Définition, classification et étiopathogénie lors de polyarthrites à médiation immune - Le Point Vétérinaire n° 362 du 01/01/2016
Le Point Vétérinaire n° 362 du 01/01/2016

RHUMATOLOGIE CANINE

Dossier

Auteur(s) : Maud Ménard*, Ghita Benchekroun**

Fonctions :
*Service de médecine interne,
Centre hospitalier universitaire
vétérinaire d’Alfort,
ENV d’Alfort, 7, avenue du Général-de-Gaulle,
94704 Maisons-Alfort
**Service de médecine interne,
Centre hospitalier universitaire
vétérinaire d’Alfort,
ENV d’Alfort, 7, avenue du Général-de-Gaulle,
94704 Maisons-Alfort

Pour identifier le type d’une polyarthrite, il convient de connaître les mécanismes causals sous-jacents. Lors de polyarthrites à médiation immune, c’est la radiographie qui permet de distinguer les formes érosives des formes non érosives.

Sur le plan clinique, les polyarthrites à médiation immune présentent des caractéristiques communes indépendamment des mécanismes pathogéniques. Elles sont classées selon la nature des lésions radiographiques : formes érosives versus formes non érosives. Ensuite divers syndromes ou entités sont retrouvés, caractérisés par une étiopathogénie commune ou des spécificités de race.

1 Définition et classification

Définition

Les polyarthrites sont définies au sens strict par une inflammation concernant au moins six articulations. Elles sont à distinguer des oligoarthrites (touchant deux à cinq articulations) et des monoarthrites (touchant une articulation). Cependant, par abus de langage, le terme de polyarthrite est employé dès lors qu’au moins deux articulations sont touchées (photo) [23].

Classification générale des polyarthrites

La classification des polyarthrites canines distingue les formes infectieuses des formes non infectieuses. Ces dernières sont les plus fréquentes et le plus souvent à médiation immune (tableau 1) [4, 23].

Lors de polyarthrite infectieuse, l’agent infectieux est directement en cause. De plus, si la majorité des polyarthrites est à médiation immune, elles peuvent aussi être réactionnelles à un foyer infectieux localisé à distance de l’articulation via une réaction d’hypersensibilité (HS) de type III. La frontière entre les formes infectieuses et non infectieuses n’est donc pas toujours clairement définie [4, 23].

Les arthrites à cristaux et l’hémarthrose sont généralement monoarticulaires et rarissimes en médecine vétérinaire. Elles ne sont pas abordées dans cet article [4, 23].

Classification des polyarthrites à médiation immune

La connaissance de la classification des polyarthrites à médiation immune (PMI) est nécessaire car elle permet d’entreprendre une démarche diagnostique rigoureuse et d’instaurer une thérapie ciblée (tableau 2). Les PMI sont classées selon la nature des lésions radiographiques : il existe les formes érosives caractérisées par des lésions lytiques de l’os sous-chondral, à distinguer des formes non érosives. Certaines polyarthrites infectieuses (polyarthrites septiques bactériennes, polyarthrites leishmaniennes) peuvent également présenter un caractère érosif. Ensuite, au sein de ces deux grandes catégories, divers syndromes ou entités existent, caractérisés par une étiopathogénie commune ou des spécificités de race.

Cette classification n’est pas dénuée de recoupement et sera probablement amenée à évoluer en fonction de l’avancée des connaissances sur certaines entités encore mal définies. Les PMI idiopathiques de type I sont les plus fréquentes. Elles représentent 65 % des cas dans une étude rétrospective portant sur 52 cas de PMI canine (toutes catégories confondues). Viennent ensuite les polyarthrites de type II (13 % des cas), les polyarthrites lupiques (8 %), les polyarthrites de type III (4 %), les polyarthrites postvaccinales (4 %), le syndrome polyarthrite-méningite (2 %) et les polyarthrites érosives (2 %) [31].

