Trois cas de tumeurs des glandes préputiales chez des furets associées à une maladie surrénalienne - Le Point Vétérinaire expert canin n° 329 du 01/10/2012
Le Point Vétérinaire expert canin n° 329 du 01/10/2012

CANCÉROLOGIE DES NAC

Cas clinique

Auteur(s) : Christophe Bulliot*, Véronique Mentré**, Christophe Bonnefont***

Fonctions :
*Clinique Vétérinaire Exotic Clinic
38, rue Robert-Cousin
77176 Nandy
**Clinique vétérinaire de la Patte-d’Oie
155, boulevard Victor-Bordier
95370 Montigny-les-Cormeilles
***Urgences et consultants vétérinaires (UCVET)
54, rue Stendhal
75020 Paris

Les tumeurs des glandes préputiales sont rares chez le furet. Lors d’une série de trois cas, une maladie surrénalienne concomitante a été mise en évidence, ce qui laisserait supposer une relation entre ces deux affections.

Trois furets (Mustela putorius furo) mâles stérilisés, sans lien de parenté, sont présentés en consultation pour une masse préputiale au cours de l’année 2011.

CAS CLINIQUES

1. Commémoratifs, examen clinique et hypothèses diagnostiques

Ces trois furets respectivement âgés de 6 ans, 5 ans et demi et 9 ans présentent une masse préputiale évoluant depuis 5 semaines dans les cas 1 et 3 et depuis 2 semaines dans le cas 2 (tableau et photos 1, 2 et 3).

Ils sont en bon état général et aucune anomalie physique n’est relevée hormis la masse préputiale. Leur environnement et leur alimentation sont corrects. Ils ont, tous les trois, été stérilisés chirurgicalement vers l’âge de 6 mois.

La palpation de la masse, du fourreau et de l’abdomen n’est pas douloureuse. Aucun des furets ne présente de signe de strangurie.

Un processus néoplasique ou, de façon moins probable, un abcès ou un kyste, sont envisagés.

2. Examens complémentaires

Dans les trois cas, des bilans radiographique, échographique et sanguin sont effectués.

Des clichés radiographiques de l’ensemble de l’animal sont réalisés pour la recherche d’éventuelles métastases pulmonaires ou osseuses. Dans le cas 1, l’os pénien est repoussé par la masse, sans altération de sa structure.

Un bilan échographique de recherche d’adhérence de la masse au plan musculaire et de métastases locorégionales et abdominales est réalisé. À chaque fois, l’examen échographique est en faveur d’une maladie surrénalienne par l’observation de glandes surrénales de taille augmentée et d’aspect hétérogène. Une prostatomégalie est observée dans le cas 2. À ce stade de l’examen, l’opérateur ne peut déterminer si cette prostatomégalie est secondaire à la maladie surrénalienne ou si elle correspond à un site de métastases.

Le bilan biochimique (urée, créatinine, calcium, phosphore, protéines totales, phosphatases alcalines et alanine aminotransférases) et les numération et formule sanguines, en vue du bilan préanesthésique, n’ont révélé aucune anomalie.

3. Traitement et évolution

Les trois cas sont traités chirurgicalement (photos 4, 5 et 6).

Une sonde urinaire est introduite dans l’urètre pour en repérer le trajet durant l’intervention. Une incision cutanée est pratiquée à la lame de bistouri sur le pourtour de la masse. Une dissection mousse permet de l’individualiser. Des ligatures vasculaires sont posées et l’hémostase est contrôlée. La fermeture du site opératoire est réalisée en deux plans, sous-cutané et cutané, à l’aide d’un fil tressé résorbable (Vicryl déc. 3.0®). L’exérèse de la masse est réalisée avec succès et ni l’amputation du pénis ni l’urétrostomie n’ont été nécessaires. Dans le cas 1, la masse est adhérente aux structures cutanées et musculaires avoisinantes. La vascularisation des masses est abondante et leur consistance est dure. Leur structure est tissulaire dans les cas 1 et 2, la masse du cas 3 présente une cavité centrale remplie d’un liquide séro-hémorragique. Les masses mesurent respectivement 12, 4 et 10 cm de diamètre. Celle du cas 1 est ovalaire, et ronde dans les cas 2 et 3. Aucune ulcération cutanée n’est constatée et le tissu des masses observé après leur incision se révèle très hétérogène et partiellement nécrotique.

