, chevaux abandonnés, pertes d’emploi dans la filière bouchère et mise en difficulté économique de tout l’élevage équin). Le Congrès est revenu sur sa décision 5 ans plus tard.

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