2 Réactions d’hypersensibilité

Les réactions d’HS sont des réactions immunitaires inappropriées fréquemment impliquées dans la pathogénie des PMI. Leur connaissance est un préalable indispensable à la compréhension de l’étiopathogénie des PMI canines. La classification traditionnelle de Gell et Coombs propose quatre types de réaction d’HS (types I, II, III et IV) pouvant se produire isolement ou en association. Les trois premiers font intervenir l’immunité à médiation humorale, alors que le type IV implique essentiellement les cellules T et les macrophages [30]. Des réactions d’HS de type III sont essentiellement observées et, dans une moindre mesure, de types II et IV lors de PMI (figures 1 à 3).

3 Étiopathogénie des formes érosives

Les polyarthrites érosives sont très rares en comparaison des formes non érosives (environ 1 % des cas de polyarthrites canines). Elles sont caractérisées par des lésions lytiques de l’os sous-chondral. Si la polyarthrite chronique érosive canine (PCEC), ou polyarthrite rhumatoïde canine, est assez bien définie sur le plan clinique, en revanche, la polyarthrite érosive du lévrier greyhound a fait l’objet de seulement quelques descriptions et mérite encore d’être caractérisée [21].

Polyarthrite rhumatoïde canine et/ou polyarthrite chronique érosive canine

Les termes de “polyarthrite rhumatoïde canine” ou de “polyarthrite chronique érosive canine” sont utilisés alternativement dans les publications scientifiques pour désigner une même entité présentant de nombreuses similitudes avec la polyarthrite rhumatoïde humaine. Dans les deux espèces, ces maladies sont caractérisées par une polyarthrite érosive chronique, progressive et symétrique. Cependant, certaines différences sont à souligner, que ce soit en termes d’épidémiologie, de symptomatologie ou de pathogénie. Ces divergences conduisent à s’interroger sur la validité de l’analogie fréquemment réalisée avec la maladie humaine. De plus, il est possible qu’en médecine vétérinaire l’étiopathogénie soit variée et différente de celle de la polyarthrite rhumatoïde de l’homme. Il semble donc préférable d’utiliser l’expression plus généraliste et plus descriptive de “polyarthrite chronique érosive canine” [28].

L’étiopathogénie de la PCEC reste indéterminée [28]. Les immunités à médiation cellulaire et à médiation humorale semblent impliquées. La synovite serait consécutive à une réaction d’HS de type III impliquant des complexes immuns, des facteurs rhumatoïdes (FR) et le complément. Les complexes immuns isolés chez les chiens atteints de PCEC sont en majorité composés de facteurs rhumatoïdes (anticorps anti-IgG des classes IgG ou IgM). Les complexes immuns de type FR-IgG semblent jouer un rôle prépondérant. Ils activeraient le complément et les monocytes, stimulant ainsi la libération de prostaglandines et de mononuclear cell factor (MNC). En conséquence, les cellules mononucléées stimuleraient la production de collagénase et de prostaglandines par les synoviocytes, entraînant ainsi la destruction du cartilage articulaire [19]. Les FR sont néanmoins présents de manière inconstante lors de PCEC [9]. Le rôle central de l’interleukine-17 (IL-17) dans la pathogénie de la maladie humaine n’a pas été étudié en médecine vétérinaire [2].

Polyarthrite érosive du lévrier greyhound

Citée pour mémoire, la polyarthrite érosive a fait l’objet de rares descriptions aux États-Unis, en Australie, et en Grande-Bretagne (21 cas rapportés avant 1991) [1, 20, 35]. Les caractéristiques épidémiologiques et cliniques de cette entité ont conduit à la distinguer de la PCEC. De plus, les FR ne sont jamais retrouvés lors de polyarthrite érosive [20, 35].

4 Étiopathogénie des formes non érosives

Polyarthrites idiopathiques

Les polyarthrites idiopathiques regroupent l’ensemble des PMI non érosives qui ne peuvent être classées dans les catégories ci-après. Quatre types sont distingués. Les types II, III et IV correspondent à des manifestations articulaires inflammatoires non érosives déclenchées par un agent infectieux ou une néoplasie localisée à distance des articulations (polyarthrites dites “réactionnelles”). Lors de type I, aucune maladie sous-jacente n’est identifiée. Il s’agit alors de polyarthrites idiopathiques stricto sensu.