L’analyse histologique montre une prolifération de cellules épithéliales tumorales formant des tubules unistratifiés anastomosés et situés dans le derme superficiel et profond. Les cellules sont cubiques à polygonales et leur cytoplasme est éosinophile. Une anisocytose et une anisocaryose modérées sont constatées ainsi que des mitoses en faible nombre (0 à 1 par champs × 40 dans les trois cas). Des atypies cellulaires avec une multinucléation, une caryomégalie ou une cytomégalie sont occasionnellement notées. Dans les cas 1 et 3, une infiltration modérée du stroma tumoral par des lymphocytes, des plasmocytes et des macrophages est également constatée. Le processus s’étend aux marges des prélèvements transmis.

L’analyse histologique des masses permet de conclure à une tumeur maligne : un adénocarcinome des glandes apocrines préputiales (photos 7 et 8). Des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie ont été proposés aux propriétaires sans être retenus.

Un implant de desloréline (Suprelorin® 4,7 mg, hors AMM [autorisation de mise sur le marché]) est posé à chaque furet comme traitement palliatif de la maladie surrénalienne. Un examen échographique effectué 2 mois après l’opération chez les furets 2 et 3 montre une nette diminution (environ 40 %) de la taille de la glande surrénale hypertrophiée, bien que la glande conserve un aspect déformé et hétérogène.

Les cas 1 et 3 présentent une récidive de la tumeur préputiale respectivement 2 et 11 mois après l’intervention, avec une obstruction des voies urinaires. Ils sont euthanasiés à la demande des propriétaires deux mois plus tard. Le furet du cas 2 est encore vivant 14 mois après l’intervention. Aucune récidive n’est apparue.

DISCUSSION

1. Glandes préputiales du furet

Les glandes apocrines sont présentes sur la peau avec des spécialisations (glandes cérumineuses des oreilles, glandes anales et glandes mammaires). Elles se trouvent en grande quantité autour du prépuce.

Les glandes préputiales sont des glandes exocrines, qui produisent des phéromones [14]. Les cellules de l’épithélium préputial sont analogues à celles de l’épithélium vaginal des femelles. Elles comprennent des cellules parabasales et intermédiaires fortement basophiles, des cellules superficielles moins colorées et au ratio cytoplasme/nucléus plus élevé et des cellules squameuses anucléées et de plus grande taille. La proportion de cellules kératinisées semble corrélée significativement à la concentration sérique en 17-hydroxyprogestérone, mais pas à celle de la 17 ß-œstradiol et de l’androstènedione [16].

2. Tumeurs des glandes préputiales chez le furet

Des cas de tumeurs préputiales sont rarement rapportés chez des furets entiers et stérilisés :

– un adénocarcinome et un lymphosarcome préputial sont relatés dans une étude portant sur 57 néoplasies cutanées ;

– trois cas de carcinome et d’adénocarcinome du prépuce et un cas de dermatofibrome bénin sont rapportés sur 480 cas de tumeurs répertoriées de 1990 à 1997 [6, 7, 9, 11-13, 15, 19].

Soixante dix-neuf pour-cent des cas de tumeurs du prépuce répertoriées étaient malignes avec une infiltration locale et des métastases dans les ganglions locorégionaux, voire viscérales [18]. Un cas de métastases cutanées a été rapporté [1]. Le pronostic est réservé lors d’adénocarcinome [4, 14]. Chez ces trois cas, une tumeur maligne (adénocarcinome des glandes apocrines préputiales) a été mise en évidence.

Les auteurs ont constaté qu’une surinfection bactérienne et une nécrose sont possibles (photo 9).

3. Traitement des tumeurs des glandes préputiales

Le traitement des tumeurs préputiales est chirurgical et le pronostic reste réservé. Il repose sur une exérèse chirurgicale large pouvant nécessiter une amputation du pénis avec une urétrostomie périnéale [15, 18].

Des traitements en chimiothérapie (doxorubicine) ou en radiothérapie ont été proposés pour prévenir ou traiter les métastases mais ils se sont révélés peu efficaces [15]. Un protocole de radiothérapie est décrit pour le traitement d’un adénocarcinome préputial [4]. Après deux séries de radiations (irradiation au cobalt 60, intensité non précisée par l’auteur) et une diminution de la taille de la tumeur, des métastases sont apparues dans l’espace rétropéritonéal et ont conduit à l’euthanasie du furet 10 mois après le diagnostic [4]. Dans ces cas, les traitements en chimiothérapie et en radiothérapie ont été refusés par les différents propriétaires.

4. Influence des hormones sexuelles sur les glandes préputiales

Une incidence des hormones sur les glandes cutanées est avancée dans une étude sur l’histologie de la peau du furet (série de prélèvements dans 29 zones anatomiques sur 41 furets mâles et femelles, stérilisés et entiers) [8]. Les furets sexuellement matures des deux sexes possèdent des glandes sébacées (cutanées et anales) plus larges que les individus stérilisés du même groupe [8]. L’administration de stéroïdes sexuels à des furets des deux sexes favorise la sécrétion de composés volatiles odorants. Les odeurs émises par les urines, les glandes préputiales et les glandes sébacées compensent l’absence des glandes anales (furets déglandés) et contribuent aux préférences hétérosexuelles des partenaires [3].

Les épithéliums vaginal et préputial répondent à des concentrations sériques élevées de 17-estradiol par une hyperplasie et une kératinisation, comme c’est le cas notamment chez les femelles en œstrus présentant un œdème vulvaire [16].

Une technique de diagnostic de la maladie surrénalienne chez le furet stérilisé par examen cytologique des cellules des glandes préputiales est à l’étude [16]. Elle repose sur un lavage préputial et sur la quantification des cellules kératinisées dont la proportion est significativement plus élevée chez les furets présentant des signes cliniques de maladies surrénaliennes (71,3 +/– 16,9 %) que chez les furets cliniquement normaux (55,5 +/– 19 %) [16].

5. Intérêt de l’examen échographique abdominal lors de tumeurs des glandes préputiales

Les bilans échographiques abdominaux effectués dans les trois cas présentés ont d’abord été réalisés dans le cadre d’un bilan d’extension de la masse préputiale. Des images compatibles avec une atteinte surrénalienne y ont été découvertes.

Les glandes surrénales normales ont une forme oblongue à ovale, une densité homogène en général, et sont hypoéchogènes par rapport à la graisse environnante. Elles peuvent être mesurées en longueur et épaisseur [2, 17]. Il est primordial d’évaluer l’épaisseur plus que la longueur afin de déterminer un éventuel désordre surrénalien. Empiriquement, les paramètres les plus souvent modifiés sont le diamètre ou l’épaisseur de la surrénale ainsi que sa forme lors de maladie surrénalienne.

L’épaisseur moyenne normale est de 2,9 +/– 0,5 mm pour la surrénale gauche et de 2,5 +/– 0,6 mm pour la surrénale droite [5]. Dans les trois cas présentés, les valeurs mesurées sont supérieures à ces valeurs.

Dans la même étude, l’épaisseur moyenne d’une surrénale anormale est de 6,3 +/– 3 mm pour la gauche et 5,2 +/– 3,3 mm pour la droite. Seuls deux de nos trois cas (cas 2 et 3) correspondent à ces valeurs. Cependant, il est important de souligner l’écart type très important (σ) et la valeur moyenne limite pathologique de 3,9 mm retenue en conclusion de l’étude. Avec cette nouvelle limite, les tailles des surrénales sont anormales dans ces trois cas.