TYPE I : POLYARTHRITES IDIOPATHIQUES STRICTO SENSU

Les polyarthrites idiopathiques stricto sensu est le type le plus fréquent des PMI chez le chien. Comme leur nom l’indique, aucune cause sous-jacente n’est identifiée et leur diagnostic repose donc sur l’exclusion des autres causes de polyarthrite [21].

TYPE II : POLYARTHRITES POSTINFECTIEUSES

Lors de polyarthrite de type II, une maladie infectieuse entraîne la formation d’antigènes qui se lient aux anticorps pour former des complexes immuns. Ces derniers se déposent dans l’espace articulaire et sont responsables d’une réaction d’HS de type III. La maladie infectieuse sous-jacente est dans la grande majorité des cas bactérienne et localisée à un organe. Le foyer infectieux peut être localisé n’importe où dans l’organisme à l’exception du tractus digestif et du foie (il s’agit alors de polyarthrite de type III) [21].

TYPE III : POLYARTHRITES ENTÉROPATHIQUES

Dans ce cas, la polyarthrite est consécutive à une entéropathie ou à une hépatopathie. Par exemple, lors de maladie gastro-intestinale, l’augmentation de la perméabilité intestinale est supposée être associée à une entrée d’antigènes, à l’origine d’une augmentation de la production de complexes immuns [21].

TYPE IV : POLYARTHRITES PARANÉOPLASIQUES

L’antigène impliqué dans les lésions par complexes immuns est un antigène tumoral. Ce syndrome paranéoplasique reste cependant très rare [21].

Polyarthrite lupique

Le lupus érythémateux disséminé (LED) est une maladie auto-immune systémique liée à des phénomènes d’HS de type III, et dans une moindre mesure de types II et IV [21]. Une perte de tolérance et une hyperréactivité du système immunitaire semblent être impliquées dans l’étiopathogénie. L’élément initiateur serait un phénomène d’apoptose responsable d’une accumulation de corps apoptotiques contenant des antigènes nucléaires et cytoplasmiques. Ces corps seraient ensuite captés par des cellules présentatrices d’antigènes qui mettraient alors en évidence des antigènes nucléaires et cytoplasmiques. Lors d’une perte de tolérance associée, une activation polyclonale des lymphocytes B et la production d’autoanticorps pathogènes peuvent être observées. Ces anticorps peuvent avoir un effet direct s’ils reconnaissent un antigène membranaire ou un effet indirect via la formation de complexes immuns. Une hypersensiblité de type IV pourrait également être impliquée [5, 8].

Actuellement, l’élément déclencheur serait multifactoriel et ferait intervenir des facteurs environnementaux (exposition aux ultraviolets), infectieux (leishmaniose, ehrlichiose, bartonellose, anaplasmose, etc.) et/ou médicamenteux (propylthiouracile, hydralazine, héparine sulfate, etc.) [8]. De plus, il existe une prédisposition génétique associée à des allèles du complexe majeur d’histocompatibilité de type I chez le berger allemand. Les chiens porteurs de l’allèle DLA-A7 ([DLA], dog leucocyte antigen) ont un risque plus élevé de développer la maladie en comparaison des chiens porteurs des allèles DLA-A1 ou DLA-B5 [32].

Polyarthrites postvaccinales

Une polyarthrite postvaccinale doit être suspectée dès lors qu’elle apparaît dans les 30 jours suivant une injection vaccinale (primovaccination ou rappel) et qu’aucune autre cause de polyarthrite n’est identifiée. Il est possible que, dans un certain nombre de cas, cette association ne soit que temporelle et non causale. Cependant ces polyarthrites présentent des caractéristiques communes : résolution rapide en 24 à 48 heures et rechutes fréquentes lors des rappels vaccinaux suivants [6, 22]. Ces éléments laissent suspecter une véritable relation de cause à effet et ont conduit à regrouper ces cas au sein d’une même entité.