Dans plusieurs publications, la présence concomitante de lymphosarcome (y compris multicentrique), souvent présent chez l’animal âgé, pourrait interférer avec la visualisation des glandes surrénales, car ils ont souvent les mêmes caractéristiques à l’examen échographique [10].

6. Relation entre les tumeurs des glandes préputiales et la maladie surrénalienne chez les furets stérilisés

Étant donnée l’influence des hormones sexuelles sur les glandes préputiales et le fait que ces dernières soient produites par des glandes surrénales hypertrophiées ou néoplasiques, la maladie surrénalienne pourrait être un facteur favorisant l’apparition et l’évolution des tumeurs des glandes préputiales chez le furet stérilisé. Les trois cas présentés concernent, à chaque fois, des furets stérilisés chirurgicalement et sans signe clinique de maladie surrénalienne (alopécie, odeur corporelle forte, comportement sexuel). Une maladie surrénalienne doit être cherchée lorsqu’une tumeur des glandes préputiales est constatée même en l’absence de signe évocateur. Un examen échographique abdominal est pour cela nécessaire et permet, de plus, un bilan d’extension. L’hypertrophie prostatique du cas 2 semble directement en relation avec la maladie surrénalienne car une légère diminution de taille de la prostate est constatée lors de l’examen échographique de contrôle. L’hypothèse d’une métastase prostatique de la tumeur préputiale ou d’une néoplasie évoluant simultanément est moins probable mais ne peut être écartée en l’absence d’examen histologique.

Le traitement de la maladie surrénalienne peut être médical (curatif s’il s’agit d’une hyperplasie de la glande, palliatif en cas de tumeur surrénalienne) ou chirurgical. Le choix d’une surrénalectomie réalisée en même temps que l’ablation de la glande préputiale tumorisée n’a pas été retenu en raison d’un risque anesthésique accru par l’allongement du temps opératoire. Une surrénalectomie réalisée dans un second temps a été refusée par les différents propriétaires en raison de l’âge des 3 furets et du pronostic réservé à la vue des résultats histologiques (carcinome).

L’augmentation transitoire du taux d’hormones sexuelles induites par l’implant de desloréline peut induire une stimulation des glandes préputiales durant cette période. Dans le cas 1, il n’est pas impossible que l’implant soit partiellement à l’origine de la récidive 2 mois après l’intervention. Une surrénalectomie aurait peut-être prolongé la survie postchirurgicale du furet.

Un traitement médical par la pose d’un implant de desloréline a été privilégié. Aucune information sur l’existence de maladie surrénalienne sous-jacente n’a été rapportée dans les cas de tumeurs des glandes préputiales décrites (absence d’examen échographique abdominal ou d’autopsie systématiques, sauf [4]). Une origine surrénalienne aux tumeurs des glandes préputiales étant suspectée, le traitement de la maladie surrénalienne doit faire partie de la prise en charge.

Conclusion

Cet article a pour intérêt de présenter une série rétrospective de trois cas de tumeurs des glandes préputiales chez des furets, néoplasies rarement décrites, et d’envisager un lien entre elles et une maladie surrénalienne. Cette dernière est systématiquement cherchée par un examen échographique et/ou par un dosage hormonal et traitée lors de tumeur des glandes préputiales.

Le traitement d’une tumeur des glandes préputiales est chirurgical et le pronostic reste réservé. De plus amples recherches sur des traitements adjuvants à l’intervention chirurgicale tels que la chimiothérapie et la radiothérapie seraient intéressantes.

REMERCIEMENTS

Au Dr Alexandra Nicolier et au laboratoire Vet Diagnostics qui ont réalisé les analyses histologiques, et au Dr Geneviève Marignac pour sa relecture attentive.

Références

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Points forts

→ Les tumeurs des glandes préputiales sont rares chez le furet.

→ Les glandes préputiales sont sous l’influence des hormones sexuelles.

→ Une maladie surrénalienne peut être un facteur influençant le développement d’une tumeur des glandes préputiales.

→ En présence de tumeur des glandes préputiales chez le furet, même sans signes cliniques, une maladie surrénalienne doit être cherchée et traitée.

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