Polyarthrites consécutives à une hypersensibilité médicamenteuse

Les molécules incriminées sont variables. Il s’agit souvent d’antibiotiques (sulfamide-triméthoprime, pénicillines, lincomycine, érythromycine ou céphalosporines), bien que d’autres médicaments comme le phénobarbital ou l’érythropoïétine soient aussi parfois incriminés [11, 16]. Généralement, les chiens atteints ont déjà reçu le médicament dans le passé ou sont sous traitement au long court. Un exemple fréquemment cité est celui des polyarthrites consécutives à l’administration de sulfamide-triméthoprime chez le doberman pinscher [14, 17, 21]. Des réactions d’HS de types III et IV interviennent probablement de manière concomitante [16, 31].

Syndrome polymyosite-polyarthrite

Ce syndrome est caractérisé par l’association d’une PMI non érosive et d’une polymyosite. L’absence de facteurs antinucléaires chez les chiens atteints est en défaveur d’une forme précoce de LED, ce qui a conduit Bennett et Kelly à définir ce syndrome comme une entité particulière [3]. L’étiopathogénie reste néanmoins indéterminée actuellement.

Syndrome polyarthrite-méningite

La méningite constitue généralement le symptôme primaire à l’origine de la dénomination de “syndrome polyarthrite-méningite” ou “steroid responsive meningitis-arteritis” [21]. Sur le plan histologique, ce syndrome se caractérise par une artérite à l’origine d’une sténose des vaisseaux correspondant. Cette atteinte vasculaire touche principalement les vaisseaux des méninges, mais peut concerner d’autres tissus (articulations, muscles). L’augmentation de la concentration en immunoglobuline A dans le sérum et le liquide cérébro-spinal des chiens atteints, la rémission des signes cliniques sous traitement immunodépresseur et l’absence d’agent infectieux identifiable sont en faveur d’une maladie à médiation immune [25].

Fièvre du shar pei

La fièvre du chien shar pei (ou maladie du shar pei, swollen hock syndrome) est une maladie héréditaire auto-inflammatoire caractérisée par des accès intermittents qui associent une fièvre et une polyarthralgie se concentrant généralement dans les tarses. Cette maladie partage de nombreuses caractéristiques avec la “fièvre méditerranéenne familiale” décrite chez l’homme [18, 21].

Les shar pei ont été élevés en Chine pendant des siècles comme chiens de garde ou de combat. Au début de l’ère de Mao Zedong, l’instauration d’une taxe pour les propriétaires de chien a failli conduire à l’extinction de la race. À partir des années 1970, un pool limité d’individus a fait l’objet d’une forte pression de sélection génétique visant à développer exagérément l’aspect plissé du pelage. Cette sélection a abouti au développement du phénotype meatmouth, devenu le must pour les amateurs de shar pei [18]. Une quantité excessive d’acide hyaluronique (AH) consécutive à une augmentation de l’activité de l’enzyme de synthèse correspondante (hyaluronic acid synthase 2, ou HAS2) est mise en évidence dans cette race [13, 37]. Une mutation génétique susceptible d’expliquer à la fois le phénotype cutané meatmouth et la fièvre du shar pei a récemment été identifiée et est à l’origine d’une surproduction d’AH. Cette altération génétique s’est probablement produite durant la période de sélection génétique de ces dernières décennies [27].

L’AH et ses produits oligosaccharidiques de dégradation pourraient se comporter comme des molécules “dangers”, et stimuler le système immunitaire inné et la production d’IL-1, à l’instar de ce qui est dorénavant identifié au cours des différents syndromes auto-inflammatoires humains [27].

Polyarthrite juvénile de l’akita inu

La polyarthrite juvénile de l’akita inu est un syndrome particulier difficilement classable. Il est caractérisé par un jeune âge au moment de l’apparition des signes cliniques (systématiquement avant l’âge de 8 mois) ainsi que par des manifestations articulaires et systémiques sévères [13]. L’analyse des pedigrees des chiots atteints suggère une composante héréditaire bien que le mode de transmission reste inconnu [11, 13, 36]. Pour certains auteurs, cette polyarthrite pourrait avoir une composante génétique et le déclenchement de la maladie pourrait être lié à des facteurs environnementaux comme la vaccination [11, 36]. En effet pour les cas rapportés par Wynn et Dodd, les symptômes apparaissent dans les 3 à 29 jours suivant une injection vaccinale. Pour d’autres auteurs, le pic d’incidence de la maladie correspondrait simplement à la période de primovaccination [12].

5 Composante immunitaire des polyarthrites infectieuses

Lors de polyarthrite infectieuse, la nature de l’agent incriminé est variable : il peut s’agir de bactéries, d’agents fongiques, de protozoaires, ou, de façon plus anecdotique, de nématodes.

Certaines maladies infectieuses systémiques peuvent se manifester par une polyarthrite : essentiellement la leishmaniose, la borréliose et l’anaplasmose en France métropolitaine. L’agent infectieux incriminé n’est pas systématiquement identifié au sein de l’articulation. L’atteinte articulaire peut ainsi être consécutive à la présence de l’agent infectieux en son sein et/ou à une réaction d’HS [10, 21]. La frontière entre polyarthrite infectieuse et polyarthrite à médiation immune n’est donc pas toujours clairement établie, d’autant plus que les deux mécanismes peuvent être impliqués de manière concomitante. Selon les cas, ces polyarthrites peuvent ainsi être considérées comme des polyarthrites infectieuses ou comme des polyarthrites réactionnelles de type II. En pratique, la distinction est souvent difficile à faire. L’objectif principal de la classification des polyarthrites est d’instaurer une thérapie ciblée. Dans ce contexte, il convient toujours de mettre en place un traitement anti-infectieux. Une réponse clinique non satisfaisante au traitement anti-infectieux associée à une évolution favorable sous traitement immuno­suppresseur peut constituer un argument en faveur d’un phénomène à médiation immune.

Conclusion

La classification des polyarthrites canines est imparfaite, mais elle reste indispensable. Il est primordial de distinguer les différents types de PMI, car leur traitement et leur pronostic diffèrent. Des réactions d’HS de type III sont le plus fréquemment incriminées. Certaines entités n’ont fait l’objet que de descriptions sporadiques et méritent d’être caractérisées. Il est possible qu’en médecine vétérinaire certains mécanismes n’aient pas encore été décrits. Pour l’illustration, des cas de polyarthrite consécutive à la présence d’acide gras (en concentration cytotoxique et pro-inflammatoire) dans le liquide synovial sont rapportés chez l’homme lors de pancréatite. Chez le chien, deux cas de polyarthrite associée à une ostéomyélite et à une panniculite sont décrits lors de néoplasie pancréatique [16].

Références

  • 1. Barton MD, Ireland L, Kirschner JL et coll. Isolation of mycoplasma spumens from polyarthritis in a greyhound. Austr. Vet. J. 1985;25:306-309.
  • 2. Benedetti G, Miossec P. Interleukin 17 contributes to the chronicity of inflammatory diseases such as rheumatoid arthritis. Eur. J. Immunol. 2014;44:339-347.
  • 3. Bennett D, Kelly DF. Immune-mediated non-erosive inflammatory joint disease of the dog. 2. Polyarthritis/polymyositis syndrome. J. Small Anim. Pract. 1987;28:891-908.
  • 4. Bennett D. Immune mediated joint disease. Available at: http://www.ivis.org/proceedings/esvot/1998/esvot1998.pdf. Accessed February 19, 2015.
  • 5. Bennett D. Immune-based non-erosive inflammatory joint disease of the dog. 1. Canine systemic lupus erythematosus. J. Small Anim. Pract. 1987;28:871-889.

Conflit d’intérêts

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